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Synopsis
Bénéficiant des faveurs de l'empereur Tibère, dont il aime la pupille Diana, le tribun Marcellus est en revanche vu d'un mauvais oeil par le prince régent Caligula. Estimant avoir été offensé lors d'une vente d'esclaves, ce dernier l'envoie en Palestine. Marcellus y assiste à la crucifixion du Christ et, en jouant aux dés, gagne sa tunique. Revenu à Capri, il s'initie au christianisme grâce à Justus et Miriam. Or entre-temps, Tibère est mort et Caligula, devenu empereur, se met à persécuter les chrétiens...
Certes, les scènes d'action sont pénibles, et les dialogues trop grandiloquents par moments. Mais Ce film de Henry Koster a de nombreux intérêts. Le premier est de nous montrer l’amplitude du talent de Burton, et de Jean Simmons. Le deuxième est de nous montrer de manière intelligente l’évolution radicale de plusieurs personnages au fil de l’intrigue. Le troisième intérêt est culturel et historique. Les causes de la persécution ...
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Chaîne 42
74 abonnés
2 696 critiques
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4,5
Publiée le 17 juillet 2021
Il y a une forme d'authenticité et de retenue dans ce péplum qui me plait, c'est mon film préféré du genre. Jésus n'est pas vu, mais il est montré et entendu, il n'y a pas d'acteur qui le joue son rôle. Ce film est davantage sur les premiers chrétiens et ce que j'appellerais les personnes de bonne volonté face à la folie d'un Caligula et du monde. J'aime dans ce film qu'il n'y ait pas trop de violence, du moins son rythme me parait ...
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lilybelle91
37 abonnés
914 critiques
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3,5
Publiée le 9 décembre 2012
Le premier film en cinémascope est un beau péplum comme on les aimes, avec de beaux acteurs qui surjouent, des décors en carton pâte et des couleurs flamboyantes...même si il reste bien moins spectaculaire qu'un Ben Hur ou d'un Spartacus ! Un beau spectacle biblique...
weihnachtsmann
778 abonnés
4 670 critiques
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3,5
Publiée le 3 février 2018
Le film adopte le point de vue d’une croyance et non pas de la croyance. Tout n’est que rencontre, certitude d’avoir écouté un message important ou introspection sur soi-même et en cela il est beau et fort. Ce n’est pas le péplum « action » mais une histoire personnelle racontée avec intimité et humanité.
La Tunique fut nommé aux Oscars pour Meilleurs décors, Meilleurs costumes, Meilleur acteur (Richard Burton), Meilleure photographie (Leon Shamroy) et Meilleur film, mais seuls les deux premiers furent finalement confirmés. En revanche, il reçut le Golden Globe du Meilleur film dramatique.
Peu historique
La Tunique n'hésite pas à prendre des libertés avec la vérité historique. C'est ainsi bel et bien Tibère, et non déjà Caligula, qui était empereur de Rome lorsque Jésus fut crucifié.
L'avènement du CinemaScope
La Tunique fut le premier film de l'histoire du cinéma à être diffusé en CinemaScope. Le brevet de cette technologie, qui s'appuie sur une lentille mise au point en 1925, fut acheté en 1937 par la Twentieth Century Fox mais ce n'est pas avant 1952 qu'il fut utilisé. Pour loger ce nouveau format d'image (à la largeur double des standards précédents) sur la classique pellicule 35 mm, les perforations devinrent carrées et les pistes sonores optiques
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C'est pas mal. Des longueurs mais des belles scènes. Le film n'est vraiment pas tendre avec Rome surtout qu'on est encore loin de la Décadence proprement dite. Beaucoup de clichés, 1953 oblige mais c'était bien.