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    Creed II
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    Simon1310
    Simon1310

    121 abonnés 243 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2019
    Le film aurait pu être génial s'il ne s’était pas gouré sur le personnage à suivre, à savoir Ivan Drago, qui est mille fois plus intéressant que le geignard Creed. On a un personnage qui vit dans l'ombre de la défaite de son père qui a tous perdu, et qui doit survivre en tant que manutentionnaire dans une Ukraine post soviétique et de l'autre un gosse de riche qui fait un combat pour récupérer sa voiture. Sincèrement des deux lesquels est le plus intéressant. En toute franchise j'avais envie de voir Drago gagner, mais comme le film s'appelle Creed on se doute bien que ce n'est pas possible, pour cela le film aurait du s'appelle Drago, et pas Creed. Mais bon cela reste l'opus de trop, et ça conclue pour le moment assez mal la saga Rocky, avec une histoire peu intéressante: en gros tout ce qui touche à Creed, et une autre complétement inexploité, avec celle de Drago, mais plus attrayante. Il est assez ironique dans un film qui porte le nom de Creed, que la meilleure scène soit la rencontre de Drago et Rocky dans le restaurant. Soit une scène dans laquelle Creed n'y est pas. Les scènes de boxe sont bien réalisé, et captivante surtout la première mais elle ne rattrape une histoire faiblard ou il n'y a rien à raconter, et le personnage de Creed étant devenu arrogant et geignard cela n'y aide pas. Du coté de Drago père et fils, ils n'ont droit qu'à deux lignes de dialogues et une minute de présence mais leur relation est tellement plus touchante que quand tu repart sur Creed, le contraste joue en défaveur de ce dernier. En définitive, on avait une histoire passionnante une sorte de Rocky russe mais on a préféré refaire Rocky 3 et 4 qui sont pas les plus mémorable et ça a donné l'un des moins bons film de la saga Rocky.
    Marc T.
    Marc T.

    234 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Je vais être un peu à contre courant mais j'ai très nettement préféré ce Creed II à son prédécesseur que j'avais trouvé gnangnan et sans âme. Dans ce Creed II, j'ai retrouvé la hargne et l'esprit du Rocky IV de 1986, avec justement le même Ivan Drago. Quelle merveilleuse idée d'avoir de nouveau réuni ces deux ennemis devenus tous deux entraineurs. Je ne suis par contre toujours pas convaincu par Michael B. Jordan dans le rôle de Creed, mais je l'ai trouvé un poil plus charismatique que dans le premier volet où il était pour moi totalement transparent. Bref, un très bon divertissement qui remplit sa part de contrat.
    benoitG80
    benoitG80

    3 303 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2019
    « Creed II » en digne suite d’un premier opus de Ryan Coogler, en reprend donc l’esprit et l’ambiance, sans cependant tout ce qui faisait l’intérêt de « Creed I, l’héritage de Rocky Balboa »...
    Tout y est en effet, du portrait assez bien brossé des personnages, de leur vie personnelle, aux combats extrêmement percutants (!) et réalistes mais il manque malgré tout ce beau message finalement presque philosophique sur ce que chacun avait à gagner, sur toute cette fameuse transmission que recouvrait le mot « héritage ».
    De là, nos deux héros en étaient ressortis grandis, nourris par des échanges particulièrement riches et intenses, suite à tout ce que l’on a à faire passer, à faire comprendre, à apprendre qui se cachent derrière le mot transmettre !
    Cette fois, notre Rocky, même s’il trimballe toujours et encore sa vieille carcasse fatiguée mais encore vaillante, au côté de notre Adonis Creed, il est cependant un peu mis de côté pour mettre sous les projecteurs davantage son poulain, celui qu’il met pourtant en garde face à ce géant russe au corps impressionnant, telle une véritable montagne de muscles (Florian Munteanu) !
    Et pour bien agrémenter et aussi compliquer les choses, on tombe dans la romance car l’amour s’en mêle ici évidemment avec toutes les conséquences que l’on imagine pour notre boxeur et son défi d’honneur, ce match sur fond de revanche par rapport au passé, qui reste le but ultime...
    Les acteurs à commencer par Sylvester Stallone, jusqu’à Michael B. Jordan font leur effet avec un jeu sincère qui permet de croire à cette aventure, dont on imagine sans peine l’issue, cela va sans dire !
    Alors oui, cette suite de Steven Caple Jr. est bien agréable, plaisante à regarder, dans la mesure où l’on mesure bien le dilemme d’Adonis Johnson, face à ce qu’est devenue sa nouvelle vie de famille, et à ce niveau, l’enjeu est pertinent et bien amené, mais il manque juste un peu d’authenticité et cette émotion fragile et touchante de « Creed I » qui en faisait un film bien moins conventionnel !
    bladgik
    bladgik

