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    Django
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    144 critiques spectateurs

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    Totoloinloin
    Totoloinloin

    2 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Court, efficace, Franco Nero est charismatique... on sent l'influence de Clint et Leone mais peu importe. Il se suit avec plaisir.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 894 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2024
    Un mystérieux et charismatique étranger arrive dans une ville perdue, traînant sur le sol boueux un cercueil. Corbucci donne là une image marquante pour le western, et le cinéma en général. Sergio Corbucci a une approche similaire d'un autre Sergio, Leone, mais suffisamment différente pour ne pas faire redite avec la trilogie du dollar. Avec Django, Corbucci devient un des maîtres du western italien et fait de son héros une icône. Néanmoins, le personnage est moins "salaud", et la romance quand même loin d'être féministe. Django est un bon film mais il ne vaut pas, dans le fond comme dans la forme, l'œuvre pour la postérité de Corbucci, Le grand silence.
    fred c
    fred c

    1 abonné 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    "Le bon la boue et le truand". Dés les premières minutes on peut voir qu'il est du même calibre que les Clint Eastwood/Sergio Leone de la même époque. Un poil de cheval moins abouti, Nero moins charismatique que le Clint, mais de là a l'enterrer ? non. On prendra donc bien un peu de spaghetti !
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    En 1966, Sergio Corbucci livre un classique du western-spaghetti dans lequel tous les clichés du genre abondent : un homme solitaire (Franco Nero) à la gâchette facile, une histoire de vengeance et des méchants sans vergogne. Le scénario permet d’enchaîner les scène violentes et les tueries tout en maintenant une certaine tension. Evidemment, si l’on compare ce film au célèbre « Le bon, la brute et le truand » sorti la même année, ce drame musclé ne peut égaler la subtilité de celui de Sergio Leone. Néanmoins, le thème de l’anti-héros ambigu qui s’avère presque aussi salaud que les autres révèle chez le spectateur un plaisir sadique peu avouable. Bref, du western sans poésie mais très efficace.
    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2023
    Un western bien déprimant, qui ferait presque passer ceux de Sergio Leone pour des comédies.
    Ici pas de paysages magnifiés ou encore de touches d'humour....tout n'est que désolation, la ville est déserte, boueuse...
    Le scénario enchaîne les massacres à la mitrailleuse et les scènes de torture (dont une qui n'est pas sans rappeler "Réservoir dogs" de Quentin Tarantino).
    Héros solitaire, Franco Nero (dont la ressemblance avec Terence Hill n'est pas contestable) porte le film sur ces épaules (comme il traine son "cercueil"), mais il est bien seul...
    Il est confronté à un ex-officier confédéré (le Major Jackson) ainsi qu'à un révolutionnaire mexicain (le Général Hugo Rodriguez), pas vraiment charismatiques.
    Seule éclaircie au programme, la scène finale, avec la célèbre musique de Luis Bacalov interprétée par Richy Roberts et spoiler: l'infime espoir de retrouver Maria vivante
    .
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    12 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2023
    Django Western culte qui a cartonné mais moi je n'ai pas trop aimé ce film je trouve les méchants tout sauf charismatique le protagoniste n'est pas attachant , le scénario est très moyen. Le film est beaucoup trop lent avec très peu de scènes marquante. ( après ce n'est que mon avis)
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2023
    Un classique du western spaghetti, accompagné d’une bonne sauce bolognaise mijotée par un justicier solitaire à la fine gâchette !
    AugusteMars
    AugusteMars

    32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2023
    Western crépusculaire et fataliste, Django est un chef d'œuvre du spaghetti, une œuvre où la violence est extrêmement graphique, mais aussi crasse, un gâchis qui n'amène que la violence, la destruction, la mort. Héros mythique qui cherche à échapper à son mythe, ange de la mort, Django est un personnage fascinant, qu'on devine dégouté par cette violence mais qui ne peut survivre et aider les autres qu'avec elle, quitte à tout sacrifier. Et oui, la paix viendra, mais ce sera dans un désert de boue et de désolation, et dans une scène finale inoubliable, emblématique du film...
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Non le western spaghetti ce n’est pas que les chefs d’œuvre de Sergio Leone. Parmi les autres grands film du genre il y a donc Django de Sergio Corbucci (auteur aussi du merveilleux « le grand silence »). Django est un film qui alterne avec merveille film d’action à tendance série b pour son côté divertissement et un aspect sombre et boueux qui met à mal le mythe de l’ouest et de ses héros. Un film à la fois enthousiasmant, stimulant, divertissant, pessimiste bref un vrai concentré de cinoche artisanal fignolé de main de maître et une des grandes « influences » de Tarantino qui a largement pioché dedans pour le meilleur.
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2023
    Attention, Western d'exception ! De l'or, du sang et de la boue, voilà le matériel qui l'en compose, de cela, les thématiques codifiés du registre en seront poussées à un paroxysme qui définit mon exception inaugurale.

