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    Pour la France
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    137 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 142 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2022
    Le deuxième long-métrage de Rachid Hami, dédié à son frère, raconte une histoire très douloureuse pour le réalisateur, celle de l'acceptation d'une mort accidentelle et évitable et de la recherche des responsables de cette tragédie, au sein de l'académie militaire de Saint-Cyr. Ce titre de "Pour la France" se comprend aussi bien au premier degré, eu égard à la destinée du défunt, que de manière atrocement ironique, rejoignant ainsi une complexité et une ampleur certaines de par le récit d'un itinéraire familial qui débute en Algérie, dans les années 90. S'il revient sans cesse au deuil présent, le film plonge à de nombreuses reprises dans des flashbacks qui explicitent, entre autres, l'évolution de la relation entre deux frères aux trajectoires diamétralement opposées, entre le méritant et le raté (si l'on simplifie grossièrement). Fratrie et patrie sont les deux mamelles de Pour la France dont on apprécie les nuances pour parler de sujets très actuels, à commencer par ceux de l'intégration à une nouvelle culture ou du patriarcat. La forme est très classique, cela peut représenter une légère frustration, et les allers et retours entre les époques auraient pu être réduits ou davantage fluides mais l'on retient tout de même la dignité et la sensibilité à fleur de peau de l'ensemble et, surtout, la qualité de l'interprétation de Karim Leklou et de Shaïn Boumedine dont les scènes communes sont les plus touchantes, sans oublier la présence toujours marquante de la magnifique Lubna Azabal.
    velocio
    velocio

    1 183 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2023
    Même si on n’a pas tous eu l’occasion d’en vivre, on a tous entendu parler des bizutages, ces pratiques supposées être des rituels d’intégration au sein de certains groupes sociaux, parfois « bon enfant » et sympathiques, souvent dégradants et humiliants, voire même dangereux pour celles et ceux qui les subissent. A Saint-Cyr, les bizutages ont un nom particulier : les bahutages. C’est au cours d’un de ces bahutages, organisé par les élèves de seconde année, que Aïssa, 23 ans, va perdre la vie par noyade, suite à la traversée d’un étang en tenue militaire, dans des conditions extrêmes. Aïssa était un jeune homme brillant, né en Algérie, un pays qu’il avait quitté en 1991 avec Nadia, sa mère, et Ismaël, son frère ainé, pour échapper à la guerre civile et aux islamistes, alors que Adil, son père, policier, avait choisi de rester dans son pays.

    Très brillamment construit, Pour la France se déroule sur 3 périodes : le présent, c’est-à-dire le bahutage mortel et les moments qui suivent le décès de Aïssa, des moments qui se concentrent sur la façon dont doivent se dérouler ses funérailles et qui mettent Nadia et Ismaël face à une hiérarchie militaire divisée, la tombe de Aïssa « voyageant » des Invalides au carré musulman du cimetière de Bobigny selon l’interprétation qu’on peut avoir de ce qu’est une « mort au combat ». Deuxième période abordée, l’enfance en Algérie de Ismaël et de Aïssa, Adil, leur père, qui leur apprend à nager, l’arrestation de la famille par des intégristes alors qu’elle se rend à Blida, le père qui s’en sort en disant qu’il est dans la mécanique, le désaccord entre Nadia et son mari quant à un éventuel départ vers la France. Troisième période, celle qui se déroule à Taipei, la capitale de Taïwan, où Aïssa est allé poursuivre ses études afin, entre autre, d’apprendre le mandarin et où il s’est épris de Julie, une jeune chinoise, Taipei où Ismaël a décidé de se rendre, sur un coup de tête, afin de renouer avec son frère. Cet épisode montre un Ismaël plein de contradictions, à la fois peu fiable dans son comportement, instable, bagarreur, et, pourtant, plutôt sympathique.
    Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-pour-la-france/
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    296 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2023
    « Pour la France » du réalisateur français Rachid Hami est un film admirable à plus d’un titre. Œuvre cinématographique de la première à la dernière image, il n’en est pas moins le témoignage artistique d’un fait divers qui avait en son temps défrayé la chronique militaire. Dans la nuit du 29 au 30 octobre 2012, Jallal Hami, 24 ans, frère du réalisateur se noyait dans un étang du camp militaire de Coëtquidan (Morbihan). Récemment arrivé à Saint-Cyr, l'établissement qui forme les officiers de l'armée de Terre, le jeune diplômé de Sciences Po participait aux côtés des autres élèves de première année, surnommé les «bazars», à une soirée de «bahutage» sur le thème du débarquement en Provence de 1944.
    De cette matière très personnelle, Rachid Hami a su tirer une œuvre universelle sur les liens du sang, le sentiment d’appartenance à une nation, la complexité de la machine militaire.
    Tout ceci transpire la bienveillance, la tolérance la curiosité des autres et de leurs cultures.
    La direction d’acteur est magistrale, de Shaïn Boumedine (Mektoub my Love, Placés) à Karim Leklou (Bac Nord) sans oublier la fantastique Lubna Azabal (Incendies, Rebel…)
    On sort du film non pas révoltés mais réconciliés avec l’idée d’harmonie universelle.
    Un cinéma qui fait honneur à la France
    En salle le 8 février
    Jipéhel
    Jipéhel

