Avis sur La Course au jouet

" La course au jouet " comédie sympathique de Brian Levant . C'est l'histoire de Howard Langston ( Arnold Schwarzenegger ) qui se rend compte la veille de Noël qu'il a oublier d'acheter le cadeau de Noël de son fils Jamie ( Jake Lloyd ) . Son fils veut comme cadeau de Noël le dernier jouet à la mode un robot turboman . Toute le journée du 24 décembre Howard va se lancer dans une véritable course contre la montre pour obtenir par tout les moyens le jouet pour son fils alors que le fameux jouet est en rupture de stock partout ...
" La course au jouet " est une comédie sympathique mis en scène par le réalisateur Brian Levant . L’histoire est simpliste mais très efficace avec ce père qui va se démener comme un dingue pour trouver le cadeau de noël de son fils ce qui va l’embarquer dans des situations drôles et délirantes . Le film est mener de bout en bout par l'excellent Schwarzy très bon et hilarant dans le rôle de ce père qui se démène comme un dingue pour essayer de trouver le cadeau de Noël de son fiston ce qui va l'embarquer dans une successions de péripéties hilarantes . Il va entrer en compétition avec un facteur cingler incarner a merveille par l’acteur Simbad hilarant qui est lui aussi à la recherche du fameux jouet pour son fils et qui fera tout pour le trouver . Le duo Schwarzy / Simbad est efficace et fait des étincelles pour notre plus grand plaisir nous regalant de scènes et répliques hilarantes . A noter la présence de jack Lloyd dans le rôle de Jamie le fils de shwarzy . Jack Lloyd qui incarnera quelques années plus tard le personnage mythique de Anakin Skylwalker dans “ Star Wars épisode 1 , la menace fantôme “ .
Une comédie familiale trépidante et rythmer remplit de scènes drôles spoiler: ( Schwarzy qui se bat contre les faux père Noël , l'explosion de la bombe , Schwarzy et Simbad qui se batte dans le magasin pour avoir la boule ... )
et de répliques hilarantes . Un film familiale sympa dans la lignée de " Maman , j’ai raté l'avion " de Chris Colombus qui est d'ailleur producteur sur ce film . C'est le film parfait à regarder en famille pendant la période des fêtes de Noël pour se détendre et passer un bon moment et se mettre dans l’ambiance des fêtes de noël . Une comédie familiale sympathique et divertissante devenu un classique des fêtes de fin d’année .

Disons le tout de suite, "La Course au jouet" n'a rien d'un chef d'oeuvre. Cependant, il véhicule quelque chose de très positif. Le divertissement est bien présent, Arnold SCHWARZENEGGER demeure très bon dans ce genre de comédie familiale. C'est une excellente production américaine que nous pouvons savourer pendant les fêtes (par exemple), histoire de bien se mettre dans le contexte !

Une bonne comédie à regarder pendant la période de Noël. Un chef d'entreprise débordé a promis à son fils de lui offrir un Turboman pour Noël mais oubli de l'acheter. Il essaie donc de s’en procurer un le jour du réveillon, mais s’aperçoit vite que c'est mission quasi impossible. On suit avec intérêt et amusement le périple de ce père de famille pour essayer d’acheter ce jouet. Le film est drôle et à assez d'action, Arnold Schwarzenegger assure le spectacle et à l'air de bien s'amuser. Bref un film qui se regarde avec plaisir.

