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1,5
Publiée le 15 décembre 2011
Je ne sais pas si c'est le style mais ce film ne m'a pas accroché. L'idée à l'air bonne en plus avec Fernandel on s'attend à quelque chose de bien, mais non je le trouve vraiment raplapla, plutot mou, long et lent. Excepté l'idée de départ et quelques répliques je n'y trouve pas beaucoup d'originalité et il y a plus d'un nieunieu. Dommage.
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 août 2010
Verneuil, confirme sa réputation de grand réalisateur, le film constitue une vision pleine d'humour mais aussi extrêmement clairvoyante voire prémonitoire (en 1954) de la société américaine (un modèle de démocratie !), qui depuis ne s'est pas améliorée, bien au contraire !!!!!
Nous avons tout fait pour les imiter, et finalement à force de ténacité (et de bêtise) y sommes bien arrivés (le fric, la pub, les médias, le profit .... ...
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Samuel S.
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2,0
Publiée le 11 octobre 2013
Une petite comédie des années 50 assez sympathique taillé sur mesure pour Fernandel mais qui ne m'a pas vraiment emballé. On est bien loin des futurs chef d'œuvre d'Henri Verneuil...
tomPSGcinema
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3,5
Publiée le 29 mars 2011
Fernandel est vraiment très drôle dans le rôle d'un homme timide et qui se trouvera pris pour un redoutable criminel, et l'acteur français arrive avec une certaine facilitié à porter le film vers le haut ( grandement aidé par les dialogues savoureux de Michel Audiard ). L'histoire qui renvoie au films de gangsters hollywoodiens ( le tout sur fond de comédie satirique ) est vraiment bien ficelé et Henri Verneuil s'avère très à son aise ...
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En 1953, L'Ennemi public n°1 marque la première collaboration entre le réalisateur Henri Verneuil et le scénariste Michel Audiard. Henri Verneuil adaptera huit autres fois les mots d'Audiard à l'occasion des tournages de La Française et l'amour (1960), Le Président (1961), Les Lions sont lâchés (id.), Un singe en hiver (1962), Mélodie en sous-sol (1963), Cent mille dollars au soleil (id.), Le Corps de mon ennemi (1976) et une dernière fois en 198
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Fernandel et Verneuil : les années 50
Fernandel aura été l'un des acteurs fétiches du réalisateur français d'origine arménienne Henri Verneuil, puisque celui-ci apparaît dès son premier long métrage, La Table aux crevés, en 1951. Puis les deux artistes entameront une longue collaboration durant les années cinquante qui se soldera par l'achèvement de sept films, dont Le Boulanger de Valorgue (1952), Le Fruit défendu (1952), L'Ennemi public n°1 (1953), Carnaval (1953), Le Mouton à cinq
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