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Synopsis
En 1902, Clive Candy, un jeune officier britannique, se rend à Berlin pour répliquer à des rumeurs calomnieuses lancées contre l’armée anglaise et se trouve forcé de participer à un duel. Blessé, il se lie d’amitié avec son rival allemand. Ce dernier tombe amoureux d’une amie de Candy et très vite se fiance avec elle. Mais Candy, en retournant à Londres, se rend compte qu’il aime cette femme lui aussi…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un film un peu étonnant par rapport à sa date de réalisation, son début est plutôt sympathique ensuite on se retrouve englué dans l'histoire, c'est long et peu intéressant, même en passant en accéléré on en sort pas.
belo28
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54 abonnés
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5,0
Publiée le 17 avril 2011
Un film de guerre magique sans la guerre! Une perle du genre qui peut frustré par l'attente qu'il suscite sans jamais montré ce dont il parle (le duel, la guerre...)! Des ellipses narratives plus inventives les une que les autres (principalement la premiere!)! Anton Walbrook est l'un des meilleurs acteurs au monde et aussi frustrant que cela apparaisse lui il apparait peu! Une oeuvre extrémement intime qui permet au duo Powell/ Pressburger de ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 9 avril 2012
1 pour hisser ce chef-d'oeuvre inconnu (par moi et tant d'autres) au rang "simple" de chef-d'oeuvre tout court. Quand on demandait au pépé Jean Gabin la recette d'un bon film, il disait 1 un bon scénario 2 un bon scénario 3 un bon scénario. Bien sûr ça doit être plus que cela, mais dans Blimp il y a un souffle romanesque qu'on prêterait plus aux mousquetaires de Dumas, les grandes histoires de Hugo, ou les merveilles de Tolstoï ou ...
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Spiriel
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24 abonnés
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5,0
Publiée le 9 novembre 2007
A l'instar des légendaires Casablanca, Dictateur ou encore To be or not to be, Le colonel Blimp est un film réalisé pendant la guerre, dans le but de bien faire prendre conscience aux gens des dangers du nazisme.
Ce film se démarque assez vite en un point. Les allemands et anglais interagissent comme des êtres humains. Si le film est assez souvent hilarant, les personnages sont vraiment développés de façon réaliste. Cela donne beaucoup ...
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Le Colonel Blimp est en fait un personnage de bande dessinée très connu en Angleterre. Les producteurs ont décidé d'utiliser son nom pour le film.
L'origine d'une idée
Selon ses réalisateurs, l'idée du film ne vient pas de la bande dessinée de David Low mais d'une scène coupée au montage de leur précédent film (Un de nos avions n'est pas rentré), dans laquelle une personne âgée dit à un jeune membre de l'équipage : "Vous ne savez pas ce que c'est que d'être vieux".
Choix de l'acteur principal
Les réalisateurs voulaient Laurence Olivier pour incarner le rôle-titre mais Winston Churchill, très hostile au film, a incorporé l'acteur dans la Royal Navy pour qu'il soit indisponible. Le premier ministre anglais ne voulait pas d'un acteur d'un calibre important comme Laurence Olivier pour jouer dans un film dont il jugeait que le sujet se moquait du patriotisme anglais. Laurence Olivier n'a été levé de ses obligations dans l'armée que plus ta
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Ce magnifique film, un des préférés de Scorsese, est l'oeuvre du grand Michael Powell, mais aussi et peut-être premièrement l'oeuvre de Emeric Pressburger, qui avait quitté l'Allemagne en raison de la montée du nazisme. Powell et Pressburger osent en pleine seconde guerre raconter l'histoire d'une amitié entre un allemand et un anglais. Et malgré ce, c'est un film qui ne banalise absolument pas le nazisme. Au contraire, la scène où un allemand humaniste raconte comment le nazisme a détruit son pays est un des plus beaux monologues, qui plus est dit par le génial Anton Walbrook.Mais le film ne parle pas que de la guerre, du nazisme, non, au-delà de réussir à participer à l'effort de guerre sans diaboliser les allemands, le film réussit à parler de thèmes éternels, le temps qui passe, l'amitié, l'amour, le deuil, et à le faire avec un onirisme peu commun pour un film de guerre, grâce notamment à la présence lumineuse de Deborah Kerr. Le réalisateur Powell était tombé amoureux d'elle pendant le tournage et il fait ainsi d'elle le symbole de la jeunesse éternelle, de la beauté et de l'innocence que ni le temps ni la guerre ne peuvent détruire.(à noter que le film Joe contre le volcan reprendra l'idée de faire jouer à une même actrice l'ensemble des principaux rôles féminins, en l'occurence Meg Ryan, avec moins de génie, mais une certaine réussite tout de même);
MickDenfer
un sacré mélange, une autre époque où les trophées de chasse étaient admirés plus que les femmes.Deborah Kerr est très séduisante.