    45 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    Quand patrie rime avec fratrie

    Ce drame signé et réalisé par Rachid Hami a, pour cause de Covid, connu un parcours du genre chaotique, puis qu’en 2020 il avait obtenu le Grand prix des Prix du Scénario. Il a été, cette année, présenté à la Mostra de Venise et a obtenu deux Prix au Festival de Sarlat. Lors d’un rituel d’intégration dans la prestigieuse École Militaire de Saint-Cyr, Aïssa perd la vie. Alors que l’Armée refuse de reconnaître toute responsabilité dans ce drame, son grand frère Ismaël se lance dans une bataille pour la vérité. D’après une histoire vraie. Ces 117 minutes sont d’une rare qualité, tant par l’histoire racontée que par la performance du casting. Un film bouleversant qui ne peut laisser insensible.
    Oser un film sur l'immigration, l'armée, l'Algérie et la France, la famille… relevait de la gageure. Des sujets sensibles traités avec habileté par Hami. L’intrigue est inspirée d’un drame très personnel vécu par le réalisateur lui-même en 2012. Il en a fait une sorte d’enquête sur la vie, pour donner du sens à la mort. Et malgré l’aspect très personnel de ce sujet, le film évite les écueils du manichéisme, des clichés faciles sur la Grande Muette et de la famille algérienne émigrée. Que ce scénario ait été distingué me paraît parfaitement mérité. Il faudra vraiment voir ce très beau moment de cinéma, mais il faudra aussi patienter car la sortie n’est prévue que le 15 février 2023.
    Côté casting, c’est tout bon également avec surtout Karim Leklou, qui de film en film, s’affirme comme un de nos meilleurs jeunes acteurs. – Il a reçu le Prix d’interprétation à Sarlat -. A ses côtés, Shaïn Boumedine, Lubna Azabal, Samir Guesmi, Laurent Lafitte, jouent des partitions impeccables loin des caricatures qu’on aurait pu craindre avec une telle histoire. Un beau film, sensible et très réussi.
    remoche
    remoche

    14 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2023
    Inspiré de l'histoire vraie de son petit frère (Jallal Hami), décédé lors d'un "bahutage" à l'école St-Cyr, le réalisateur Rachid Hami signe film de CINÉMA bouleversant, d'une grande subtilité, loin de tous les clichés auxquels beaucoup peuvent s'attendre.
    Cool_92
    Cool_92

    244 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2023
    Un film puissant et magnifiquement écrit. Cette histoire brasse de nombreux sujet (le deuil, la famille, l'éducation) avec une grande justesse. On est bien loin des éternels clichés sur l'immigration ou l'armée. D'ailleurs ce n'est pas du tout un film enquête sur un bizutage comme la bande annonce pourrait le laisser penser. Les acteurs sont excellents en particulier Karim Leklou dans le 1er rôle. Le réal a fait un superbe hommage à son frère disparu.
    dan47
    dan47

    45 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 février 2023
    le film tient sur la bande annonce. je m'attendais à découvrir autre chose qu'un film sur l'intégration en tout genre. : sociale, culturelle, intellectuelle ce qui fait d'un film de presque 2h.... 1/4h chez les St-Cyrien et 1h45 la vie en "93" + les incohérences du film. dommage
    Ismael
    Ismael

    66 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 février 2023
    Sur le papier Pour la France a tous les ingrédients d'un film explosif et passionnant. D'un côté nous avons une famille pauvre et immigrée, d'origine algérienne. De l'autre l'armée française et derrière elle bien sur l’État français. Le point d'orgue entre les deux c'est un tragique accident, inspiré d'une histoire vraie: la mort d'un jeune et brillant sous-lieutenant, après un bizutage à Saint Cyr qui a mal tourné . Raconté comme ça on s'attend légitimement à suivre une enquête palpitante mais forcément délicate car impliquant la grande muette dont le goût du secret et l'horreur du scandale ne sont un mystère pour personne. L’État sera t'il ou non déclaré in fine responsable ? L'affaire sera t'elle en tout ou en partie étouffée ? Dans le quelle mesure ? Autant de questions qui laissent entrevoir un long combat judiciaire . Sans oublier l'aspect David contre Goliath bien-sur. Quelle chance cette pauvre famille a t-elle face à une institution aussi puissante ?

