Avis sur Une virée en enfer

Mort tragiquement dans un malencontreux accident de voiture, le regrettè Paul Walker avait jouè, la même annèe que le premier "Fast and Furious", dans un bon thriller de John Dahl (qui n'est pas n'importe qui), à la construction classique mais assez palpitante à suivre! Jusqu'où iriez-vous pour la fille dont vous avez toujours rêvè ? Pour Leelee Sobieski, la question ne se pose même pas! Jusqu'où aideriez-vous un frère dans le besoin ? Steve Zahn a la même tronche que Ewan McGregor! Jusqu'où ririez-vous si la plaisanterie se retournait contre vous ? En 2001, tout ce que vous direz reviendra vous hanter, tout ce que vous verrez à l'ècran vous terrorisera et tous ce que vous entendrez vous fera dèpasser toutes les limites! Nous sommes loin de "Hitcher" mais Dahl connait son mètier sur le bout des doigts et sait parfaitement utiliser les ficelles du genre pour rendre cette « virèe en enfer » prenante! C'est efficace, bien enlevè et bien interprètè! Le film a connu une suite « direct to vidèo » aussi dèbile qu’inutile...

C'est avec ce film que j'ai découvert le genre Road Killer.
Depuis je suis devenu accro a ce genre de film qui parvient toujours a être aussi intéressant, autant a travers les film Hitcher, ou même le chef d’œuvre de Spielberg que j'ai vu avant hier DUEL.
On peut d’ailleurs considérer que Joy Ride est une sorte d'hommage a DUEL, car sa reprend quasi la même histoire, mais avec un scenario un peux plus étoffer.
La scène du film, sans trop spoiler, qui se déroule dans le champ de maïs est ma scène préférer du film, je m'imagine sa en vrai, si j’étais a la place des victimes...
Comment un bête camion peut autant vous scotcher a votre fauteuil ?
Réponse dans Joy Ride !

Un thriller routier qui n'apporte rien au genre avec des rebondissements prévisibles, des acteurs moyens ( que vient faire Paul Walker là-dedans ? ) et un scénario bien fade, le point de départ est limite ridicule avec une blague puérile qui tourne au cauchemar. J'ai eu un mal de chien à aller au bout, pris de crises de somnolence intempestives mais j'y suis arrivé quand même pour assister au final à tous les ingrédients attendus sans aucune surprise. Autant se refaire tranquillement le culte "Duel". Passable.

Afligeant navet pompé de toute part et joué comme trois sabots. Passé les 15 premières minutes un tout petit peu originales on s'enlise dans du déjà vu prévisible où l'incohérence sert d'imagination.

Une virée en enfer est un sympathique Road Killer où l’on suit deux frères, interprétés par le regretté Paul Walker et Steve Zahn, aux prises avec un routier psychopathe après lui avoir fait une mauvaise blague. Le film est plutôt correct dans son ensemble : la réalisation tient la route, les acteurs ne sont pas mauvais, à l’image des deux acteurs principaux, et le scénario (signé J.J. Abrams) bien que simpliste, nous tient en haleine jusqu’au bout. On regrettera cependant une baisse de tension au milieu du film qui vient couper l’élan de celui-ci. Malgré tout, Une virée en enfer est un film bien fichu, pas le meilleur du genre, mais qui a le mérite de nous faire passer un bon petit moment.

L' histoire : deux crétins font des conneries et se font harceler par un routier dingo. Les personnages n'ont pas été gâtés par le scénariste qui n'a probablement jamais écrit quoi que ce soit qui tienne debout. Ledit scénariste n'étant pas transcendé par le réalisateur, on comprendra que ça ne vole pas très haut. Pas de suspense, pas d'intrigue, pas de sexe, pas de gore, pas d'humour, rien, calme plat.
Les responsables de ce légume en forme de navet doivent absolument changer de métier sous peine de discréditer toute la profession.

Nous sommes en 2001. Paul Walker, Steve Zahn et Leelee Sobieski sont encore des stars en devenir et les mettre en tête d’affiche d’un film n’est pas la décision la plus commerciale qu’il soit.

