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    Anonymous
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    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Un très bon film de Roland Emmerich sur les pièces de théâtre de William Shakespeare avec Rhys Ifans.
    Robinsnake37
    Robinsnake37

    1 abonné 127 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2022
    En voila un film bien étrange dans la filmographie de son réalisateur !
    « Anonymous » est un film sorti en 2011 et réalisé par Roland Emmerich qui est un habitué des films catastrophe (on peut notamment citer « Independance Day », « Le jour d’après » ou plus récemment « Moonfall »).
    L’histoire commence dans l’Angleterre du 16ème jusqu’au 17ème siècles où l’on raconte l’histoire du Comte d’Oxford Edouard de Vere qui écrit des pièces de théâtre mais en confie la mise en scène à un jeune metteur en scène de Londres qui promet qu’il ne dévoilera pas l’identité de l’auteur…
    Vous l’aurez compris : le film met en scène la théorie comme quoi ce serait le Comte d’Oxford le véritable auteur des pièces de William Shakespeare, qui est d’ailleurs une théorie défendue par beaucoup d’historiens.
    Le film est long (plus de 2 heures) mais nous embarque dans ce mystérieux complot monté par deux hommes pendant que la Reine Elizabeth 1ere est en guerre contre les Espagnols et que personne ne sait qui va lui succéder vu qu’elle est déjà âgée et sans enfant légitime.

    Le scénario est très bien construit, Roland Emmerich maitrise la réalisation du film sur le bout des doigts dans une ambiance en costume dans l’ancien Londres où l’on ne sait pas vraiment qui sont les gentils et les méchants.
    Bon, je l’avoue, il faut entrer dedans avec force car les 20 premières minutes sont difficiles à passer mais après, on a hâte de découvrir jusqu’où vont aller les machinations et autres coups montés.
    Coté casting, de l’Anglais de premier choix : Rhys Ifan, Rafe Spall, Xavier Samuel, Vanessa Redgrave, Jamie Campbell Bower et un David Thewlis méconnaissable mais brillant. Et Sebastian Armesto porte à merveille le rôle du metteur en scène qui doit garder un lourd secret sur ses épaules.
    Au final, un bon divertissement qui, certes, ne plaira pas à tout le monde mais ravira les plus patients et les fans d’Histoire.
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 589 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2021
    Sujet très intéressant : William Shakespeare ne serait peut être pas l’auteur des oeuvres qu’on lui attribue. Le point principal pour étayer cette théorie est qu’on n’a jamais retrouvé d’écrit de sa main. Par ailleurs, William Shakespeare était issu d’un milieu modeste : comment aurait il pu écrire des récits très proches de la royauté (Richard III, le roi Lear…) sans être proche de la Cour ?. La théorie du film (et reprise par d’éminents spécialistes) serait que les oeuvres de Shakespeare auraient été écrites par Edward de Vere, comte d’Oxford, qui, compte tenu des critiques envers le pouvoir royal, aurait préféré faire paraitre ses oeuvres sous le nom de Ben Jonson, véritable dramaturge, puis de William Shakespeare, sorte de saltimbanque proche du théâtre. Le tout est raconté dans l’ambiance d’alors sous le règne d’Elisabeth 1ère et son conflit avec le comte d’Essex orchestré par les Cecil père et fils, conseillers proches de la Reine. La proximité du fils du comte d’Oxford avec Essex brouilla définitivement les rapports de ce dernier avec la Reine, d’où sa volonté d’anonymat dans ses oeuvres. Tout ça est raconté avec minutie, et tant les acteurs que la reconstitution d’époque sont top. Une mention particulière à Vanessa Redgrave, très ressemblante à la véritable Reine. En tout cas on sort de la projection avec le doute à l’esprit, ce qui était sans doute le but du film.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 362 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 octobre 2021
    Tout d'abord je tiens à préciser que je ne ne tiens pas compte de l'exactitude historique de ce film. Je ne base pas mes commentaires négatifs sur cela car il s'agit d'une œuvre de fiction et elle a été présentée comme telle. Anonymous est basé sur des personnages historiques mais de façon approximative et il est censé être divertissant. Malheureusement ce film ne l'est pas et n'a rien à voir avec l'histoire qu'il sous-tend. Il ne demande pas au public de se demander si Shakespeare a écrit les œuvres dont on dit qu'il est l'auteur. Non au contraire il affirme d'emblée qu'Edward De'Vere comte d'Oxford était l'auteur point final. Mais il nous entraîne ensuite dans un tour de montagnes russes littéraires à la Lewis Carrol nous présentant des machinations et des manœuvres géopolitiques et domestiques pour expliquer pourquoi et comment Edward De'Vere était l'auteur. Dommage car ce n'est qu'une simple spéculation qui est basée sur le travail de Mark Anderson. C'est un véritable gâchis et c'est un autre désastre pour Emerich...
    Alex
    Alex

    21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2021
    si la poésie avait un nom je la nommerais Anonymous.
    certes c'est une fiction mais qu'est-ce que j'ai eu envie d'y croire.
    quel drame
    A faire passer la tragédie de Roméo et Juliette pour un roman d'ado
    Roub E.
    Roub E.