    81 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2019
    La dernière apparition de Stallone dans son mythique personnage de Rocky. Place donc à la jeune génération, et on peux dire que le personnage principale (adomis)c’est fortement impliqué . On retrouve plus d’émotions que dans Creed 1 que j’avais trouvé sans saveur . Côté scénario et bien c’est l’idée du 3 tout simplement. Stallone reste et restera avec toujours ce charisme légendaire . Bilan mieux que creed 1 et moins bien que Rocky forcément
    RedArrow
    RedArrow

    1 511 abonnés 1 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2019
    À un moment du film, Adonis Creed part s'entraîner dans un endroit où "les boxeurs tombés à terre repartent à zéro" dixit Rocky Balboa. Sans forcément avoir un mauvais esprit, on peut imaginer que les scénaristes de ce "Creed II" (désolé, ami Sly) devraient sérieusement aller y faire un tour vu le vide abyssal de tout ce qui a précédé pour en arriver là...

    En nous contant la manière dont Adonis Creed allait entrer dans la légende au côté et non plus dans l'ombre de son père, "Creed" premier du nom avait réussi l'impensable : faire revivre l'essence même de la saga "Rocky" à l'écran tout en parvenant à l'inscrire dans les codes de notre époque. Tous les ressorts avaient beau être connus donnant presque des faux-airs de remake à ce spin-off, Ryan Coogler pourfendait admirablement le problème par le bol d'air frais qu'il déversait sur ce genre de récit très codifié, allant même jusqu'à nous donner l'impression d'y assister pour la première fois. Bien sûr, il y avait ce nouveau héros enragé par sa passion pour la boxe et sa quête de reconnaissance face à une figure paternelle écrasante, le personnage d'Adonis Creed ravivait clairement les cendres les plus incandescentes de la saga "Rocky" en trouvant la voie de sa propre destinée, mais, comme dans un petit miracle d'agencement scénaristique, tout ce qui l'accompagnait dans le déroulement de sa montée en puissance de boxeur fonctionnait et ce, même si la subtilité n'était pas forcément de mise. L'amour naissant entre Adonis et Bianca, une musicienne sourde, apportait une jolie dose d'émotion non feinte, les phases d'entraînements et de doutes s'enchaînaient avec un réel souci de justesse, les combats plaçaient le spectateur au coeur du ring comme jamais grâce à l'énergie apportée par Coogler derrière la caméra (des entrées des boxeurs à la percussion de leurs coups, chaque plan paraissait toujours conçu pour nous impliquer au maximum), la bande originale symbolisait parfaitement la frontière entre deux époques en nous emportant grâce au souvenir de quelques notes... Et il y avait lui, Rocky Balboa, une légende usée, malade, qui avait vu tomber tous les vestiges de son existence jusqu'à la condamner à une solitude chargée d'une infinie mélancolie. La rencontre entre la fougue du boxeur incarné par Michael B. Jordan et cette figure indéboulonnable se confondant avec son interprète (un fameux discours introspectif sur son mythe semblait tout autant parler de l'héritage de Rocky que de celui de Sylvester Stallone) était incontestablement la plus belle réussite de ce spin-off et on était déjà prêt à remonter sur le ring avec eux pour les retrouver à nouveau.