On s'en doutait mais il a voulu essayer quand même... Schwarzy qui change de registre et tente de faire rire, ou émouvoir, non vraiment c'est pas bon, surtout si vous mettez du bon sentiment américain partout.
Je crois que c'est ça le plus insupportable, cette manie de bon samaritain sans arrêt, c'est chiant et ça gave même les mômes. Justement, à trop vouloir bourrer le mou aux enfants on oublie de faire le film. On se retrouve avec un père minable, une femme bobonne à la maison, un voisin divorcé modèle, un gosse pourri gâté (Anakin)... mais ne creusez pas trop loin le profil psychologique des persos car il est aussi mince que le script. Ensuite, c'est très mal joué, Arnold bien sur, père dépassé sans expressions, on est loin de Conan mais loin de tout aussi, musique nulle car on passe d'un genre de rock à une pâle imitation de classique, FX très mauvais et qui ont vieillis trame plus que connue puisqu'on a aucun mal à deviner les péripéties ni la fin, et l'histoire enfantine est à chier puisqu'elle renvoie à tout ce que l'Amérique dresse en modèle, sans pour autant plaire aux gamins à cause de longueurs et d'un rythme inégal à chaque instant.
Remarquez ce père qui fait tout pour réparer ses multiples oublis et incartades, pour que tout soit pardonné et oublié comme par magie son fils ne veut qu'un jouet, lequel est bien passé à la TV devant laquelle il est sans cesse planté, si c'est pas du matérialisme exacerbé... Les magasins également, on y voit qu'ils augmentent les prix sans pitié, et personne ne tourne le dos, c'est normal. Les gamins se comportent mal sans être réprimandés (culte de l'enfant roi), les 2 pères se trahissent et se réconcilient sans cesse, le flic est un peu sur les nerfs... Que de bons exemples en somme. Je garde le meilleur pour la fin, c'est un film pour enfants où on montre que le père Noël n'existe pas, et pire encore, que c'est un arnaqueur entre mafiosi et clodo avec un nain véreux... Bien quoi.
J'ai beau chercher quelque chose pour sauver ce film je vois pas, c'est ni marrant, ni divertissant, ni un exemple pour les gamins, bref c'est totalement pourri et inregardable, niveau films de Noël il en existe des bien meilleurs, avec une morale moins chiante (Scrooge par exemple).

Une bonne comédie familiale avec Arnold Schwarzenegger parfait pour ce rôle. Très drôle...

une comédie navrante, Schwarzie n'est pas fait pour ça.
PLV : à réserver aux enfants de moins de 10 ans.

Un film amusant, enfantin, mais qui se laisse regarder facilement .. et puis ça fait du bien de voir notre Arnold nationale changer un peu de registre. Je trouve les critiques assez dur.

Pas extraordinaire, ni hilarant, prévisible... L'ensemble reste néanmoins divertissant surtout pour les fans de "Schwarzie".

Conscient que ce n'est pas la meilleure des comédies, mais ce film, je le regarde depuis que je suis petit, et serieusement, je le revoit aujourd'hui, et je le trouve toujours aussi sympa et divertissant. Ce qui est sur, c'est qu'elle figure dans le top des comédie familiales. Et Schwarzy est marrant !

Bon, je vous promets que j'ai vraiment voulu donner une chance au film. Alors au début, quand j'ai vu que c'était bien cliché et très mal joué, je me suis dit que c'était juste un film de Noël raté comme il en existe une centaine, et puis est arrivé le moment où le voisin de la famille dit à une femme qu'il a le bon outil pour s'occuper de ses problèmes domestiques. 5 minutes de film et déjà des dialogues dignes d'un porno, j'applaudis les scénaristes ! Si encore c'était du second degré, mais même pas, tout le monde considère ce mec comme un homme charmant parce qu'il prend l'initiative de décorer les maisons de ses voisins et qu'il ramène un reine sauvage pour que les enfants puissent le caresser. Vous savez, c'est ce genre de personnage censé être touchant dans les films remplis de bons sentiments mais qui serait considéré comme un détraqué dans la réalité véritable. Et c'est un peu pareil pour l'ensemble des personnages secondaires en fait, entre les vendeurs victimes d'un handicap lourd, le flic qui a un complexe d’infériorité et le manchild qui sert d'antagoniste, on est servis. Le niveau d'écriture ne s'améliore pas quand il s'agit d'inventer des péripéties. C'est un fourre-tout complet : une course-poursuite dans une maison avec un reine, un attentat à la bombe, une baston générale avec des mecs déguisés en Père Noël, j'en passe et des meilleures. Ça n'a aucun sens mais à la limite ça reste supportable. Mais quand on voit la scène finale (qui dure une demi-heure), on comprend que le film a arrêté d'essayer. Il tente vainement de masquer la vacuité totale de son scénario en déployant une scène d'action aussi ridicule qu'elle est improbable. C'est laid, ce n'est pas drôle, ce n'est pas intéressant, bref ça prend le spectateur pour un con. Et puis la résolution, je suis désolé mais même pour la beauté du geste, je refuse de croire qu'un gamin formaté par la télé et capable de réciter entièrement une pub soit capable de faire ça. Pourtant, on sent que le film a de l'ambition (toutes proportions gardées). Il essaye de faire rire en montrant des parents se battre à l'ouverture d'un magasin, mais ça se passe véritablement comme ça à chaque Black Friday... On sait que les américains seraient prêts à tuer pour une remise de 10 dollars, c'est pas un gag qu'on nous montre, c'est la réalité... Par contre j'ai aimé que le rôle d'Arnold Schwarzenegger soit à l'opposé de ses personnages habituels. Ça casse pas trois pattes à un canard, mais le voir se démener pour son fils, s'énerver avec son accent autrichien et se prendre une dérouillée, c'est pas trop mal, ça réussi à arracher un sourire de temps en temps. Il y a aussi un plan qui montre une roue de voiture tourner et se transformer en horloge par surimpression. C'est pas grand chose, mais avec ce film on aurait presque oublié qu'on peut faire de la mise en scène ! (Ça doit être fait par le réalisateur de seconde équipe, c'est pas possible autrement) La Course au jouet réussit en quelque sorte un exploit, l'exploit de combiner les défauts de la mauvaise comédie et du mauvais film de Noël. Le résultat est bien pauvre et ne mérite pas votre attention.

