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Synopsis
The Time That Remains est un film en partie autobiographique, construit en quatre épisodes marquants de la vie d'une famille, ma famille, de 1948 au temps récent. Ce film est inspiré des carnets personnels de mon père, et commence lorsque celui-ci était un combattant résistant en 1948, et aussi des lettres de ma mère aux membres de sa famille qui furent forcés de quitter le pays. Mêlant mes souvenirs intimes d'eux et avec eux, le film dresse le portrait de la vie quotidienne de ces palestiniens qui sont restés sur leurs terres natales et ont été étiquetés "Arabes-Israéliens", vivant comme une minorité dans leur propre pays.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
En gommant le contexte, on peut trouver ces souvenirs jetés à la face du monde comme trop personnels, indignes de constituer un film international. Sont posées une suite de "colles", cette voiture sous la tempête, quelques références guerrières... Puis l'auteur d'abord en retrait se plante devant la caméra avec sa silhouette souple, beau visage, regard méridional parfois humide, l'air de nous dire "est-ce que ça vous parle" ?... Sont ...
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alain-92
290 abonnés
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5,0
Publiée le 18 août 2009
Allez-y !
EricDebarnot
171 abonnés
1 262 critiques
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4,0
Publiée le 18 août 2009
Non, le "Temps qu'il Reste" n'égale pas en splendeur et en émotions cette mémorable "Intervention Divine" que Suleiman avait suscitée il y a quelques années : construit sur des principes (peut-être trop) similaires, avec cette mise en scène au cordeau et ces cadrages "à plat" instillant un comique burlesque à des situations littéralement désespérées, le film échoue cette fois à aller au delà du brillantissime - mais parfois un ...
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link8866
83 abonnés
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5,0
Publiée le 21 décembre 2009
Une magnifique réussite signée Suleiman. Le film, bien qu' incarné par des personnages très froids, peu bavards, est sublimé d'une beauté plastique (la composition du cadre est époustouflante) et d'une justesse dans la mise en scène qu'on voit trop rarement au cinéma.
Le récit autobiographique du réalisateur nous transporte des années 48 à nos jours, en passant par les 70's, au Moyen Orient, dans une situation de conflit permanent ...
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Le Temps qu'il reste est le troisième long métrage réalisé par Elia Suleiman, après Chronique d'une disparition (1996) et Intervention divine (2002).
Note d'intention d'Elia Suleiman
"J'avais l'intention de réaliser un film épique qui ne s'inscrive en rien dans les lois du genre. Je voulais fabriquer un film personnel et intime, qui relate des faits historiques mais qui suscite des émotions intenses, sans pour autant être manipulateur. Certains des faits décrits ont eu lieu en réalité dans un contexte de chaos et d'extrême violence. Je resterai à jamais marqué par certains souvenirs de cette époque. Mais je voulais que ce cha
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Eloge du silence
"Je trouve le silence très cinégénique. Le silence est subversif par excellence. Tous les gouvernements le tiennent en horreur car c'est une arme de résistance. Dans la poésie, il a un rôle fondamental de respiration", explique Elia Suleiman. "Nombreux sont ceux que le silence intimide car ils se sentent déstabilisés, dépossédés de leur identité. Regardez les films grand public de l'industrie du cinéma où l'on rêve d'un seul instant de silence et
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excellent film très très bien réalisé , rien à dire 5/5.
Barabas Dupont
Après 1 heure et 37 minutes de film, j'ai arrêté cet opus assommant.Elias Suleiman ferait bien d'aller suivre des cours de cinéma en Israël.
Il est à des années lumière de la qualité du cinéma israélien actuel.
Voir, et la liste n'est pas exhaustive, Jaffa, la visite de la fanfare, les citronniers, la fiancée syrienne, Valse avec Bachir, Beaufort, Lebanon, et j'en passe et des meilleurs. Je n'ai absolument rien appris de la situation des deux "États palestiniens". Pas un mot sur Gaza et pas un mot de la corruption endémique des dirigeants de l'autorité palestinienne.Jamais, je ne me suis autant ennuyé.A oublier au plus vite.
walescot
j'ai vu ce film dans une salle de cinéma aux murs très fin et à côté il passait inglorious Bastred et on entendait tout puisque dans le temps qu'il reste, la bande son est faible, du coup ça gâchait. Bien qu'il soit très bien filmé ce film est trop long
cb87
Le sujet est difficile et pourtant il est magnifiquement traité, avec simplicité et humour, ce qui est bien loin de l’image que l’on se fait habituellement de la Palestine. Dans un style un peu différent, il y a le documentaire « Blague à part, un voyage en Palestine » ou la ré-alisatrice Vanessa Rousselot nous apporte un éclairage différent et hors du temps médiatique sur la Palestine : Le rire existe-il là-bas? Soutenez ce projet avec touscoprod et découvrez la réponse sur
rubin93
Belle propagande islamico palestinienne, voulant faire passer le palestinien pour un poete sans défense et victime conjuger à une chrétienté originelle incarnée dans l'identité arabe.La réalité des chrétiens sont l'assassinat et la fuite depuis 60 ans des territoires palestiniens.