Réalisé par le vétéran John Dahl, Une Virée en Enfer est un petit teen thriller d’épouvante sans réelle prétention d’être le renouveau du genre. Et pourtant, avec un scénario partiellement signé J.J. Abrams, qui prend énormément son temps pour établir des personnages efficaces à grand renforts de longues discussions qui sonnent franchement juste et qui parvient à se renouveler constamment au lieu de s’en tenir à une simple course-poursuite entre un camionneur et trois jeunes gens, et un duo d’acteurs particulièrement bon, avec une alchimie parfaite et un sens de la comédie assez étonnant au vu du ton du film, de l’épouvante souvent teintée d’humour noir. Le film bénéfice aussi de l’intervention de Ted Levine pour faire la voix du croquemitaine du film (qui n’en est pas vraiment un, une autre force du film) et d’une réalisation très réussie de John Dahl, qui évite toute forme de jump scare et préfère distiller le mal-être avec une atmosphère étouffante et une lumière fantastique de Jeffrey Jur. Le film n’en est que plus intéressant et passionnant. Certaines séquences sont même épiques, comme les dix-douze minutes qui mènent à la fuite dans les champs de maïs ou toute la scène où nos héros doivent accomplir un défi de Rusty Nail.

Porté par une très bonne musique de Marco Beltrami, Une Virée en Enfer est un classique instantané du genre, dans la mesure où John Dahl réalise le thriller d’épouvante parfait. Indispensable.

Un road-movie horrifique avec quelques touches d'humour qui lorgne un peu sur le "Duel" de Spielberg. Si la première partie du film est très "cliché" la deuxième partie réserve quelques bonnes surprise. Cette réalisation de John Dahl n'est pas la référence du genre mais elle mérite toutefois un petit détour (mortel) si l'on est amateur du genre.

Honnêtement il mérite une note de 3,3/5 on va dire, mais l'ambiance est prenante on stress autant que Paul Walker et son frère, le seul regret que j'ai finalement c'est qu'aucune suite n'es vu le jour, enfin officiellement si, mais "Une Virée en Enfer 2" c'est l'équivalent de la sortie en Vhs du nanard Ultime signé "Asylum Productions" les spécialistes du genre avec leur progéniture détestable "Titanic 2" ... la réaction que tout le monde a eu c'est "Non, Ils ont osé" et bien c'est similaire pour la deuxième œuvre d'"une virée en enfer" ... On prends PAS les mêmes et on recommence ........ du moins, on essaye ... Mais tout ceci est volontairement emphatique car "Titanic"est le plus grand film de tout les temps, "Une virée en enfer" est un bon divertissement sans aucunes prétentions

DUEL. Tout le monde n'est pas Spielberg. Voici le genre de film que je ne supporte plus et que je ne veux plus voir. Pourtant, John Dahl m'avait habitué à du tout bon...

Un film plein de suspense! On en a plein la vue! à voir!

Un petit film sympathique interprété par un trio d'acteurs agréables et impliqués. "Une virée en enfer" est un film oppressant et effrayant. On joue avec nos nerfs et c'est très angoissant.
Bref, un film méconnu et efficace qui vous fera passer un bon petit moment d'angoisse. A voir si vous aimez le genre.

Une virée en enfer lorgne du côté de Duel de Spielberg et si les 45 premières minutes fonctionnent par contre la suite est ratée et l'intensité nerveuse du début baisse considérablement.

Un petit film qui use facilement de recettes classiques du genre au point que la prévisibilité est présente malheureusement. Les acteurs sont malgré tout sympathiques et le rythme est soutenu.

J'adore ce film, j'aimerais bien d'autres dans le même genre... pourtant, paul walker est un très mauvais acteur, totalement amorphe ce mec, mais la performance de steve zahn comense un peu, c'est donc au final un très bon choix ce duo. j'adore l'ambiance, la scène sous la pluie etc. dommage qu'il n'y ait pas plus de film du meme genre. une vraie surprise et un classique now pour moi.