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    Vous ne l'emporterez pas avec vous
    Bande-annonce Vous ne l'emporterez pas avec vous
    3 novembre 1938 en salle | 2h 07min | Comédie, Romance
    Date de reprise 15 septembre 2010
    De Frank Capra
    |
    Par Robert Riskin
    Avec Jean Arthur, Lionel Barrymore, James Stewart
    Titre original You Can't Take it With you
    Presse
    5,0 1 critique
    Spectateurs
    4,3 487 notes, 35 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    Après avoir fait fortune, le vieux Vanderhof est devenu un sage en pensant que l'argent ne fait pas le bonheur. Il vit entouré de ses petits-enfants et de ses domestiques, pour le moins originaux. Mais voila que sa petite-fille Alice tombe amoureuse de Tony Kirby, le fils d'un homme d'affaires. Si Alice et Tony s'aiment, ce n'est pas le cas des Vanderhof et des Kirby, qui n'ont pas réellement la même conception de la vie.

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    Bande-annonce

    Vous ne l'emporterez pas avec vous Bande-annonce VF 2:02
    Vous ne l'emporterez pas avec vous Bande-annonce VF
    7 230 vues

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    samedi 7 mars 2015

    Acteurs et actrices

    Jean Arthur
    Rôle : Alice Sycamore
    Lionel Barrymore
    Rôle : Papi Martin Vanderhof
    James Stewart
    Rôle : Tony Kirby
    Edward Arnold
    Rôle : Anthony P. Kirby

    Critique Presse

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    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
     Kurosawa
    Kurosawa

    503 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2015
    "Vous ne l'emporterez pas avec vous" reprend une idée assez commune au cinéma (deux êtres qui s'aiment mais leurs familles respectives sont en désaccord) mais parvient à lui insuffler une énergie en développant les thèmes chers à Capra, tels l’amitié et la condition sociale, eux-mêmes liés à un humour souvent percutant qui se conforme aux caractéristiques de ses personnages. Le film, sans être forcément très émouvant - moins ...
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    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    124 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2017
    « Vous ne l'emporterez pas avec vous » est une véritable explosion de joie et de fantaisie, un film réjouissant au possible, servi par d'excellents acteurs. Capra a le don de l'histoire qui fait mouche, du scénario intelligent qui rassemble les contraires et les préjugés pour mieux les défaire. Ici, il est question de deux familles qui s'opposent : les Vanderhof, dont le grand-père est un homme bon et affable, épris de liberté et ...
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    Top of the World
    Top of the World

    52 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    La première collaboration entre Frank Capra et James Stewart a donné lieu à cette charmante comédie sociale et romantique à la fois. Le cinéaste et son scénariste habituel Robert Riskin confrontent, avec cette adaptation de la pièce de théâtre éponyme, une famille de doux rêveurs vaguement anarchistes avec une autre nettement plus rigide et aisée. Stewart (égal à lui-même, donc génial), fils d'un richissime banquier, est amoureux ...
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    darthbebel
    darthbebel

    21 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2010
    Excellent! De la bonne humeur en pellicule! Le film de Capra (que j'ai vu) que j'ai préféré jusqu'à présent.

    Photos

    Secrets de tournage

    Oscars 1938

    Lors de la 11ème cérémonie des Oscars, Vous ne l'emporterez pas avec vous a été récompensé par les Oscars du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur.

    Droits d'auteur

    La société de production Columbia a déboursé 200 000 dollars pour acquérir les droits nécessaires à l'adaptation de la pièce écrite par George S. Kaufman et Moss Hart.

    Retrouvailles

    Le film marque les retrouvailles de Lionel Barrymore et Donald Meek, qui avaient déjà joué ensemble dans La Marque du vampire, un film d'horreur réalisé par Tod Browning, sorti en 1935.

    Infos techniques

    Nationalité U.S.A.
    Distributeur Columbia
    Récompenses 2 prix et 7 nominations
    Année de production 1938
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray 28/03/2024
    Date de sortie VOD 04/11/2019
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 6 anecdotes
    Budget -
    Date de reprise 15/09/2010
    Langues Anglais
    Format production -
    Couleur N&B
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 02542

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    Pour découvrir d'autres films : Meilleurs films de l'année 1938, Meilleurs films Comédie, Meilleurs films Comédie en 1938.

