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Kincaid
1 abonné
135 critiques
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3,0
Publiée le 15 avril 2024
Un beau film, un drame qui tourne à l’amour, dans les superbes paysages du Montana. Une belle histoire de patience, d’attention, que l’on porte aux êtres, comme aux animaux. Une histoire de reconstruction de soi. Par contre, je n’ai entendu aucun murmure… Étonnant de rencontrer une Scarlett Johansson ado. Elle a fait du chemin depuis !
C’est trop ceci, c’est pas assez cela… bien sûr ! Mais ce film m’a bouleversée, me bouleverse encore… au delà de certains clichés ou romantisme (et pourquoi pas), je ressens la nature, la chaleur du cheval, son regard et tout cette énergie pour ramener la vie !
C'est simple, il s'agit de mon film préféré depuis des années, en compétition avec la communauté de l'anneau. Tout est merveilleux dans ce film, dont la mise en scène est représentative des années 90, dans les plans serrés, les ralentis et la bande originale. Un magnifique homme à la relation entre les hommes et les animaux, et comment elle peut réparer les relations entre humains. Les acteurs sont impeccables, les paysages sont magnifiques, tout n'est que poésie et patience, mais c'est surtout la musique de Thomas Newman qui fait tout je pense, et qui ne me quitte pas depuis des années.
Dieu sait à quel point j'éprouve une indifférence hautaine envers la race chevaline ! mais ce film me réconcilie presque avec les équidés. Est-ce le talent inénarrable de Kristin Scott Thomas ? La poésie du film ? La somptueuse B.O ? Les paysages enchanteurs du Montana ? Le propos du film qui frappe si juste ? Le talent déjà prometteur de Scarlett Johanson ? Un peu de tout ça à la fois.
Ce film est insupportable tellement il est ennuyeux. D'un certain point de vue je me demande même si on doit pas être consterné quand on pense au nombre de créatures que les blancs américains ont dû massacrer pour que ce dur au grand coeur puisse méditer sur sa solitude en faisant du dada dans le Montana... Tout ça pour ça
Admirablement bien filmé, de bons et beaux acteurs mais trop de lenteurs. S'il n'est pas dingue d'équitation, le film perd en saveur et le spectateur s'impatiente ! 3,2/5
C’est la première fois, après quatre réalisations, que Robert Redford se met en scène dans un film qu’il dirige. Ce rôle de "chuchoteur" lui va d’ailleurs extrêmement bien, ce qui est également le cas des autres actrices et acteurs de cette adaptation, Kristin Scott Thomas, Scarlett Johansson, Sam Neill, Dianne West, Chris Cooper, Cherry Jones, tous excellents. Une belle histoire, certes prévisible, pleine d’humanisme et d’émotion, magnifiquement mise en images avec douceur et sans précipitation, en parfaite harmonie avec son atmosphère.
Un beau film signé Robert Redford, incontestablement un bon cinéaste qui livre ici une réalisation fluide et sans faille.
Dans son fond il est aussi très intéressant, c'est tout d'abord un dépaysement garantit pour cette famille arrivant dans un ranch du Montana, s'en suit une quête de rédemption, un apprentissage, des rencontres, des moqueries (mais jamais avec du jugement), des différences, et une histoire d'amour impossible. Une fois la longue introduction passé, on est très vite emporté dans cette histoire lumineuse et assez riche. Malgré tout le film passera quand même par des phases de facilités comme l'arrivée inévitable du mari à l'improviste par exemple.
Mais ce qui me freine un peu dans mon avis et dans ma note, c'est la longueur trop conséquente du métrage : 2h50, aussi agréable et beau soit-il, c'est trop. Pourtant il y a la matière et le propos, mais il y a de vrais coup de mou, des creux assez récurent, qui nuise à l'équilibre du récit.
Cela reste tout de même même un bon moment passé. Entre sa beauté visuelle, les différents tons et couches de récit, plus son casting de rêve.
On retient de ce film les images de chevaux bondissant dans les paysages du Montana, les grandes scènes d'anthologie de psychothérapie équine ainsi que le jeu remarquable de toute la distribution sauf... celui de Kristin Scott Thomas, particulièrement daté, fleurant la série américaine des années 90 où les émotions étaient surjouées et artificielles. Le manque de naturel et de crédibilité de cette mère "seule à savoir" ce qui va sauver sa fille du naufrage est insupportable. Aujourd'hui le jeu serait plus sobre mais c'est trop tard et on se lasse immédiatement de ces mimiques à côté de la plaque, de ce narcissisme déconnecté de la situation dramatique.
« L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux » est une pure merveille du cinéma contemporain... pleine de tendresse, de philosophie populaire et de douceur de vivre. L'histoire de ce « cowboy » solitaire (soigneur et dresseur de chevaux à la sagesse et à la patience infinie) se révèle tellement passionnante qu'on se prend à espérer que de telles personnes existent vraiment quelque part sur Terre... mais ce n'est pas tout. En réalité, tous les personnages apportent leur petite pierre à l'édifice, avec leurs qualités, leurs défauts, leur force et leur fragilité. On se passionne donc immédiatement pour le destin de cette jeune cavalière et de son cheval, tous deux grièvement blessés dans un terrible accident. Leur lente reconstruction donne toute son âme à ce film extraordinairement humain et d'une grande beauté visuelle. Il faut dire que la distribution est juste incroyable... Robert Redford est évidemment parfait mais il a invité à ses côtés quelques grands noms du 7ème Art qui rivalisent tous de talent pour nous faire passer le meilleur moment de détente possible. Kristin Scott Thomas et Scarlett Johansson, notamment, apportent beaucoup de chaleur à cette belle histoire, pleine d'espoir et qui redonne un peu de foi dans l'humanité... qui en a bien besoin. Génial !
ce film joué par cet acteur Robert Redford que j'apprécie beaucoup apporte un sens au rôle qui joue dans ce film pour l'amour de ce cheval où il fait preuve de bon sens pour pouvoir redonner un sens à ce cheval traumatisé car le cheval a toujours été près de l'homme. il nous comprend comme lui nous comprend c'est pour ça que le cheval nous fait ressentir son amour.
Dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (The Horse Whisperer, Robert Redford, 1998), Grace MacLean (Scarlett Johansson) est victime d'un grave accident de cheval qui la laisse amputée d'une jambe. Son cheval Pilgrim, frappé par un camion, sort également de l'épreuve traumatisé et éperdu de terreur. Pressentant que le sort du cheval est étroitement associé à la santé mentale de Grace murée dans sa douleur et son infirmité, sa mère Annie (Kristin Scott Thomas) décide de les emmener tous les deux, de New-York jusqu'au Montana, pour rencontrer un dresseur de chevaux dans l'espoir d'obtenir une double guérison intérieure. Sur la route qui les mène vers l'Ouest, Annie et sa fille Grace s'arrêtent à l'entrée du Little Big Horn Battlefield National Monument, le parc national montanien consacré à l'affrontement entre l'armée américaine et les Amérindiens qui aboutit, le 25 juin 1876, à l'anéantissement du 7e régiment de cavalerie du Lieutenant-Colonel George A. Custer par les tribus Lakotas et Cheyennes de Sitting Bull et Crazy Horse.......
Voir la suite de ma chronique à partir d'un photogramme du film: https://etoilesdetoiles.blogspot.com/2021/09/dans-lhomme-qui-murmurait-loreille.html
un pur chef d'oeuvre ! tout est parfait dans ce film, l'histoire, les acteurs, les paysages sublimes, et j'ai été bluffée par la prestation de Scarlett Joanson , elle avait seulement 14 ans dans ce film, quel talent !