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Synopsis
Kahina, jeune mère incarcérée, a une semaine de permission pour passer Noël avec son fils. Sur les traces de son passé, elle va rencontrer Oussmane, rappeur à succès embourbé dans une petite vie bourgeoise et en couple avec Laure, une hôtesse de l’air sexy et hautaine rêvant d’être mère. Ces trois personnages aux caractères explosifs vont se rapprocher, se soutenir, s'affronter, dans la poursuite de leurs rêves. Et ensemble, ils vont tenter de répondre à cette question : Comment l'amour se construit-il ? Comment faire l'amour ?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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229 abonnés
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4,0
Publiée le 3 février 2016
Carrénard irrite : le nouvel espoir du cinéma français va là où on ne l'attend pas. Il s'accroche à sa démarche de cinéma guérilla, la pousse à bout (...). Un conflit ne vient pas en quelques minutes, sinon ça ferait cliché. Hors c'est ça le sujet du film : entre les hommes et les femmes, on n'y échappe pas mais c'est difficile. Il faut le temps que ça s'engraine, que la tension monte, que les mots se lancent et se crachent, qui ...
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Jackee T
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8 abonnés
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1,0
Publiée le 18 février 2016
DJINN CARRENARD a du talent, il a de l'audace. Aux USA, ils ont ce jeune réalisateur RYAN COOGLER (FRUITVALE STATION, CREED) je ne peux pas m'empêcher de les comparer.
Après avoir vu DONOMA, je me réjouissais d'avoir un talentueux réalisateur qui va renouveler le cinéma Français. Mais après voir vu F.L.A, désolé mais ce film est un raté monumentale, on ne peut pas faire payer des gens pour voir ca...c'est un film épuisant, long, ...
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Bertrand Barbaud
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99 abonnés
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1,0
Publiée le 25 novembre 2019
Mal conçu, hâbleur, nombriliste et très approximativement filmé. Un film qui mine tous les espoirs mis dans ce réalisateur.
FLA est présenté en ouverture de la Semaine Internationale de la Critique 2014.
Genèse du film
Le réalisateur Djinn Carrenard s'est confié au micro d'Allociné sur la genèse de ce projet de deuxième film qui lui est venu en 2007 alors qu'il regardait un documentaire de la série "L’œil et la main" sur un monteur qui perdait l'oüie : "J’ai vraiment eu envie de parler de ça : comment le handicap peut tout enlever. En plus, nous on est des artistes, notre talent tient à un sens. Si on perd ce sens, c’est fini. Si je perds mes yeux, je
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Sous le titre
Le titre FLA est l'acronyme pour "faire l'amour". Et il est bien question d'amour dans le deuxième film de Djinn Carrenard dont l'ambition première était de mettre en image des couples de tous horizons et tenter ainsi de répondre à cette question universelle : Comment l'amour se construit-il ? Dans une interview accordée à Allociné, le cinéaste décrypte les multiples facettes inscrites dans le sentiment amoureux : "Q
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c est quoi ce film ... bidon on.dort ... on.s ennuie
tanguythev
En tout cas, je trouve "bourgeois" d'amener un cinéaste faire un film à 1,5 millions d'euros qui à l'air d'en couter 2000 tant la photo est dégueulasse et les approximations plus que constante.(et non, l'image ne concerne pas que le formalisme; l'image raconte une histoire, elle ne sert pas de support au scénario. Si c'est le cas, ce n'est que de la littérature ou du théâtre filmé)
tanguythev
Je me souviens d'une conférence TED ou monsieur Carrénard, du haut de toute sa condescendance, se plaisait à séparer la technique du cinéma des émotions que le médium procurait (montrant les deux comme antinomique et prenant,, pour exemple, les effets spéciaux du pas top "Avengers" comme exemple).En résulte que son "FLA" coute 1,5 millions et à l'air d'en couter 1500 (si on tient en compte le fait que "Donoma" faisait 150 balles).Georges Romero, pour 60 000 dollars d'époque (en constant on arrive dans les 250 000) te faisait "Martin".Pour un million de dollars, Alejandro Jodorowski te faisait "Santa Sangre".Le cinéaste paye son discours et sa méthode.C'est un scandale de voir des soucis de netteté au sein d'un seul plans au vu du budget du film.Si le geste se voulait punk et audacieux, il aurait fallu être cohérent et accompagner la chose d'un budget minimal et d'un plan de tournage mi-amateur.
tanguythev
Ah ouais c'est grave raccord: le fond est aussi moche et creux que la forme.
Christoblog
J'avais adoré Donoma, mais quelle déception ici : le film est agressif, répétitif et mal monté...
canayou
Formalisme, c'est vrai, mais ce sont des formes cinématographiques très belles, sauf qu'au final c'est un conte. Ce final qui modifie certains points de vue et qui offre une profondeur, une perspective et un sens au film. En tout cas c'est ce que j'ai ressenti.
KADER59pf ..
Qu'est-c'que tu fous dans cette production dénudée Despo ?????????????????? :s c'est une blague ??????on m'l'aurait dis j'y aurais jamais cru .
Cinematraque
" S’il est bien quelque chose qu’on ne peut pas qu’accorder au cinéaste, c’est qu’en tous points la forme du film est en accord avec le fond. A l’image, Faire l’amour ramène d’emblée le spectateur en position de voyeur. Il est cet oeil scrutateur qui virevolte, s’attarde sur un geste de la main, un regard détourné, un contrechamp. Il enferme les personnages dans un cadre au sens propre, par un détourage qui rappelle autant la pellicule filmique que l’écran de la salle. Là est la force de la mise en scène de Carrénard, qui construit toujours ses effets de manière à rappeler l’intimité de ce qui se joue entre les trois jeunes gens. Les arrière-plans s’effacent souvent, flous, surexposés, rognés. Il n’empêche néanmoins que cette maîtrise formelle finit à son tour par se retourner contre le film. La segmentation scénaristique permettait à Donoma de varier les influences, de Bresson à Kechiche en passant par la Nouvelle Vague. A force de répéter la même recette, FLA flirte avec le formalisme théorique. "http://www.cinematraque.com/20...