très bon film, j'ai passé un super bon moment, sans prise de tête, les effets spéciaux sont très bon, l'histoire certe banale mais cohérente. à voir sans hésitation
J’avais découvert ce film en étant enfant, et c’est vrai que le revoir maintenant est étrange. Aujourd’hui, je pense que je le trouverai globalement pas terrible. L’histoire tente de renouveler le conte original mais c’est vrai que le film reste hyper prévisible et la réalisation manque de "waouh effect”.
La 3d n'était pas terrible au ciné certes mais vu sur OCS Ce soir même avec mon fils qui A adoré les géants et les effets spéciaux sont au final très bien fait. Je vais lui faire voir la version de 1962! Que j'avais adoré gamin.
Ce film souffre de plusieurs défauts pour totalement nous emporter : manque de charisme du couple principal, effets spéciaux concernant les géants à la limite du dessin animé et surtout sa longueur. Le temps de la découverte du monde des géants est beaucoup trop long comparé à l'efficacité finale de leur invasion de la terre et surtout de l'attaque du château. Première petite fausse note dans la carrière de Bryan Singer.
Hollywood continu ses adaptations « grosse production » de contes de fées avec cette fois-ci Jack le Chasseur de Géant allègrement mélangé avec Jack et le Haricot Magique. Avec Bryan Singer aux commandes, j'étais en droit à m'attendre à du lourd et je n'ai pas été déçu loin de la. Nous sommes face à un très bon récit d'aventure avec des décors somptueux même si vous vous en doutez, l'histoire est loin de sortir des sentiers battus : un jeune paysans rêveur, une belle et jeune princesse avide d'aventure, le gentil roi et son perfide conseillé... la suite, vous la connaissez déjà. Le tout s'accompagne d'une réalisation efficace et d'un rythme sans temps morts avec final de grand envergure. J'apprécie notamment que le film ne s'attarde pas à vouloir « humanisé » les géants mais au contraire en fait des êtres bêtes et méchants (ou plutôt sales et méchants) fidèle aux contes de notre enfance. Le jeu d'acteur est lui aussi aux rendez vous et si Nicholas Hoult et la jolie Eleanor Tomlinson sont adorables, on retiendra surtout l'excellences des seconds rôles tel Elmont et Roderick joués respectivement par Ewan McGregor et Stranley Tucci. Jack est donc pour moi un excellent film qui fera le plaisir des grands et des petits et me rappels par certains coté le moins connu mais tout aussi excellent Stardust de Matthew Vaughn. A noté aussi l’excellence de l'épilogue à la fois surprenant et magique.
Un film d’aventures familial avec pour trame le conte du haricot magique. On est en terrain connu et le ton général du film est assez classique et premier degré. Mais il faut bien reconnaître que c’est assez vilain à l’écran, à l’image de l’aparté du début réalisé avec des Cgi affreux et qui ne conviennent pas du tout à l’aspect conte un peu à l’ancienne. En dehors de cela j’ai trouvé que le film s’étiolait au fur et à mesure pas aidé par des acteurs mal dirigés. Un film un peu informe qui n’arrive pas vraiment à utiliser son matériau de base.
Film pour enfants uniquement avec tout ce que cela comporte de naiveté et guimauve. On pouvait espérer un peu de dérision, un double message pour que les parents ne s'ennuient pas mais non : le destination se limite aux enfants.
Un bon film à voir entre amis ou en famille plutôt bien construit mais surtout bien fait. On passe un bon moment même s'il ne restera pas dans les annales.
Cette relecture de « Jack et le haricot magique », version blockbuster hollywoodien et ses effets spéciaux sur fond vert, se révèle plutôt sympathique. Cela manque certes un peu de souffle épique, de rebondissements ébouriffants, de surprises (mais c’est un conte avec ses codes) et certains effets spéciaux ne sont pas tous très heureux, mais l’aventure fonctionne. Les géants font leur petit effet (ils sont plutôt bien faits), les gentils sont valeureux, les traitres châtiés et les péripéties se succèdent avec suffisamment d’énergie pour qu’on se laisse prendre au jeu. On aurait peut-être aimé que l’aventure soit plus entrainante et mystérieuse (même si le passage dans le pays des géants est plutôt réussi) et la fin est quelque peu décevante dans sa résolution mais l’amateur d’aventures fantastiques y trouvera son compte. Un peu plus d’humour (mais on en trouve) aurait été bienvenu pour donner un côté plus distancié à un ensemble qui, par moments, se prend un poil trop au sérieux. D’où cette impression parfois d’un film fait à la va-vite alors que les effets spéciaux possibles aujourd’hui sont l’assurance d’une production forcément alléchante pour le chaland.
Bryan Singer, le réalisateur des X-Men, des films aux budgets colossaux (CGI oblige), nous propose avec " Jack le chasseur de géants" un film Fantastique aux effets visuels assez imposants. Un film d'aventure avec une princesse et des méchants géants, qui pourrait s'adresser au jeune public s'il on coupait quelques scènes très violentes. Il peut aussi viser un public d'adultes si l'on excepte les incohérences et l'esprit naïf de son scénario. Bref ; si ce scénario oscille entre romantisme, guerre et action, il lui manque cruellement la magie d'un Tim Burton, la féérie de Wolfgang Petersen dans L'Histoire sans fin et la poésie d'un Steven Spielberg avec le BGG.
Que dire... Un enchaînement de clichés de plus en plus gros chaque scène. les personnages sont fades, insipides... La chance prodigieuse du héros qui se trouve au bon endroit au bon moment et au millimètres près. Une histoire d'amour qui nous rend totalement impassible. spoiler: La pauvre princesse qui cherche a s'évader de sa vie de château. le roturier qui tombe par hasard sur elle puis s'ensuit l’enchaînement de clichés
Le principal reproche à adresser à Jack : Le chasseur de géants n’est pas tant son casting peu convaincant ou la laideur congénitale de ses géants numériques, non le principal reproche réside dans son absence de point de vue, de parti pris sur le conte qu’il adapte, si bien que nous assistons à un spectacle qui semble déjà vu et revu, sans surprise aucune, à la fois high tech et d’un autre temps. Le film constitue, par bien des aspects, ce que nous pourrions appeler un « nanar » : décors kitsch et faux, interprétation en carton-pâte, réalisation impersonnelle, récit improbable voire ridicule – pourquoi le moine prend-il la peine de négocier un cheval blanc au lieu de s’enfuir à pied ? – servi par des dialogues qui feignent le médiéval à grands coups d’anachronismes lourdingues. Il n’y a que le charme de Nicholas Hoult qui s’efforce de sauver une princesse criarde et faussement aventurière. Le talent de Bryan Singer a disparu, englouti dans cette bouillie aux haricots magiques qui ne font que péter les géants endormis.