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Synopsis
Mathieu Lievin, 40 ans, architecte parisien, prend la route pour rejoindre la petite ville de son enfance où sa mère vient d'être hospitalisée en urgence. Dans la rue, il croise Maya, son amour de jeunesse, qu'il n'a pas revue depuis quinze années. Accompagnée d'un homme et d'une petite fille, elle ne lui adresse pas la parole. Deux heures plus tard, le téléphone sonne dans la maison familiale : c'est Maya qui l'invite à venir la retrouver chez elle. Il hésite un court instant puis accepte...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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3 052 abonnés
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2,5
Publiée le 16 septembre 2009
On ne s'ennuie pas grâce à un très bon jeu d'acteurs qui se découvrent ainsi convaincants et touchants... Mais le thème de l'histoire est plus que banal et le film commence à prendre un peu de consistance que beaucoup trop tard. Au bout du compte le sentiment est plutôt mitigé ! On regrette alors le très bon "partir" vu il n'y a pas si longtemps avec le même Yvan Attal...
titicaca120
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3,0
Publiée le 21 octobre 2010
l'amour destructeur dans toute sa splendeur, plus rien ne compte,aucune retenue,celà tourne a l'obsession,a la folie.
lhomme-grenouille
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0,5
Publiée le 21 décembre 2009
Toujours la même chose... Encore une exposition banale d'un mal-être de quadras qu'on a vu mille fois. Non pas qu'on en veuille à Cédric Kahn qui certainement ne pensait pas à mal en faisant ce film. Seulement voilà, il est tout de même assez consternant qu'il n'ait rien d’autre à proposer, sur plus d’une heure et demie de film, que ces traditionnelles et sempiternelles banalités d’un côté, et cette mise en images aussi creuse ...
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defleppard
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168 abonnés
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1,0
Publiée le 10 février 2010
Filmé avec une lumière et une texture qui tient plus d'un téléfilm façon Arté.Le rthyme donné est ennuyeux.
Cédric Kahn précise ses intentions : "Les Regrets est parti du constat que j'avais toujours évité les émotions, même dans L'Ennui, qui est d'abord une histoire d'obsession sexuelle, de cruauté et de rapports de force, pas de sentiments. Une histoire d'amour, c'est un basique au cinéma, l'équivalent d'un tailleur pour un couturier ! Au vu de l'histoire du cinéma, c'est ultra rebattu et classique, mais au vu de mon histoire personnelle, c'étai
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Kahn, à l'origine...
En 1993, Cédric Kahn avait participé à l'écriture du scénario des Gens normaux n'ont rien d'exceptionnel de Laurence Ferreira Barbosa, le film qui révéla Valeria Bruni Tedeschi -et qui lui valut d'ailleurs le César du Meilleur espoir. "J'ai été témoin privilégié de cette éclosion d'actrice", confie t-il, ajoutant : "Je pense qu'elle a une place à part dans le cinéma, qu'elle n'est pas interchangeable."
L'amour en quatrième vitesse
Une des caractéristiques des Regrets est son rythme : l'intrigue est menée tambour battant, au point que Cédric Kahn parle de son film comme d'un film d'action. Il précise : "Les Regrets parle de choses sentimentales et psychologiques mais le traitement est très concret : filmer la tension amoureuse, la pulsion, la peur que l'autre vous échappe. Je voulais que le film aille vite, qu'il soit elliptique, dense, monté comme un film d'action. Qu
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Filmé avec une lumière et une texture qui tient plus d'un téléfilm façon Arté.Le rthyme donné est ennuyeux.
Pascal37
Le thème : la fougue, ici avec une reprise de contact d'un ancien amour, nous plonge dans la "litanie" récurrente de la passion sans grandes nouveautés ni surprises. Un scénario assez convenu sauvé par Attal et détruit par Valeria Bruni Tedeschi. Il aurait été préférable d'inversé et d'attribué le rôle à Arly Jover qui fait passer beaucoup d'émotions. Quelques séquences de "heurts" assez bien mené et se chassé croisé source de regrets. Attal toujours cohérents, sans en faire de trop, imprime le rythme, malmène les acteurs et donne, heureusement, une certaine épaisseur à l'ensemble. on passe complètement à coté du drame pour ne se fixer que uniquement sur la relation, le reste est subjectif ou passé sous silence (volontaire ?). Un film qui se regarde, un peu court dans ses contours, on aurait aimé un peu plus. 3/5 !!!
Asalyah
encore un film français, a croire qu'on est capable de ne faire que ce genre de bouses intellectuellement masturbation sur les coucheries des bobos parisiens...Du caca en barre comme les 54542563 autres films français identiques sortis cette année.
odilederay81
quel ennuie ce film pff ras le bol, j'avais adoré "roberto succo" , mais ces autres films dont "feux rouge" aux secours quoi pff
ibicus85
Rien de nouveau dans cette histoire d'adultère en milieu Bobo... Ce jeu du chat et de la souris entre enfants gâtés ne donne surtout envie de les plaindre. Valeria est sublime mais ça ne suffit pas... Même la musique de Glass a un goût de déjà entendu... A noter cependant l'excellent "Sinerman" de Nina Simone, seul moment vraiment poignant du film.
marieghis
J'ai adoré ce film.J'y ai cru à fond à cette histoire d'amour. Les deux personnages sont très différents l'un de l'autre mais la passion entre eux est d'autant plus réelle et proche de nous. Sans beaucoup d'artifices on "sent" la vie iintérieure des personnages, la force de cette passion, l'impasse dans laquelles ils s'enfoncent ... Les aller et retours tourments de leur âme ...
marcfieldfr
Sauvé par Yvan Attal, sans lui il ne reste pas grand chose à garder dans ce film