Avis sur Assaut

Un excellent thriller choc a l'ambiance "fantastique". Et quelle bo! A mes yeux le meilleur Carpenter avec "les aventures de jack burton", "vampires" et "the thing".

Assaut : Ah ouais !!! Un film qui ma vraiment surprit, je dirais même agréablement surprit. Vraiment j’ai était impressionné et bluffé par la qualité de ce film qui malgré son temps et une efficacité redoutable. Tout sa grâce aux génies et aux talents du grand John Carpenter qui même pour son premier film réalise qui est juste énorme. Et pour moi, c’est un des meilleurs Carpenter et surtout un de mes préférés car il faut bien l’avoué, ce film est vraiment une pure merveille, un véritable bijou. De part sa réalisation absolument sublime pour l’époque, c’est quand même hallucinant, des plans de camera magnifique, au mini mètre près, une mise en scène soigné aux petite oignons et ultra efficace encore une fois pour l’époque, c’est incroyable. Vraiment avec un budget de 200 dollars ce qui est rien, mais vraiment rien, John Carpenter de fait un chef-d’œuvre et moi je dis bravo. Ensuite, le scénario qui il faut dire très alléchant : un commissariat isolé, sans lumière et téléphone se fait littéralement prendre en assaut, vraiment ils vont en bavé pendant cette longue nuit. Vraiment scénario captivant et prenant du début jusqu'à la fin, sans temps mort ou les moments d’adrénaline et de suspense est a son maximal. Entre scène d’action, des fusiads, d’assaut et de scène qui faut le dire est assez choquant et osé (petite fille qui est tué a bout pourtant, j’ai jamais vu sa au cinéma)mais au moins on est dedans et sa montre tous de suit le ton du film et ça c’est énorme. Les acteurs sont tous vraiment très convaincant et parfait dans leur rôle : braco ; Et les musiques toujours signé par Carpenter sont vraiment excellent et accentue l’intensité du film. Voila vraiment ce film est une pure merveille, un film que je vous conseil absolument car c’est un classique qui est malheureusement peut connu qui devrait être culte ; Car pour moi c’est un énorme coup de cœur pour ce véritable chef-d’œuvre.

Le premier film de John Carpenter est devenu culte car il était précurseur en son temps : un suspense en huis clos mené sur une musique lancinante avec un tension qui monte crescendo. Basé sur la peur de l'incompréhensible et l'ennemi invisible, un pur thriller urbain mainte fois copié mais rarement égalé.

Deuxième long métrage de John Carpenter après "Dark Star" et inspiré par "Rio Bravo" de Howard Hawks avec John Wayne, "Assaut" nous emmène dans un commissariat presque désinfecté et coupé du monde où deux policiers et une femme doivent défendre le poste contre les assauts de truands. Les conditions de tournages furent assez précaires, avec un petit budget (100 000 $), des acteurs inconnus et un faible temps de tournages (20 jours) et pourtant John Carpenter s'en sort plutôt bien malgré un échec à sa sortie. Si ce n'est pas son meilleur film (et la concurrence est pas mal !), c'est un bon film où nous sert une belle mise en scène capable de créer de la tension et à donner une atmosphère angoissante et étouffante tout le long du film. Son récit est bien rythmé, on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer, Carpenter prend d'abord le temps de mettre en place l'histoire et les personnages avant de passer vraiment à l'assaut. Comme souvent chez Carpenter on a une musique qui contribue bien à l'atmosphère, c'est le cas ici et il faut bien reconnaitre que c'est bien prenant dès qu'elle apparait. Les interprétations sont dans l'ensemble, plutôt convaincante. Un bon film, qui n'atteint pas ce qu'à pu faire Carpenter avec "Halloween" ou encore "L'antre de la folie" mais assurément une bonne surprise où tension et suspense sont au rendez vous.