    Au lieu de ça, après un premier quart d'heure consacré à la présentation du drame (la mort de l'étudiant, l'information de sa famille par l'Armée), le film opère un soudain et irréversible revirement à 180 degrés pour devenir une sorte de chronique familiale rétro, baignant dans une atmosphère de douleur, de regrets et de nostalgie et ou il est question essentiellement de l'absence du père. Il faut savoir que Pour la France est constitué à peu prés à 75% de flashbacks, ce qui est un peu frustrant pour le spectateur qu'on a d'emblée appâté avec la promesse de rebondissements qui pour la plupart ne viendront même pas. Mais au delà de l'aspect "tromperie sur la marchandise", le film est-il au moins réussi ? Ben malheureusement ce n'est même pas le cas. C'est étrangement statique, avec des dialogues remplis de clichés et des silences censés en dire long. En tout cas ça ne prend jamais vie. La mayonnaise ne prend pas comme on dit. Sans surprise, les seuls moments un peu intéressants sont ceux qui se déroulent dans le présent ou on retrouve ponctuellement notre affaire, mais ça ne doit pas représenter plus de vingt minutes mis bout à bout. Une déception que même l'excellent Laurent Lafitte, qui a trop peu de temps d'écran, ne parvient pas à estomper.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    337 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2023
    Ce film de fiction est basé sur les faits réels de la mort d’un Saint Cyrien d’origine algérienne survenue en 2022 à Coetquidan à l’issue d’une opération de bizutage qui avait à l’époque défrayé la chronique. Le réalisateur qui est le frère de la victime a choisi de faire un retour émouvant et digne sur cette tragique disparition en se remémorant ses souvenirs familiaux et en particulier ses liens avec son frère disparu, sans vouloir faire une critique systématique du système militaire, La réalisation, le montage et l’interprétation des deux frères et de leur mère assurent la réussite de ce film.

    Bernard CORIC
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    176 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2023
    Rachid Hami tire son épingle du jeu avec cette histoire de deux frères aux destins opposés. Il évite les clichés sur l'armée française, l'Algérie des années 90 et l'intégration. La narration est un peu convenue avec ses flashbacks obligés. La mise en scène est trop classique. Mais c'est surtout l'interprétation de Karim Leklou et de Shaïn Boumedine qui tire le film vers le haut et le rend touchant et juste.
    Samnad
    Samnad

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2023
    Excellent film, il m'a bouleversé. Ce film casse très bien les clichés tant incrustés dans notre société. Ce brillant et jeune réalisateur réussi à nous décrire avec exactitude Notre France et ainsi à élever le débat. Qui mieux que le cinéaste pour parler de ce qu'il a vécu. Le choix des interprètes est également très juste avec un Karim Leklou qui réussit encore à nous émouvoir sans tomber dans le pathos. Il faut absolument voir ce film à l'heure où l'on ne cesse de nous parler d'identité nationale, pour mieux nous opposer
    Yves G.
    Yves G.

    1 305 abonnés 3 308 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2023
    En 2012, durant un « bahutage », un bizutage qui n’ose pas dire son nom, à l’école militaire de Saint-Cyr, Jalla Hami, un jeune aspirant qui venait d’en réussir le concours d’entrée, est mort noyé. C’est l’histoire de sa mort que raconte Rachid Hami, son propre frère, réalisateur de cinéma, mais c’est surtout celle de sa famille.

    Tout dans le titre de "Pour la France", dans son affiche, dans sa bande annonce, nous laissait escompter un film politique sur le modèle de "La Fille de Brest" ou de "Goliath" : un brûlot à charge contre l’armée qui a laissé stupidement mourir l’un des siens dont le seul tort était, en dépit de ses origines maghrébines, d’avoir essayé de toutes ses forces de s’intégrer.