    spoiler: Puisqu'il s'agit d'inauguration, comment débuter sans évoquer son introduction ? Un type qui traine un cercueil dans une mélasse sur fond de chanson éponyme à son nom, quoi de plus iconique ? D'emblée, le film captive avec sa démonstration par l'image des idées arque boutés autour d'un monde en décrépitude, ou les camps se retranchent derrière les bannières, par choix et sadisme, comme une véhicule de la théorie du plus prompt à rependre la cruauté par la force sur celui estimé inférieur. Tout son champ lexical se conjugue par l'impulsion de son réalisateur, Sergio Corbucci ( et d'un Ruggero Deodato ! ), dont la façonne stabilise un récit autour d'un personnage pour qui cet ordre doit s'acheminer, sans aller trop vite ... Détail qui à de l'importance. Django, cet ex-soldat, prisonnier, déserteur, dont les objectifs sont dans un premier laps de temps peu équivoques livre à mesure les intentions de sa présence au milieu d'un conflit auquel il a, déjà, à moyen et court terme pris fonction et qui selon lui, n'a que trop durer en étant victime de ce dernier. Sa position sur l'échiquier s'inverse momentanément lorsqu'il révèle le contenant de son bagage plus qu'inhabituelle, son sourire entraperçu lors de sa rafale sur les alliées de son ennemi, arborant le rouge comme emblème, dresse le substitut du fin de règne. La calfeutre derrière les murs est terminé ! Viens maintenant un autre chapitre. Celui-ci débute à l'instar du précèdent, par un acte manifeste de torture ( dont Tarantino à visiblement bien été influencé ), l'ablation et la dégustation de l'oreille du col rouge, par le col rouge ! Pourtant, le ton passé cette horreur devient nettement plus " léger ". Django, vire à l'épopée, place le curseur sur un projet autre que la vengeance, celui d'un braquage main dans la main, une coalition pleine de frénésie, épique, enjôleuse malgré sa poursuite de sa brutalité manifeste. La fin du coup, laisse aussi place à une évasion qui tend à oscillé vers une suite de cet acabit. Le troc du contenant du cercueil, et la nouvelle direction une fois la ville quitté reviens à un point de départ bien plus macabre et tragique. La boue, une fois encore est le premier de ces éléments à entrer en scène. Je crois n'avoir jamais autant fixé sa composante que par ce Western, il y'a de quoi voir, il faut le dire. La torture, physique et psychologique sont des outils mis en œuvre pour assouvir la domination au milieu du conflit, post-guerre, mais dont le mal ronge encore les consciences, croyances, et dont la légitimité n'est que certitudes pour atteindre le but entériné jusqu'ici. La fin du long-métrage, de sa perte du colis, pas si précieux au final, enfin pas le but ultime, aussi surprenant soit-il, à la déflagration qui s'ensuit, tout est ici mis en œuvre pour attester d'une colère froide, gratuite, difficilement soutenable. La balle de Maria, les mains brisés à coups de crosses puis par le piétinements des cavaliers sous les rires racontent une horreur vu comme acte de piété par des tortionnaires ... Un mal, sans vision manichéiste, qui narre une abominable vérité, l'horreur est déjà là ! La suite, une exécution en bonne et due forme, de celui ayans mis un terme à la neutralité dont il se représentais jusqu'alors. Une fin que l'on imagine similaire sans son choix d'y prendre ou non fait et cause ... En charpie, Django, obtient consécration du sacrifice sur la tombe de celle qu'il souhaitait vengé depuis le départ. Dans une démonstration, là encore ! Franco Nera et consorts sont des visages sublimes, ce film se gaussent de les mettre à mal, ils et elles souffrent avec une brutalité et une fièvre qui soumet une délivrance lorsque le " Fine " retentit. Un chef d'œuvre.
    Patjob
    Patjob

    20 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2023
    Bien sûr, quand on est admiratif du film de Tarantino, on est curieux de voir ce western Italien auquel il rend hommage (ou du moins se réfère clairement) tourné à la même époque que la trilogie du dollar de Sergio Léone. Largement au niveau de « Pour une poignée de dollars », il ne bénéficie pas d’un scénario aussi élaboré que celui des deux suivants. Mais il affirme incontestablement un style, et fait partie en cela des références du western spaghetti, avec force gros plans, apparitions théâtrales, ambiance boueuse et crépusculaire, violence et cruauté. La première partie est très réussie, empreinte de mystère (le cercueil tiré par Django) et de fascination, la seconde bien moins, qui se noie dans une répétition de scènes d’actions et de fusillades sans grand intérêt. A noter une forme de dénonciation du suprémacisme blanc en la personne de l’ex confédéré Jackson et de sa troupe cagoulée qui évoque le Ku Klux Lan…
    pierrre s.
    pierrre s.