On pense à un western, sauf qu'il n'y a pas de fort ni de bureau de shérif mais un commissariat, qu'il n'y a pas d'indiens ni de mexicains mais un gang où toutes les origines ethniques sont représentées, pas de cavalerie mais des flics, une secrétaire, deux prisonniers, pas de Far West mais le Los Angeles des années 70... On a affaire en fait à un western qui a l'apparence d'un thriller urbain.
Huis-clos, thème musical minimaliste entêtant et mémorable, personnages antagonistes qui n'ont d'autres choix pour survivre que de réunir leur force, du pur Carpenter pour son deuxième long ; et en immense fan d'Howard Hawks qu'il est, la référence à "Rio Bravo" est évidente. On pense aussi à "Alamo", qui n'est pas d'Howard Hawks...
Malgré quelques incohérences, l'efficacité d'une mise en scène épurée, même dans le moment le plus terrible de l'histoire qui prouve que la violence est vraiment une chose froide et soudaine, dans le rythme, dans l'intrigue, ce qui n'empêche pas quelques traits d'humour comme quand le personnage du condamné à mort demande sans arrêt "Vous auriez pas une clope ?", emporte l'adhésion et font d'"Assaut" un très bon cru dans la carrière de Carpenter ainsi que sa première réussite.

On sent très vite le film à petit budget... Ça m'a incité à être indulgent, mais il y a des limites à tout ! Le scénario est indigent, les acteurs moyens (et même franchement mauvais pour les 2 actrices), et la mise en scène souffre du manque de moyens du réalisateur et d'un tournage bâclé. Il faut dire qu'en 20 jours chrono, c'était pas évident ! On ne connait rien des motivations des assaillants si ce n'est qu'ils sont très méchants. On ne voit pas leurs visages pour la plupart, d'autant plus qu'ils sont souvent dans le noir. Ça a surement permis à Carpenter de réaliser des économies en faisant mourir des figurants plusieurs fois, ce qui a du être bien pratique vu le nombre de types se faire flinguer ! Je n'ai pas pu arriver jusqu'à la fin du film, car au bout d'une heure, j'avais la désagréable impression d'être devant un Charles Bronson dans sa période "justicier". Quand je pense aux chefs d’œuvre que Carpenter nous a réservés par la suite, un frisson me saisit...

Bien sûr que c'est une série B, mais c'est aussi une excellente surprise, c'est très bon, le film démarre au quart de tour et le suspense ne nous lâche à aucun moment. Les acteurs sont très bien même si on peut regretter le côté "m'as-tu vu" du rôle de Wilson, mais la trop rare Laurie Zimmer crève l'écran. (On remarquera également les débuts de Nancy Loomis (Nancy Kyes) qu'on reverra dans Halloween et dans Fog), Il y a aussi quelques scènes choc (on n'est pas près d'oublier l'épisode de la glace à la vanille). la musique est efficace (comme toujours chez Carpenter). A noter que si le film se veut réaliste (donc sans élément fantastique), l'auteur a filmé les assaillants exactement comme s'il s'agissait d'une bande de zombis !

Ce film a une réputation de film culte... ca devait être il y a longtemps tant, à mes yeux, rien ne fonctionne. Les acteurs sont mauvais, les dialogues nuls sans parler du coeur du problème : les scènes d'actions... grossières, mal montés, filmé sans inspiration. c'est sombre, on distingue rien, on nous explique rien sous couvert de mystère. Je sauverai quand même la musique faite par Carpenter lui-même, de tout ce bourbier. Autant voir le remake de Jean-Francois richet "Assaut sur le centrale 13" qui lui, ne jouit pas d'une réputation culte mais qui est très bien fait et qui constitue un divertissement de bonne tenue..

Bon film, qui prend son temps pour poser une ambiance durant la première moitié du film et qui dépote durant la seconde moitié. Je pourrai tout de même reprocher l'abus de plan fixe qui sont gavant par moment.