    Devenu l'égal de son père, Adonis Creed se devait désormais de le surpasser et, pour cela, quoi de mieux que d'aller frotter ses poings face au fils de celui considéré comme le bourreau d'Apollo dans "Rocky IV", Ivan Drago ?
    On comprend assez vite l'idée qui anime l'ADN de ce deuxième volet : tenter de dessiner une forme de tragédie familiale cyclique où chaque erreur du passé est amenée à se répéter jusqu'à être corrigée. Cela se présente d'ailleurs sous les meilleurs auspices pendant les premiers instants, impossible de ne pas vibrer devant nos retrouvailles avec la sombre aura se dégageant d'Ivan Drago (le charisme de Dolph Lundgren suffit amplement) et lorsque l'annonce d'un match revival entre son fils Viktor (Florian Munteanu, un boxeur/acteur mono-expressif) et Adonis Creed est inéluctable, tous les astres paraissent alignés pour que l'on prenne autant de plaisir devant cette suite que lors de la découverte de son prédécesseur. Dommage que nos espoirs soient si vite annihilés...

    Comme le premier, "Creed II" va reprendre un squelette narratif éculé de la saga "Rocky" pour son héros (sommet/chute/re-sommet) mais va cette fois complètement échouer à nous en éluder sa part de prévisibilité. Alors que Ryan Coogler avait fait tout son possible -avec réussite- pour y insuffler de la modernité, l'inconnu Steven Caple Jr, lui, mise sur cette seule ossature de son récit sans chercher à aucun moment à la réactualiser et ça ne pardonne pas car, si l'esquisse d'une vraie tragédie dans le milieu de la boxe fait illusion lors de l'ouverture, absolument rien ne va venir apporter de la profondeur à cette démarche. Le couple Adonis/Bianca ? Comme il n'y a apparemment plus grand chose à raconter dessus, on leur inflige les rebondissements d'une mauvaise sitcom pour éviter de les faire stagner spoiler: (mariage, heureux évènement et une bonne dose de pathos en prime)
    et les deux personnages empilent les scènes de dialogues d'une platitude confondante. Rocky Balboa ? Toujours aussi imposant bien entendu mais, passée la souffrance de le voir revivre le match qui a coûté la vie à son ami, le boxeur devenu entraîneur va errer dans le film comme une âme en peine. Entre renouer avec son fils et réparer un réverbère, la carcasse de Rocky déambule la majeure partie du temps dans des pièces vides afin de bien surligner au marqueur sa solitude ou de démontrer qu'il n'a plus vraiment sa place dans cette histoire. Ivan Drago et son fils Viktor ? La déchéance face à leur patrie était une piste très intéressante mais non, le film va bifurquer en cours de route vers un trauma familial en miroir du clan Creed et celui-ci va donner un nombre incroyable de scènes involontairement drôles par la psychologie grossière sur laquelle il repose. Avec en leur centre l'apparition d'une guest du passé, les dialogues et les plans faciles hilarants (la chaise vide, haha) autour des motivations animant le clan russe confinent au ridicule, spoiler: un "Môôôman" prononcé par un certain personnage les yeux embués de larmes aurait d'ailleurs pu en être la cerise sur le gâteau.

    Bref, pendant les trois quarts de sa durée, "Creed II" tente de remplir vainement les temps morts entre les trois étapes-clés de son récit et se plante constamment en choisissant les directions les plus faciles jusqu'à lui donner des allures de mauvais soap-opera gentillet. À ce stade, on en arrive à un point qu'on n'aurait pas cru possible après l'excellence du premier film : "Creed II" ne nous assène que des uppercuts d'ennui ou de rires nerveux.

    Heureusement, avec l'entraînement que l'on évoquait en préambule, la dernière partie du film revient aux fondamentaux de la saga et nous offre enfin un spectacle dans la lignée du premier opus. La remise en condition d'Adonis et le duel final tant attendu tiennent toutes leurs promesses, peut-être pas assez pour oublier le néant qui les ont précédé mais suffisamment pour retrouver l'intensité que l'on était venu chercher. De l'entrée des combattants dans l'arène russe à un match savamment dosé en matière de rebondissements (Steven Caple Jr semble aussi se réveiller derrière la caméra), "Creed II" rattrape une partie de ses errements avec ce morceau de bravoure en forme de boucle bouclée à la hauteur de tout ce que l'on pouvait imaginer d'un affrontement entre la descendance Creed/Drago.

