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Synopsis
Un journaliste, Stew Smith, est solicite par une riche famille pour redorer son image, ternie par la presse a scandale. Smith, qui accepte la mission, tombe amoureux de la file de ses employes. Mais, il s'adapte mal au mode de vie de la "haute société".
Une comédie des années 30, dans la pure tradition du genre. Une satire mordante de Frank Capra, loin d’être le film le plus essentiel de sa filmographie, mais loin d’être déplaisant.
weihnachtsmann
703 abonnés
4 614 critiques
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3,5
Publiée le 3 janvier 2021
« -Merci d’avoir rendu les lettres. Mère vous embrassera.
-elle m’embrassera? Redonnez moi les lettres!!!!! »
Une comédie enlevée par un excellent acteur comique.
Une déception pour la blonde platine qui est plutôt fade dans le rôle du « mauvais choix ».
Mais le reste de la distribution est plutôt réjouissant. Les parents sortent tout droit d’un film des Marx brothers car ils sont sujets à toutes la railleries les plus ...
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gimliamideselfes
2 585 abonnés
3 938 critiques
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3,5
Publiée le 12 août 2012
Voici un Capra qui s'il est loin d'etre un de ses meilleurs se revele malgre tout infiniement sympatique. En effet le personnage principal est tout a fait attachant et l'histoire d'amour bien que previsible reste vraiment mignonne et la mise en scene arrive vraiment a mettre en valeur le potentiel erotique de sa jeune actrice. Ainsi elle s'embellira tout au long du film jusqu'a etre bien plus belle que la blonde platine qui n'est pas du tout a ...
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Maqroll
115 abonnés
1 123 critiques
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4,5
Publiée le 29 août 2012
Une comédie méconnue de Frank Capra, précédant de peu ses grands succès mais d’une qualité pratiquement égale à ces derniers. Un journaliste (personnage récurrent chez l’auteur) devient un « Cinderella Man » en épousant une mondaine dont il s’est entiché. Après de multiples rebondissements, chacun reprendra sa place. On apprécie le rythme nerveux de cette comédie endiablée du début à la fin. Les deux actrices rivales sont ...
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Blonde platine installa défintivement Jean Harlow comme le sex-symbol de son temps. Ainsi, la popularité de l'actrice (et du film) fut telle qu'elle entraîna une mode capillaire chez les femmes de l'époque. En outre, l'actrice garda le sobriquet Blonde platine jusqu'à sa mort en 1937.
Un film rentable
Blonde platine était, selon son réalisateur, un film purement commercial destiné à remplir les caisses après l'échec commercial de son précédent film The Miracle woman. Par ailleurs, Blonde platine fut considéré par les exploitants américains comme le meilleur titre de film de l'année 1931. Ironie du sort, le film devait s'appeler The Gilded cage (La Cage dorée).
Une fin tragique
Blonde platine était seulement le quatrième film de Robert Williams, un acteur de théâtre. Ce fut également son dernier puisqu'il décéda d'une péritonite trois jours seulement après l'avant-première de Blonde platine.