Contrairement à son rival et ami Sylvester Stallone, Arnold Schwarzennegger a plutôt eu une assez bonne critique dans ces films comiques. Je pense notamment à "Un flic à la maternelle' ou encore 'Jumeaux'. 'La course aux jouets' est un film simple, destiné à un public jeune, trés jeune, et c'est tout. Etant habitué à voir Arnold en Terminator ou encore en chasseur de Predator, dur dur de le voir en père de famille complètement râté et abrutit en tout point de vue. Film qui a mal vieilli, voir trés mal. Effets spéciaux plus que limite, même pour l'époque. L'histoire est mignonette, ça plaira aux enfants, à quelques papas et mamans, moi je suis resté sur ma faim. Heureusement il restait du gâteau dans le frigo.

Un divertissement sympathique, privilégié pour les fêtes de fin d'année. On passe un très bon moment.

Comme quoi, être abonné à Télérama, c'est bien, mais cela a aussi ses défauts. Mais qu'à t-il pris à la revue « intello » pour mettre 1 T (l'équivalent de trois étoiles, si vous préférez), à cette comédie aussi indigeste que bien-pensante? Alors OK, cela peut être marrant deux minutes de voir Arnold Schwarzenegger s'auto-parodier et s'essayer au divertissement familial. Mais quand même ! Script affligeant, réalisation apathique, situations éculées, gags proches du désastreux... On frise à plusieurs reprises le niveau zéro sans que cela ne dérange quiconque. Et si quelques passages réussissent péniblement à décrocher un sourire (et encore, en se forçant un peu!), ils sont plus qu'insuffisants pour nous enlever de la bouche un goût pas loin d'être écoeurant, à l'image de cette ode finale à la famille aussi indécente qu'imbécile. Bref, si l'idée de départ était amusante, elle se transforme très rapidement en calvaire : courez vous aussi, car approcher ce film à moins de 100 mètres peut être dangereux pour votre santé mentale...

Schwarzenegger dans ses rôles de comédie n'a jamais été inoubliable et ce n'est pas La Course au jouet qui va le démentir malheureusement. La Course au jouet prend place en 1996. Une époque où lui et son copain Sly' vont commencer à enchaîner les navetons jusqu'au début des années 2000. La Course au jouet est plus à prendre comme un film de noël à réserver aux plus jeunes. Colombus à la production, Brian Levant, le mec qui a fait Beethoven, derrière la caméra, et Schwarzy qui essaie d'adoucir son image comme dans Un flic à la maternelle. Les gosses s'amuseront des facéties de ce père de famille qui parcourt toute la ville la veille de Noël à la recherche du dernier robot à la mode pour son fils en se frittant avec tout ce qui bouge. Les adultes seront navrés par les gags grotesques, les effets spéciaux datés, et d'une manière générale, le glissement qu'est en train d'opérer la carrière de Schwarzenegger qui commettra, un an plus tard, Batman et Robin.

L'idée de faire jouer à Schwarzy des rôles à contre emploi est un bon postulat de départ, seulement la plupart du temps le résultat n'est pas terrible. Ce film ne déroge pas à la règle. Il pourra être plaisant à regarder en période de Noël en famille, mais c'est tout. On pourra reconnaître Jake Lloyd, futur Anakin skywalker dans Star Wars épisode 1.