    Mais il aura fallu tellement en baver avant d'arriver à cette récompense devant cette suite cherchant à raconter artificiellement quelque chose là où le précédent déroulait son récit avec tant de spontanéité. Indissociable du départ de Ryan Coogler comme auteur et réalisateur, la perte en qualité de "Creed II" en fait un film complètement anecdotique, gâchant bien trop souvent nos espérances sur la manière d'aborder les meurtrissures des clans Creed/Drago. Ce qui aurait dû être un long-métrage sur des hommes, de simples mortels pris dans l'étau de leurs propres gloires et chutes passées ou non, ne sait jamais où nous emmener au-delà de son schéma scénaristique dépassé. L'apothéose du combat final aura au moins été au rendez-vous mais elle ne masquera qu'une infime partie de notre déception...
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    161 abonnés 977 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2019
    Creed II, suite de Creed, spin off de la Saga Rocky, nouveau film dans un univers de combats, de dépassement de soi, où la tension de chaque combat est palpable. Le scénario ? C’est simple, il a été vu des dizaines de fois, à croire que c’est le seul possible quand on fait un film sur la boxe ?! Même si il y a des variantes, adapté aux personnages et événements, on reste sur du classique au possible. Heureusement, c’est parfaitement maitrisé ici, les combats sont toujours impressionnants, comme la préparation des acteurs. Florian Munteanu, le vrai boxeur qui incarne Vicktor Drago, 1m93 pour 111kg de muscle, est vraiment imposant, Michael B. Jordan devait vraiment assurer en face et il l’a fait! Les amateurs de sport apprécieront, comme les fans de la saga et c’est toujours plaisant de revoir Stallone dans ce rôle, la nostalgie ça fait toujours son petit effet ! Bref, un film réussi, sans prise de risque et sans grande originalité, mais prenant, bien filmé et sous haute tension, on en attendait pas plus.
    Chris46
    Chris46

    456 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    " Creed 2 " bonne suite du spin off " Creed " .

    Adonis Creed ( Michael B. Jordan ) a enfin réussit à sortir de l’ombre de son père Appollo Creed et est devenu un champion de boxe à part entière nottament en étant auréolé de son premier titre de champion du monde . Mais un nouveau défi de taille s’offre à lui quand Ivan Drago ( Dolph Lundgren ) le boxeur qui a tuer son père trente ans plus tôt le met au défi d’affronter son fils Viktor Drago ( Florian Manteanu ) . Ivan Drago n’a toujour pas digéré sa défaite dans son propre pays la Russie face à Rocky Balboa ( Sylverster Stalonne ) qui lui a fait subir une terrible humiliation pour venger la mort de son ami Appollo Creed . Depuis ce jour tout le monde à tourner le dos à Ivan Drago devenu un véritable parasite dans son propre pays . Il compte donc sur son fils pour regagner son honneur en affrontant Adonis Creed le nouveau champion du monde . Adonis Creed toujour très meurtri de ne pas avoir connu son père veut venger la mort de son père en voulant humilier Viktor Drago le fils de celui qui a tuer son père . Les deux se prépare alors pour un combat titanesque ...

    " Creed 2 " est une bonne suite du film " Creed , l'héritage de Rocky Balboa " le spin off ( film dérivé ) de la saga " Rocky " centré sur le fils de Apollo Creed . L’intrigue reste assez classique et plutôt prévisible ( on se doute comment sa va se terminer ) mais très efficace et prenante avec Adonis Creed qui va vouloir affronter le fils de Ivan Drago pour se venger de la mort de son père et sa va être tendu et explosif ce qui va donner lieu à son lot de suspense , d’émotion et de scènes de combats très efficace et spectaculaire comme en témoigne le superbe combat finale très bien mis en scène d’ailleurs . Ce que j’ai bien aimé dans cette opus c’est que les deux adversaires ont chacun une bonne raison de combattre et que pour une fois on a de la compassion pour l’adversaire qui affronte le héros . D’habitude on ne rêve que d’une chose c'est que le héros démolisse son adversaire qui nous exaspère au plus haut point pour diverses raisons . Mais pas la . Dans ce film on a Ivan Drago qui est devenu un pariât suite à son combat perdu dans " Rocky 4 " face à Rocky Balboa dans son propre pays , qui a tout perdu et qui aimerait regagner un peu de son honneur à travers son fils qui lui aussi a souffert des conséquences de l’humiliation de son père et je trouve sa noble qu’ils tente de regagner un peu de leur honneur perdu et qu’ils tente de laver cette humiliation. Tandis qu’en face Adonis Creed aimerait venger son père ce que l’on peu comprendre car son père lui a été arracher avant même sa naissance et il a du vivre avec son absence toute sa vie et il vie avec ce poid depuis sa naissance , on comprend donc son désir de venger son père même si on se dit que sa ne le ramènera pas . Et sa donne au combat finale quelque chose d’assez intéressant car on comprend les motivations des deux adversaires et perso j’avais pas envie que d’un côté comme de l’autre l’un des personnages se prennent une humiliation voir pire . Dommage quand même qu’il n’est pas un peu plus exploiter de scènes avec Drago et son fils , j’aurais aimer en voir plus entre eux . Le premier " Creed " avait pas mal de similitudes avec le premier film " Rocky " ( le jeune boxeur qui veut prouver sa valeur au monde entier alors que tout le monde le prend pour un tocard ) . " Creed 2 " lui a pas mal de similitudes avec " Rocky 3 "