Film culte de John Carpenter et du cinéma d'action, Assaut est l'ancêtre des films d'actions modernes. Le film suit l'histoire de plusieurs personnages qui n'ont rien à voir et qui vont finir par se retrouver au même endroit. Assaut est donc un huis clos. On est dans un commissariat de police pris d'assaut par des gangsters.
Au niveau de la mise en scène, c'est irréprochable. L'ambiance est incroyable, servie par une bande son excellente. L'action est crédible et bien pensée. Le film compense parfaitement son faible budget par une maîtrise parfaite de l'action (qui ne fait pas dans la surenchère). Le scénario est simple mais diablement efficace, les personnages sont excellents (en particulier Napoléon) et leurs relations sont très crédibles. Difficile de dire plus, ce film n'est pas un chef d'œuvre mais c'est un monument du cinéma d'action. Indispensable pour les fans d'action. 4.5/5

Assaut est un film d’action que j’ai personnellement apprécié, sans non plus me réjouir outre mesure de son visionnage. C’est un film simple et efficace, mais très inégal quand même.
J’ai trouvé certaines séquences assez moyennes, car elle tire vers la lourdeur. Je ne décrirai pas les passages pour ne pas dévoiler des parties de l’intrigue, mais avec le glacier par exemple il y a un passage presque digne d’une série Z, d’autant plus surprenant qu’il survient juste après un passage parmi les meilleurs du film ! La fin est aussi un peu abrupte et convainc moyennement, Carpenter semblant partir dans un délire un peu gros ! Finalement, si Assaut est sympathique niveau histoire, c’est par l’efficacité du concept avec ce huis clos qui lorgnerait presque vers le fantastique compte tenu des antagonistes, par le rythme soutenu, et par quelques moments d’une méchanceté réjouissante, qui tranchent avec le consensuel habituel du genre. Assaut n’est sans doute pas très abouti niveau histoire mais il procure un plaisir suffisant pour accrocher son spectateur jusqu’au bout.
Sur la forme le budget n’a pas permis des folies, manifestement, mais Assaut n’est pas vilain. Disons que Carpenter signe une réalisation de belle facture, nerveuse et parfois très maline, et que cela permet de passer plus facilement sur une photographie un peu terne et une esthétique qui reste un peu faible aussi. Après cela est intelligemment justifié par le contexte de l’action, un commissariat désaffecté qui n’est pas non plus un modèle de recherche à la base. Assaut ne déçoit pas sur ce point, et la bande son n’est pas vilaine, bien qu’un peu discrète à mon goût.
Le casting est emmené par des acteurs peu connus, dont peu ont eu une carrière digne de ce nom. Reste que le duo Austin Stoker-Darwin Joston fonctionne très bien, avec un petit bonus pour un Joston très convaincant en gentil bandit flamboyant. Laurie Zimmer a un jeu un peu froid et distant qui surprend. Dans l’ensemble les interprètes sont plutôt convaincants, et c’est un atout dans un film de ce genre, puisque Assaut mise beaucoup sur ses personnages, bien plus que sur ses scènes d’action en fait.
Pour ma part avec Assaut Carpenter signe un bon film mais un peu inabouti quand même. Si l’on tient compte du petit budget et de l’âge du film, on hérite indéniablement d’un film d’action de qualité, tout à fait recommandable, mais c’est loin d’être un des meilleurs du réalisateur, et je tends à préférer le remake que cette version originale. 3

