Ce n'est pas parce qu'on sort des sentiers battus (en France du moins) en proposant un film de science-fiction qu'on peut se contenter de faire une resucée mixée de tout ce qui a déjà été fait ici, ailleurs et en mieux (Total Recall, Minority Report et j'en passe). Autrement dit, c'était courageux (une étoile) mais c'est pas réussi.
Mais quelle daube!! Y'a pas une scène qui ne soit pas pompée d'un film déja existant. (Doberman, Natural City, Matrix, Bunker Palace Hotel, Strange Days, Equilibrium, Southland Tales et j'en passe) Impersonel et franchement mal filmé, Chrysalis possède également des dialogues d'une niaiserie sans bornes ainsi qu'une bande sonore médiocre. A oublier très vite .
Dupontel est magistral. Ce film est sombre, violent et les décors sont vraiment bien faits (pour un film français !). On regrettera un peu la complexité du scénario pour lequel il faut s'accrocher parfois pour comprendre.
Où sont l'intrigue et le scénario ? Ce film n'a ni queue ni tête, rien d'intéressant en dehors du côté S.F.C'est une réelle perte de temps que de le regarder et d'essayer d'y comprendre quelque chose, puisqu'au final, on constate que la pseudo intrigue n'a rien d'originale...
Une histoire abracadabrante qui tombe vite dans le ridicule d'une histoire réchauffée filmée à l'américaine à la sauce française. N'allez pas chercher plus loin où sa cloche.
Effectivement ce film est tres banal .Thriller futuriste tourné dans des décors high-tech couleur anthracite, dans la même veine de «Minority Report», avec Albert Dupontel et Marthe Keller mais qui ne parvient pas a nous scotché de la faute a des acteurs imcompetent et une fin baclé ainsi qu un scenario completement ridicule et anodin .Encore un film francais qui passera inapercu .
Tentative du cinéma français de faire un film de SF teinté d'action, il échoue surtout à cause d'ambitions contradictoires. En bon film français, il n'a pas pu s'empêcher de la se la jouer auteuriste avec une histoire de jeune fille coincé dans un hosto, avec des scènes filmées avec soin mais qui ne provoquent rien d'autre que l'ennui, surtout que ces dernières ne servent à rien d'un point de vue narratif. Et c'est pourtant ce qui a motivé le réal à faire le film. Mais clairement, on sent qu'il se sent plus à l'aise avec la partie thriller, qui se retrouve du coup complètement sous-exploité malgré des comédiens bien plus intéressants. Les scènes d'action, trop peu nombreuses, sont pourtant excellentes, avec des scènes de fight bien chorégraphiées et parfaitement exécutées. Dupontel est très bon et son duel avec A. Filgraz tient toutes ses promesses. Mais la partie policière souffre aussi de son manque d'originalité et de profondeur. C'est franchement dommage car J. Leclercq s'avère un bon filmeur, parfois trop démonstratif et ne sachant pas toujours raconté quelque chose de correct, mais visiblement désireux de bien faire surtout qu'il avait un bon budget, des décors soignés et une direction artistique qui tenait la route. Frustrant et parfois vraiment ennuyeux malgré ses 90 min. D'autres critiques sur
Je sais pas pourquoi j'ai voulu louer ce film, j'en avais pas entendu parler, j'aurais du me douter que c'était une grosse daube. Scénario ridicule, scènes d'actions plus que risibles et à gerber dès les premières secondes de film. Toutes les scènes tournées en intérieur (c'est moins cher pour les effets spéciaux parce que c'est pas avec un pauvre concept car Renault qu'on va y arriver, on voit pas une seule route de tout le film comme ça s'est réglé...) Sans queue ni tête du début à la fin, comme ce gars qui fait de l'apnée dans sa baignoire tout les jours sans qu'on sache vraiment pourquoi... C'est nul !!!
On en attendait d’avantage de ce Chrysalis. Réalisé par un jeune et débutant réalisateur, Julien Leclercq, qui en est à sa première réalisation. Il pensait nous offrir un thriller futuriste novateur, mais il se trompe ! Et ses erreurs sont nombreuses, d’une part à causes de ses références aux classiques S.F qui sont bien trop flagrantes, tels que Bienvenue à Gattaca (1998) ou encore Minority Report (2002), et d’une autre, son scénario, qui a besoin d’être remanié, car sa trame est trop lente à se mettre en place, son histoire et son fil conducteur son tellement mou que l’ennui fait son apparition dès le début du film ! A la fois clinquant et trop surréaliste, avec ses nombreux décors high-tech et ses images virtuelles et holographiques peu plausibles. Certes, la qualité photo est acceptable mais ses acteurs sont décevants. Trop surjoués, pas assez crédibles, seul Albert Dupontel tire son épingle du jeu, ainsi que la mise en scène et le montage qui s’en sortent brillamment (utilisation de la "spidercam", du Motion Control, caméra à l’épaule ou encore des longs-travellings). En conclusion Chrysalis a fait beaucoup parlé de lui et a bénéficié de moyens colossaux, mais le résultat final est en dessous de ce à quoi on pouvait s’attendre !