    spoiler: ( le champion du monde humilié pendant le combat qui veut regagner son honneur )

    et " Rocky 4 "

    spoiler: ( la vengeance )


    . C’est un peu un mix de ses deux films qui du coup fait que le film est un peu prévisible

    spoiler: ( je me doutais que Adonis allait se prendre une volé par Viktor Drago dans leur premier combat et qu’il allait par la suite se venger et gagner leur deuxième combat même si j’ai quand même eu un doute pendant le combat finale sur le dénouement . La même chose en somme que Rocky Balboa dans " Rocky 3 " face à Clubber Lang qui perd le premier combat et qui se venge et gagne le deuxième combat )


    . Le film a pas mal de similitudes avec " Rocky 3 " et " Rocky 4 " mais pas de panique ce n’est pas non plus un remake totale de ses deux films car le film s’en démarque sur plusieurs aspects avec ce coup ci deux jeunes boxeurs ( Adonis Creed et Viktor Drago ) qui vont tenter de sauver l’honneur de leur parents dont l’un a été tuer ( Appollo Creed ) et l’autre humilié ( Ivan Drago ) . On a donc deux jeunes boxeurs qui ont sur leurs dos un lourd passé et un triste héritage laisser par leurs parents qu’ils vont tenter d’effacer . Le film est porter par un très bon casting avec à sa tête l’acteur Michael B . Jordan qui est toujour très bon et crédible dans son rôle de Adonis Creed qui est cette fois déterminé comme jamais à venger la mort de son père . A ses côtés Sylverster Stalonne toujour parfait dans son rôle du mythique Rocky Balboa qui continue à prendre sous son aile le jeune Adonis Creed et qui va avoir de sérieuses réserves à ce que Adonis combatte le fils de Ivan Drago pour qui ne lui arrive pas la même chose que son père . Le personnage de Rocky est toujour aussi attachant et il est parfait en vieux boxeur sage qui tente de transmettre son savoir au jeune Adonis et surtout de ne pas commettre les mêmes erreurs que lui quand il était jeune nottament en combattant le fils de Ivan Drago qui pourrait être une erreur fatale . Victor Drago , lui , est bien interpréter par l’acteur Florian Manteanu crédible et charismatique dans le rôle du fils de Ivan Drago toujour bien interpréter par l’acteur Dolph Lundgren . Sa fait plaisir de revoir Dolph Lundgren dans le rôle de Ivan Drago . Mais comme je l’ai dit précédemment c’est dommage qu’on est pas un peu plus développer ses deux personnages et qu’on ne se soit pas un peu plus attardé sur eux car leur histoire personnel était intéressante .

    Pour résumer " Creed 2 " est une bonne suite de " Creed " prenante et divertissante .
    MC feely
    MC feely

    72 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    Un deuxième volet que j'ai trouvé beaucoup trop classique dans son déroulement et malheureusement archi anticipable également.Après, certaines scènes sont émouvantes et les combats même si il y en a peu, sont toujours aussi spectaculaires et immersifs.Mais dans l'ensemble on se repose sur les mêmes ficelles que les anciens, et dans celui ci je n'ai jamais été surpris, donc aussitôt vu,aussitôt oublié... 2,5/5
    Alice025
    Alice025