Assault on Precinct 13 est un modèle d’efficacité. Sa mise en scène nerveuse commence par segmenter son intrigue afin de rassembler les fils narratifs en un même nœud symbolique et topographique, soit le poste de police désaffecté d’un quartier difficile de Los Angeles. John Carpenter fait converger les trajectoires individuelles afin de rejouer, au sein du commissariat, la lutte que mène l’homme contre toute menace extérieure, cette dernière pouvant donner lieu à diverses interprétations en fonction de l’époque de réalisation et du contexte de visionnage. Là se tient la grande force du cinéma de John Carpenter : proposer un substrat philosophique et réflexif à partir d’un récit de fiction sans qu’il n’y soit plaqué. Nous passons par différentes humeurs, tantôt amusés par un condamné à mort dont le prénom demeure un mystère jusqu’au bout, tantôt scandalisés devant le meurtre d’une petite fille sans raison aucune, tantôt animés par le désir de vengeance du père et par l’instinct de survie dont font preuves les personnages assaillis. Pourtant, le cinéaste sait garder une distance critique vis-à-vis du spectacle qu’il représente, comme lui-même diverti par sa reprise de Rio Bravo (Howard Hawks, 1959) mis à la sauce série B d’action : il suffit, pour s’en convaincre, de relever le parfum vanille de la glace qu’obtient la jeune fille auprès du glacier alors qu’elle souhaitait vanille-fraise, sa mort entraînant un jet de sang sur son corps et la glace – soit le rouge de la fraise. De telles subtilités propulsent Assault bien au-delà de ses apparences de film sériel, font de lui une œuvre intelligente car consciente des artifices utilisés et maître de ceux-ci : voir à ce titre la première fusillade dans le poste de police, puissance invisible et extérieure qui explose mobilier et objets tel un ballet capté au ralenti. Du grand art !

"Assaut" s'est révélé avec le temps un film absolument inusable, par la pure simplicité de son thème, inspiré directement de "Rio Bravo", on le sait, mais actualisé à travers la référence aux gangs de L.A. et grâce à sa connotation fantastique, les agresseurs étant réduits à de simples abstractions, sans parler de la sobre beauté de sa mise en scène. Le budget limité dont il disposait n'avait pas empêché Carpenter de travailler en Scope - avec un résultat régulièrement magnifique -, mais avait clairement imposé une discrétion de bon aloi dans tout ce qui est scène de violence, un peu comme c'était le cas à l'époque de la "vraie" Série B, dont "Assaut" retrouve l'élégance (N'oublions pas non plus la musique, composée par Carpenter lui-même, menaçante à souhait, qui participe de manière souveraine à la construction de la tension). Mais, aujourd'hui, on sera peut être encore plus frappés par la manière assez visionnaire dont Carpenter dépeint ce monde monstrueux et amoral qui est devenu le nôtre, et, plus positivement (?) indique la voix d'une résistance, qui, comme souvent dans ses films, passe par l'alliance incongrue de ce que la société considère généralement comme ses déchets ou du moins, ses marginaux. "Assaut" double donc son imparable leçon de cinéma par une leçon de (sur)vie qui n'a pas vieilli. Oui, Carpenter nous manque en 2014 !

Réalisée sans grands moyens,mais avec une inventivité totale,"Assaut"(1976)de John Carpenter,marqua une étape importante dans l'évolution du film d'action.Le pitch est diablement malin.Des assiégés dans un commissariat de police contre des assiégeants très inquiétants.C'est une sorte d'une relecture de "Rio Bravo",mais l'hommage s'étend aussi à "La nuit des morts-vivants",avec des assaillants qui se déplacent presque comme des zombies,et qui ne parlent jamais.Si l'esthétique du film a pris une grosse claque(ainsi que les vannes foireuses),on ne peut qu'être happé par ce suspense oppressant,ou la survie semble terriblement aléatoire.La nuit va être longue pour la secrétaire timide,le truand notoire et le policier droit,seuls survivants de l'attaque initiale.Carpenter composait aussi une musique électronique inquiétante,et privilégiait l'aspect documentaire.Les fusillades font cheap,avec des effets sonores et visuels largement dépassés.Il nous invite à nous mettre à la place des survivants.Le film est un western urbain,avec donc tous les codes du genre,et quelques percées fantastiques.Un étalon pour les action movie qui ont suivis,

