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Synopsis
Du moindre voyou aux chefs de la pegre, tout le monde est prevenu: "The Limey" (l'Anglais en argot de marin) est en ville et cherche vengeance. L'Angliche, c'est Wilson qui, apres neuf annees de prison en Angleterre, debarque a Los Angeles pour venger sa fille, morte dans des circonstances suspectes. Il decouvre un monde nouveau, dont il ne connait pas les lois. Plonge dans les bas-fonds, il affronte des criminels endurcis, a la recherche d'indices pour reconstituer un puzzle, a partir d'une seule piste: sa fille avait une liaison avec un producteur de disques.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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0,5
Publiée le 21 octobre 2012
Une ca-tas-tro-phe ! Et d’autant plus insupportable que Soderbegh, fort d’autres œuvres nettement meilleures, a voulu faire dans le cérébral et le maniéré. Plans fixes très (trop) rythmés, récurrents à donner la nausée (peut-être voulait-il atteindre le minimum syndical des 1h30 sans se fouler), histoire simpliste et ennuyeuse, violence parodiée (sûrement un message !) touchant au ridicule. Pour faire la bonne mesure dans cette ...
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7eme critique
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333 abonnés
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3,0
Publiée le 9 septembre 2014
L'histoire de "L'anglais" reste une simple histoire de vengeance ; là où l'objet se débarque des nombreux films sur ce même thème, c'est bel et bien de nous convaincre avec un justicier plus vieux que d'ordinaire. Fini les jeunes beaux-gosses qui se livrent à des actes héroïques pour venger leur bien-aimée, Soderbegh fait appel à Terence Stamp pour incarner un père qui n'a plus rien à perdre suite à l'assassinat de sa fille. Le papy ...
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rogertg2
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16 abonnés
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1,0
Publiée le 20 mai 2008
Une pâle copie de "LE JUSTICIER" avec Charles Bronson, l'action et le suspens en moins. Quant à tous ces retours en arrière, sans chronologie et la plupart inutiles pour la compréhension de l'histoire, est-ce pour que le film atteigne les 90 mn d'un film ordinaire car sinon, il n'y aurait pas assez matière pour y arriver ?
Julien D
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874 abonnés
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3,0
Publiée le 1 décembre 2014
Pour clore une décennie 90 sans coup d’éclat (un fréquent syndrome post-palme d’or), Steven Soderbergh fait le choix de signer un film dans l’esprit de ce qu’il fera de mieux par la suite, à savoir une histoire et une mise en scène classiques compensées par un casting prestigieux. En l’occurrence le schéma scénaristique est celui d’un film noir, basé sur une sempiternelle quête de vengeance, et l’acteur qui porte ...
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John Hardy, coproducteur, à propose de Steven Soderbergh :
"Steven est un cinéaste instinctif et expérimenté qui, dans l'espace du scénario, permet à ses acteurs de vivre. C'est de cette liberté que naissent la richesse et l'authenticité des sentiments. Steven admire ses comédiens, il les guide et les regarde s'approprier leurs personnages. Il les utilise et travaille en symbiose avec eux pour créer un film qui explore des thèmes d'une façon totalement inédite."
Lem Dobbs, scénariste
Il est le fils de l'artiste américain R.B.Kitaj. Son nom de plume est celui du personnage interprété par Humphrey Bogart dans l'un des chef-d'oeuvres de John Huston, Le Trésor de la Sierra Madre.
Après avoir grandi à Londres, Lem Dobbs est parti pour Hollywood à 18 ans pour écrire des scénarios. Il a écrit Kafka pour Steven Soderbergh, Rider in the House, La manière forte et Dark City.
Il a également été "script doctor" sur A la poursui
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L'un des demeures de "Valentine"
... est en fait le domaine de l'ancien conservateur du "Los Angeles County Museum of Art", Maurice Tuchman. Située sur les collines d'Hollywood, cette demeure recèle des peintures signées par le père de Lem Dobbs, l'artiste R.B.Kitaj.