    1 498 abonnés 1 297 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2019
    Un peu moins bon que le premier, mais tout de même plaisant à regarder. Nous retrouvons donc Adonis Creed en plein tourment suite à son futur match avec son rival, où les raisons familiales prennent le dessus sur les raisons professionnelles. On ne va pas se mentir, on devine le scénario du début à la fin. C'est prévisible et un peu trop lisse. Cependant, cela reste un réel plaisir à voir, notamment par des combats de boxe impressionnants et un casting très attachant.

    cinephile-critique.over-blog.com
    Sébastien I
    Sébastien I

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Une écriture parfaite, qui parvient à surprendre, replace Rocky IV dans le contexte, lui donne du corps et le rend légitime 33ans après.
    Un Stallone toujours aussi touchant, des surprises pour les puristes avec de bonnes décisions à la production/casting, une musique toujours maîtrisée et la vie, telle qu’elle peut l’être, du combat personnel, à celui des parents, aux aléas d’une famille...
    Je me suis régalé !
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    57 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2019
    Trois ans après le retour spectaculaire de Rocky avec une relève d’anthologie assurée par Michael B. Jordan, Adonis Creed réitère son combat à l’écran dans un nouveau film d’une intensité rare. L’introduction met l’accent sur la notoriété qu’il a obtenue et le sacre carrément champion du monde des poids lourds en montrant un combat rapide et facile contre l’ancien champion, qui n’était plus vraiment dans le coup depuis trois ans. Le film est notamment marqué par le thème fort de la confrontation à soi-même, par l’esprit de combat et le sens de la famille. Encore plus axé scénario qu’avant, il se concentre beaucoup sur les choix de vie d’Adonis, avec des passages touchants et parfois humoristiques, comme celui où il sollicite Rocky pour spoiler: sa demande en mariage à Bianca
    , et celui où on comprend qu’elle spoiler: est tombée enceinte sans prévision
    mais en renforçant tout de même le bonheur du couple, le jeu de Tessa Thompson restant toujours très juste.

    Un des éléments les plus dramatiques de la saga refait surtout surface pour renforcer les enjeux du film. Ivan Drago, toujours joué par Dolph Lundgren (Dans le griffes du dragon rouge, Universal Soldier, Expendables, Aquaman), effectue son retour à Philadelphie en compagnie de son fils Viktor, qu’il a entraîné afin que celui-ci provoque Adonis en duel et le batte lors d’un match officiel pour ramener le titre en Russie. Les Drago ont effectivement des soucis de leur côté : Ivan est comme déshonoré depuis sa défaite, son pays fait pression sur lui, sa femme l’a quitté et il ne lui reste plus que la vengeance pour redorer son blason. Creed II se montre donc moins manichéen que Rocky IV en mettant chaque camp sur un pied d’égalité, les besoins des uns et des autres étant totalement justifiés. Drago reste tout de même pointé du doigt comme méchant, ce qui est normal étant donné qu’il a causé la mort du père d’Adonis par le passé, et vu la façon qu’il a toujours d’utiliser la force brute et la pression qu’il met à son fils pour le mettre KO avec une violence recherchée (« Pourquoi est-il encore débout ? Brise-le ! », ce qui ne loupe d’ailleurs pas quand spoiler: Viktor cogne Adonis au sol après lui avoir causé de graves blessures
    , provoquant ainsi spoiler: la disqualification
    du jeune Russe.

    Toujours debout après tant d’années, Sylvester Stallone (Rambo, Demolition Man, Expendables) reste magistral dans ses conseils et son jeu du personnage de Rocky Balboa. Il sait remettre en question ses prises de décisions difficiles, passant d’une absence remarquée pour le premier combat d’Adonis et une présence bien plus acclamée lors du match final directement en Russie. Si Adonis est effrayé à l’idée de refuser le combat pour la mémoire de son père, Rocky l’est tout autant quand il s’agit de recontacter son fils avec qui il est toujours en froid, mais c’est finalement quand il apprend spoiler: qu’il a désormais un petit-fils qu’il se dit qu’il est temps de sauter le pas
    . Chaque personnage est rudement mis à l’épreuve dans un combat dramatique très fort, Adonis devant aussi défendre son titre après avoir été blessé physiquement et moralement. Bianca envisage de déménager pour toucher plus de monde et utilise même une de ses chansons pour l’arrivée de son mari sur scène.