    Mais, contre tout attente, Rachid Hami nous emmène dans une autre direction. La mort de son frère constitue le cœur du film. Et la lutte menée par sa mère et son frère pour que les honneurs lui soient rendus en est l’un des principaux enjeux ; mais il n’en est pas le seul. Rien n’est dit sur l’enquête policière et le procès qui conduira en 2020 à la condamnation de trois militaires pour homicide involontaire à des peines de sursis qu’on pourrait estimer trop légères.

    En revanche, le réalisateur nous raconte par le menu l’histoire de sa famille à travers deux longs flashbacks. Le premier remonte à 1992. Il se déroule en Algérie en pleine guerre civile où la famille des deux jeunes frères (Rachid a sept ans, Jallal quatre seulement) se déchire : leur mère veut quitter ce pays mutilé pour la France ; leur père, gendarme, s’y refuse. La seconde a lieu une vingtaine d’années plus tard. Rachid a mal tourné, multipliant, faute de boulot stable, les menus larcins. Jallal au contraire est un jeune homme rangé qui termine sa scolarité à Sciences Po par un séjour d’études à Taïwan où son frère le rejoint le temps des fêtes de fin d’année.

    Cette histoire familiale, celle du lien compliqué entre deux frères, entre deux terres, la France et l’Algérie, et deux allégeances, au père et à la mère, nous détourne du vrai sujet du film.

    Pourtant il y aurait eu beaucoup à dire sur la mort de Jallal, sur ses circonstances stupides, sur le racisme sournois qui ronge les écoles militaires ou, au contraire, si on a la rigueur d’instruire à charge et à décharge, sur leur ouverture aux immigrés de la deuxième génération (« Si l’armée avait été raciste, il n’aurait pas réussi le concours » rétorque avec beaucoup de justesse le personnage interprété par Karim Leklou). "Pour la France" aurait pu, aurait dû creuser le point de vue des militaires, comme il le fait dans une scène trop courte, pour moi la meilleure du film, et opposer dans leurs rangs ceux qui veulent étouffer l’affaire et ceux au contraire, plus courageux, qui sont prêts à assumer leurs responsabilités.

    Mais on ne trouvera rien de tout cela. Ou on le trouvera si peu qu’on sort de la salle frustré voire furieux d’avoir été berné par un film qui annonçait une promesse qu’il n’a pas tenue.
    leobis
    leobis

    48 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2023
    Après la première scène du film, relativement réussie, sur l'incident mortel ( la mort du frère lors d'un exercice militaire) on s'attend à une série de scènes explicites sur ce qui s'est réellement passé et éventuellement une mise en exergue de la responsabilité de l'armée. On assiste, par contre, tout au long du film à des scènes de souvenirs familiaux sans intérêt pour les spectateurs. C'est un film trop personnel pour amener une part d'émotion.
    Guiciné
    Guiciné

    132 abonnés 1 211 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2023
    Un très beau film, au scénario maitrisé et superbement dialogué où les non-dits et silences valent mieux que les mots.
    Peut-être un peu long , mais passionnant et original
    Du grand art.
    PLR
    PLR

    411 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2023
    Le synopsis et la bande annonce laissent penser que ce film va traiter d’une enquête judiciaire en milieu militaire à la suite de la mort accidentelle d’un élève officier. Un homicide involontaire car ni l’entrainement militaire, ni une quelconque mission ou même instruction, si ce n’est la tradition, ne justifiaient la mise en danger des nouvelles recrues de la prestigieuse école par leurs ainés de la seconde année avec indifférence, en tout cas manque de contrôle, des hauts gradés. Avec un sujet juridique pareil au sein de l’armée, « la grande muette », il y avait assurément matière à développements, rebondissements, dissimulations, entraves, obstacles… Au lieu de ça, le scénario traite essentiellement de tout autre chose. Le spectateur ne saura d’ailleurs au final pratiquement rien des tenants et aboutissants du pépin ayant entrainé mort d'homme. A la place, le fond reposera pour l’essentiel sur une fracture familiale. Le drame sous le drapeau tricolore n’est qu’un évènement catalyseur. Le réalisateur, frère de la victime, en fait une affaire personnelle. C’est l’écorché vif par la vie dont il confie l’interprétation à l’acteur Karim Leklou. Le problème c’est que mine de rien on a changé de registre narratif. C’est toujours un drame (social, familial) mais ce n’est plus ce qui a défrayé la chronique judiciaire et secoué (un peu) l’institution militaire.
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