Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
2013. Le typhon Yolanda dévaste la ville de Tacloban aux Philippines. Les victimes sont nombreuses. Bebeth, Larry et Erwin, rescapés de la catastrophe, se mettent à la recherche de leurs proches. Cette épreuve est douloureuse mais l’entraide apaise les coeurs. Malgré la persévérance et la foi de ceux ayant survécus, la Nature se montre encore et toujours impétueuse…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
90 abonnés
Lire ses 930 critiques
3,5
Publiée le 5 avril 2016
On regrette de ne pas aller plus loin, de ne pas suivre plus longtemps certains personnages, mais Taklub est d’une force incroyable où règne encore l’espoir au milieu du chaos, à force de foi et de solidarité (quel beau personnage que cette « Bebeth »).
LA SUITE :
chas
Suivre son activité
29 abonnés
Lire ses 172 critiques
3,0
Publiée le 27 avril 2016
Revenir aux Philippines un an après le passage d’un typhon est une bonne idée quand on déplore chaque jour le peu de suivi des emballements médiatiques. La ville de Tacloban n’est pas reconstruite et une des tentes où survivent des familles prend feu : c’est le début d’une heure et demie de projection, où nous suivons le combat solidaire de certains habitants.
« Un temps pour tuer et un temps pour guérir, un temps pour abattre ...
Lire plus
Taklub relate l'histoire vraie du passage du typhon Haiyan, qui a détruit la ville de Tacloban aux Philippines en novembre 2013. Avec des vents qui ont soufflé jusqu'à 315 km/h, ce super typhon est l'un des plus violents jamais enregistrés dans la région. Le bilan est très lourd : dans cette seule ville, 10 000 personnes ont perdu la vie.
Faux documentaire
Taklub jouit d'une esthétique très réaliste, proche du documentaire jusque dans la manière dont il a été conçu ; ainsi, les acteurs ont tourné sur les lieux-mêmes du passage du typhon. Les décors et les costumes sont issus de l'environnement immédiat du tournage.
Hommage
Brillante Mendoza était au départ réticent à l'idée de réaliser un film sur une telle catastrophe, comme le lui ont proposé des producteurs. "J’étais très hésitant car j’avais le sentiment que filmer les survivants dans la détresse relèverait de l’exploitation et que le film ne porterait que sur leurs souffrances et transigerait avec mes intentions de réalisateur", explique-t-il. Il a finalement changé d'avis, en décidant de s'intéresser à l
Lire plus