    C’est finalement Rocky qui parvient à relancer l’esprit de combat de son élève, en lui faisant exprimer la raison pour laquelle il se bat, et en l’emmenant lui-même sur le territoire russe afin qu’il s’entraîne dans des conditions inhabituelles. Le combat final est d’une intensité puissante et éprouvant sur sa durée, Adonis parvenant à fatiguer Viktor mais ayant de plus en plus de mal à se relever après avoir encaissé de nombreux coups. Des images fortes circulent alors, montrant la mère de Viktor quitter les gradins par déception spoiler: (provoquant une tristesse notable sur le visage de son fils)
    , mais la réaction de son père reste la plus émouvante alors qu’il demande spoiler: l’arrêt du combat en jetant un tissu blanc sur le ring
    , par peur de voir spoiler: son fils meurtri voire tué à son tour à force de prendre des coups
    . Les Russes sont mis en valeur par la sensibilité qui leur est octroyée et le combat aura su donner une leçon à chacun. Les musiques de Ludwig Göransson maintiennent une intensité forte, entre rap américain efficace et rythmes puissants mixés à partir des musiques de la saga Rocky. Une magnifique narration qui frise l’excellence !
    Shephard69
    Shephard69

    273 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    N'étant pas un fan de la première heure de la saga "Rocky", c'est l'excellent opus précédent réalisé par Ryan Coogler qui m'a fait réviser mon avis en me faisant comprendre toute la portée et la profondeur de ce personnage. Trois ans après "Creed, l'héritage de Rocky Balboa", un second volet qui s'avère encore plus galvanisant que la biographie de Michael Mann "Ali" et plus poignant que "Raging bull" de Martin Scorsese. Sur un schéma très classique et pas particulièrement novateur, un drame qui, au-delà des impressionnants combats de boxe, terriblement immersifs où le spectateur ressent chaque coup, chaque impact , aborde de façon émouvante des forts thèmes comme le poids de la filiation, l'héritage mais aussi la différence entre la revanche et la vengeance parfaitement illustrées par les motivations propres à Adonis Creed et Viktor Drago. S'il n'évite pas certains clichés, le long-métrage maîtrise impeccablement sa tension psychologique grâce à sa mise en scène pour aboutir à un final paroxysmique et en réintégrant un vieil antagoniste, le charismatique Ivan Drago, se révèle être davantage qu'un remake du "Rocky IV" mais plus un condensé des épisodes II, III et IV. Encore une confirmation de la part de Michael B. Jordan face à un Sylvester Stallone qui, ayant annoncé vouloir tirer sa révérence avec le personnage le plus emblématique de sa filmographie, livre sa prestation la plus émouvante, la moins naïve. Personnellement, la première claque de cette année 2019.
    Ilaîm K
    Ilaîm K

    20 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Énième suite de Rocky, ce film ne sert à rien. Il est d'un ennui mortel, il ne se passe absolument rien pendant 2h10, sauf les 2 combats. L'histoire est tellement prévisible... une perte de temps.
    selenie
    selenie

    5 326 abonnés 5 996 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2019
    Vis à vis du premier "Creed" le scénario est plus dense, abordant plus de thématique, mais est aussi plus décousu ce qui crée quelques longueurs. La filiation et son importance transpire de partout, voir martelé. Cela offre néanmoins quelques beaux passages mais pas toujours avec Rocky comme si le relais était définitivement passé. L'entrainement est vite expédié dans le sens où il se résume à quelques plans "physiques" en omettant le travail psychologique et ses conséquences. En tous cas ce film, bien qu'un chouïa en-dessous du "Creed I" reste un finish plutôt intelligent, logique et cohérent avec l'esprit de la saga et clôt ainsi de belle manière les adieux de Rocky.
    Site : Selenie
    rocky6
    rocky6

    24 abonnés 1 610 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2019
    Une formidable suite qui tient toutes ses promesses. Stallone est à nouveau magistral en Rocky. Le film est chargé en émotion et offre de nombreuses références à Rocky IV. Michael B Jordan est lui aussi magnifique. Et quel plaisir de retrouver Ivan Drago. Quant à son fils, il semble tout aussi redoutable que son père (Excellente interprétation du boxeur Florian Montaneau). Ce film ravira les fans de cette formidable saga. Les combats sont prodigieux, les séquences d'entrainement super stimulantes et on est aussi très émus à plusieurs moments. A voir et revoir.
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