Bon alors, mes amis, vous savez qui? On va se lancer dans une petite rétrospective sur la carrière de Big John, aka John Carpenter, aka Carpenti ( c'est de moi, ce surnom n'existe pas ). Et donc, vu que je ne suis pas parvenu à trouver son premier film, "Dark Star", voilà que je me lance dans son second métrage, "Assaut". Pour tout vous dire, j'en attendais beaucoup de cette oeuvre ci. Un film de Carpenter dans lequel un commissariat est assiégé par une bande de psychopathes qui ne veulent qu'une seule chose, la mort de tous ses occupants, ce n'est pas assez courant pour ne pas pouvoir en attendre grand chose ( je me suis un peu emmélé là ). Et donc, j'étais à la fois curieux et enthousiaste. Le soucis, en fait, c'est que j'ai trouvé qu'il commençait beaucoup trop lentement. Alors oui, c'est vrai que cela lui permet de bien mettre en place ses personnages, mais certaines scènes n'ont clairement pas grand intérêt. Malgré tout, je l'ai apprécié. Comment cela se fait-ce, vous ditez-vous surement? Tout simplement parce que le reste rattrape amplement ces quelques détails qui m'ont gêné. Mais l'on y reviendra plus tard, complétons de parler ses défauts. Ensuite, toujours dans l'écriture, j'ai trouvé que nombre d'incohérences venaient se glisser dans notre plaisir de visionner cette oeuvre. Outre le fait que les bad guys semblent attaquer le commissariat pour une raison assez lourde ( mais bon, comme il nous les présente comme des tarés en début de film, ça marche pas trop mal si l'on commence à réfléchir; c'est donc plus un prétexte qu'une raison, la "jeunesse" étant ici représentée comme violente, malade et sadique ), il subsiste quelques détails qui m'ont fait titler. spoiler: Pourquoi donc attendre si longtemps avant d'attaquer le marchant de glaces? C'est complètement idiot, vous n'aviez qu'à vous arrêter et le fusiller.
Mais bon, pour un second film, force est de constater que le niveau est quand même de haute volée. "Assaut" est donc un bon Carpenter, mais surement pas son meilleur. Même s'ils ne sont pas comparables, je lui ai préféré "They Live!" et "Le Village des Damnés", que j'ai particulièrement apprécié, et dont l'on parlera ensemble une prochaine fois. Pour en revenir au fait qu'il prend vraiment son temps pour installer l'histoire, il y a vraiment des moments où je préfère que le film rentre directement dans le vif du sujet plutôt que de sétendre sur des passages lents et pas forcément vitaux. Mais bon, c'est purement personnel, et en soit, cela n'a rien d'un défaut : c'est juste en fonction de mon humeur, tout simplement ! Après le premier acte, par contre, c'est une autre paire de manches. L'action part, les tirs fusent, et le côté spectaculaire commence à se développer, et ce sans remplacer le réalisme du tout ( pas d'effets pyrotecniques, on se croirait au sein d'une vraie fusillade ). Carpenter préfère donc le réalisme au bluffant et à l'invraisemblable, sans oublier la violence et les scènes de gunfights, vraiment bien rythmées, il faut bien le dire. C'est marrant parce que dès qu'il partira enfin dans le vif du sujet, il s'installera un côté défouloir des plus plaisants : les héros défoncent tout, et entre deux coups de stress, ils buteront une quinzaine de délinquants. C'est un peu comme du tir au pigeon, si vous voulez ! Par contre, précédent argument que la longueur du premier acte, au moins ce dernier à-t-il servi à quelque chose : les personnages sont vraiment très attachants, et pour cela, je ne lui enleverai pas de points, parce que l'objectif a été rempli. spoiler: Et puis quelle bonne idée de se débarasser dès le début de tous ceux qui possédaient les armes et auraient pu fournir une aide des plus favorables.
Ensuite, Carpenter joue excellement bien avec le côté survie du film : on aura bien sûr droit aux séquences de doute, et aux munitions épuisables, qui rendent le huis clos vraiment angoissant et éprouvant. La fin à la Carpenter est vraiment excellente, conclusion parfaite d'un film de haute qualité. La bande-sonore est vraiment bonne, mais notre ami Big John n'a pas encore atteint les sommets d' "Halloween" ou encore "The Thing". C'est le second film d'un grand réalisateur, l'un des plus grands de son temps. A voir, un classique !