    350 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2023
    Dans la lignée de Sergio Leone, mais un cran en dessous tout de même, ce sympathique western réunit les codes du genre et offre un beau rôle au charismatique Franco Nero.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2023
    J'ai vu un film... dans la plus pure tradition du western spaghetti... avec des méchants, très méchants et un peu bêtes, car ils se jettent sous les canons des feux de l'enfer afin d'abréger leurs souffrances sur cette Terre, et un sacré héros, Django (aucun lien avec Tarentino...). Le héros nous livre un combat boueux, épique, titanesque du bien contre le mal, qui a l'avantage d'être multiple et nombreux, tandis que le héros est seul... Et que croyez-vous à la fin il arriva ? Eh bien, le bien triomphe... et le mal moins... La violence succombe à la violence, la mort cède à la mort, mais Django lui survivra, car c'est sa raison d'être... Sa raison de vivre ? La musique accentue la dimension mythique du personnage...Franco Nero est un superbe Django qui me fait penser à Terence Hill face à Henry Fonda dans "Mon nom est personne"... On passe un excellent moment, même si le charme est désuet...
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    25 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2022
    Il y a bien un point ou on ne pourra rien redire à ce Django, c'est l'iconisation de son personnage principal, et ce dès le générique de début de film. Directement un personnage marquant est créé, avec son cercueil qu'il traîne, et les gros plans ou les zooms sur le visage (ultra charismatique) de Franco Nero, bien aidé aussi par la superbe musique de Luis Bacalov. En plus de cela chaque action, chaque parole de Django est pensé pour appuyé l'iconisation du bonhomme. Sans oublier qu'il paraît invincible tant il est un as de la gâchette, c'est clairement abusif, mais c'est ce que Corbucci à voulut.

    C'est de même pour les paysages, d'une froideur et d'une désolation énorme (on se croirait dans un hiver poisseux, avec du mauvais temps, de la boue). Il y a aussi tout ce contexte de guerre entre mexicain et sudiste, et le comportement du major Jackson faisant littéralement du tire au pigeon sur des mexicains. Tout est surligné, tout est accentué, le moindre échange, le moindre mouvement, le moindre regard, juste pour impressionner, et c'est clair que ça fonctionne.

    Mais le film n'ira malheureusement pas plus loin. C'est l'archétype du western qui veut marquer la rétine, qui en fait beaucoup (ce n'est négatif), mais pour pas grand chose dans son fond. Il n'y a pas de grosses évolutions de personnages, de relations intéressantes, ni même de propos. Il y a pourtant un contexte raciale et religieux intéressant, qui aurait sûrement valut d'être mieux exploré.

    Mais ce n'est pas ça qu'à voulut montrer Sergio Corbucci, non. C'est son personnage, l'un des plus badass du cinéma tout genre confondu, flinguant des types par dizaines. Et sur ce point, il nous livre ce que l'on veut.

    Pas un western incroyable de maîtrise, très loin des Opéras de Leone, pas un film au scénario riche comme peuvent l'être ceux de son compère Sergio Sollima. Mais un gros western divertissement, un western limite cartoonesque, avec en son sein l'un des personnages les plus marquants du cinéma.
    Artriste
    Artriste

    82 abonnés 1 822 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    Western spaghetti réalisé par Sergio Corbucci, Django se contente d'être un film conventionnel. L'histoire nous fait suivre un homme tirant un cercueil, arrivant dans une petite ville ou il va sauver la vie d'une femme, ce qui va l’amener à se retrouver au cœur d'un conflit. Ce scénario est plaisant à suivre et gagne en qualité au fil des minutes de son heure et demie d'aventure bien rythmée. Cependant, l'intrigue et l'enjeu sont convenus et n'ont pas grand-chose à offrir hormis des échanges de coups de feux et des bagarres à mains nues. Le contenu aurait gagné à être plus approfondis et moins balisé. Surtout que le mystérieux cercueil qui est censé être l'attraction principale ne tient pas ses promesses. Il en va de même pour les personnages peu attachants dû à un manque d'épaisseur. On retiendra surtout le visage du charismatique Franco Nero qui interprète le rôle titre. Les autres comédiens assurent leurs rôles sans briller pour autant. Malheureusement, les relations entretenues par tous ces individus ne procurent rien. La faute à des répliques ni drôles, ni percutantes, qui ne sont clairement pas assez incisives. L'ensemble est plutôt bien réalisé et les environnements parcourus sont agréables. Un visuel accompagné par une superbe b.o. signée Luis Bacalov. Elle est en parfait accord avec l'ambiance et est la plus grande réussite du long-métrage. La fin pour sa part est assez attendue mais s'achève sur un dernier plan marquant. En conclusion, Django possède de belles qualités mais ne propose pas grand-chose de différent lui permettant de se démarquer et de lui donner une véritable identité pour en faire un film incontournable.
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