    Commentaires

    • Touka Speed
      pur moment de bonheur ce Capra !
    • ?ric O.
      Quand j'ai vu ce film pour la première fois, je me suis fait cette réflexion : C'est ce christianisme-là que je rêve de vivre... Et je me suis fait cette promesse : un jour je découvrirai une famille similaire et je m'y installerai, ou alors je l'inventerai en qualité de chef de file, tel monsieur Vanderhof (Lionnel Barrymore). En fait ce film n'est ni plus ni moins qu'un essai d'application de l'Evangile, au sens du texte mais non pas au sens interprété par les Eglises diverses ou les systèmes. Et, pour être plus juste, ce film est une application et un développement d'un paragraphe (qu'on nomme péricope) bien précis tiré de l'Evangile selon saint Matthieu, inséré lui-même dans le fameux Sermon sur la montagne et qui s'intitule "S'abandonner à la providence". (Pour info, Mt 6, 25-34, qui se lit : évangile selon saint Matthieu, chapitre 6, versets 25 à 34). J'ai toujours été étonné, quand on parle des films de Capra, qu'on les classe parmi le genre "comédie", à cause du manque de sérieux que ce terme implique, comme s'il disait qu'on fait "un film pour rire, pour de semblant". La seule comédie "pure" que je connais de Capra c'est Arsenic et vieilles dentelles, et ce n'est pas le Capra que j'aime, même si ce film vaut le coup d'être vu. Mais ce n'est pas l'essence Capra. Arsenic est à ranger plutôt du côté des comédies de Howard Hawks, genre "l'Impossible monsieur Bébé". Personnellement, les grandes comédies "sérieuses" et "réalistes" de Capra, qu'on peut aussi qualifier d'utopies (au sens noble), je les vois comme des... essais (au sens littéraire). Car choisir comme mode de vivre celui de la famille Vanderhof est... possible. Mais la liberté, la vraie liberté -- car il s'agit de cela dans ce film -- fait peur à la majorité, à cause des conventions et des conditionnements dont on est pétris sans, bien sûr, s'en rendre compte. "Vous ne l'emporterez avec vous" est donc un film anti-conventionnel, anti-conformiste sociétalement, au bon sens, sans rébellion ni violence, bien au contraire : en suivant la liberté du Christ, qui est la Liberté même. Faire l'analyse de ce film paraît donc dérisoire puisque la meilleure synthèse possible d'où tirer des analyses se trouve chapitre 6 de l'Evangile selon Matthieu. Capra doit beaucoup ses succès à son ami et scénariste Robert Siskin, qui lui a écrit ses meilleurs films, formant ainsi un couple créatif fonctionnant à merveille. Comme tout grand cinéaste, il avait sa "troupe" d'acteurs (et actrices) que l'on retrouve dans divers rôles au gré des créations. Ainsi, Lionnel Barrymore jouera tantôt les sauveurs, tantôt le salaud (La vie est belle). S'agissant des premiers rôles, masculins et féminins, on retrouve souvent James Stewart ou Gary Cooper, Barbara Stanwyck ou Jean Arthur (c'est une femme). Le miracle Capra se situe là : réussir des utopies filmées avec réalisme, grâce à un ensemble harmonieux d'une troupe qui aimait travailler ensemble, qui s'éclatait dirait-on aujourd'hui. Ce qui n'est plus guère possible de nos jours, tant le diktat de l'argent et du résultat commande l'industrie cinématographique. Quand on voit Vous ne l'emporterez pas avec vous, on y croit. La finesse de jeu et des dialogues (mise en scène) est une véritable alchimie réussie. Ici, tout est délicatesse, prévenance, gentillesse, avec beaucoup d'humour et plein de réjouissance, notamment le final, qu'on n'attend pas et qui surprend agréablement, au point que les... larmes coulent d'elles-mêmes, des larmes de bonheur. Souvent les synopsis des DVD nous parlent d'une famille de foldingues ou d'une stupidité hors du commun (sic)... Or je dis : Pas du tout ! Ils sont certainement plus sains (et plus saints) que les gens dits "normaux". Ils ont choisi leur vie, mettant au premier plan la liberté et la créativité de leur ambition première, tout en respirant la bonté et en étant charitable envers quiconque. Le personnage capraïen est animé, non par l'intérêt, mais par la relation -- le aller vers -- gratuite et sans masque. En fait Capra ne cesse de dénoncer indirectement le pouvoir de l'argent et les dégâts qu'il entraîne dans les coeurs, jusqu'à déshumaniser les personnes ; il dénonce aussi les barrières sociales et les classes. Car Capra l'humaniste est aussi un personnaliste dans la ligne chrétienne d'un Mounier. C'était ça, le rêve américain de Capra : la victoire de la liberté et de l'amour fraternel, mais pas au sens où on l'entend aujourd'hui. Ce qu'il prônait, en somme, c'était une éthique chrétienne et non pas une morale bétablocante, et pour bien comprendre le programme capraïen il suffit de lire (voir) ou relire avec attention son chef-d'oeuvre Horizons perdus où tout est dit. Merci.
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