    727 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2020
    Roland Emmerich délaisse pour un film le Destruction Porn et cela lui va bien. Anonymous est une très belle évocation du mystère William Shakespeare et raconte une histoire autour de ce mystère qui tourne au drame Shakespearien. Belle évocation car esthétiquement parlant c’est un film magnifique, la photographie est une petite merveille et aide à plonger dans l’Angleterre de la reine Élisabeth. Important quand on veut évoquer le théâtre la distribution est remarquable en particulier Rhys Ifans bien loin de ses rôles habituels qui m’a vraiment bluffé. La seule chose que je trouverai à reprocher à ce film c’est d’être par moment brouillon, de mal gérer ses allers retours dans le temps (je dirais pour sa défense qu’Emmerich est habitué à des scripts plus minimalistes). Dommage car dans quasiment tous ses autres aspects c’est un film remarquable.
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 732 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2020
    Un thriller historique visuellement séduisant, à la reconstitution d'époque soignée, mais desservi par une intrigue confuse et alambiquée.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2020
    Malgré une belle mise en scène sur la société Anglaise de l'époque, l'ensemble reste trop confus et un brin trop élitiste.
    Henri M
    Henri M

    40 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Est-ce par lassitude de l'Amérique et de ses excès que Roland Emmerich s'est tourné pour son dernier film, Anonymous, vers l'austère Angleterre shakespearienne ? La question mérite d'être posée. D'autant plus qu'il ne s'agit pas du seul effet de surprise ménagé par notre spécialiste allemand du blockbuster.

    Surprenant, Anonymous l'est à plus d'un titre. Là où les films précédents d'Emmerich pêchaient par un simplisme narratif, Anonymous se dote d'un scénario impeccablement écrit mettant en doute la paternité des œuvres de Shakespeare en proposant une hypothèse captivante : et si le nom de Shakespeare avait servi de leurre au véritable auteur des pièces et poèmes que nous connaissont tous, un auteur qui cherchait tragiquement à cacher son talent car issu d'un milieu aristocratique hostile à la création artistique. S'il est évident que la volonté d'Emmerich n'est pas de réécrire l'histoire (il place d'emblée l'hypothèse de son film dans une dimension totalement fictive), l'idée de se servir des événements du règne d'Elisabeth Ière comme toile de fond à une machination artistique apparaît comme remarquablement traitée. Le scénario se déploie dans les méandres d'une temporalité aussi fracturée que l'identité de l'auteur d'Hamlet. La multiplicité des époques, comme celle des personnages, donne à Anonymous une belle densité dramatique, tout en suspense et tragédie, magnifiée par des dialogues brillamment écrits et interprétés par une troupe d'acteurs britanniques inspirés : Rhys Ifans superbement torturé, Vanessa Redgrave saisissante et bouleversante dans la peau d'une Elisabeth vieillissante, rongée par le regret et ses frustrations de souveraine, David Thewlis totalement habité par son personnage de William Cecil... La splendeur discrète mais néanmoins perpétuelle de la photographie, d'une sombreur aussi irréelle que mélancolique, tout comme le caractère hypnotique de la bande originale, vient conférer à l'intrigue une atmosphère crépusculaire entêtante.

    Là où Anonymous s'avère être une surprise réjouissante, c'est dans sa sobriété formelle. Emmerich, qui a visiblement plus d'un tour dans son sac, laisse derrière lui les oripeaux de la surenchère hollywoodienne et signe une fresque d'une noirceur désespérée (essentiellement grâce au jeu des acteurs), où l'intime l'emporte sur un spectaculaire pour une fois mesuré, enfin maîtrisé (amorce de bataille virant au tragique, incendie d'un théâtre...). Film de la maturité, Anonymous l'est certainement, d'autant plus que son réalisateur dote sa mise en scène d'un supplément de fond appréciable, n'hésitant pas à exploiter, discrètement mais efficacement, la relation entre l'art et la politique, en revenant notamment sur le sujet délicat de la censure, toujours actuel. Certes, il ne s'agit pas de cinéma engagé, car Emmerich reste tout de même attaché à son goût pour le pur divertissement. Un goût qu'il se paie le luxe de justifier en communiant avec ses spectateurs, au détour de scènes de représentations théâtrales saisissantes d'intensité, fonctionnant sur le principe de la mise en abyme. Et si l'hypothèse que propose le scénario peut a priori apparaître comme provocatrice, voire prétentieuse, on s'aperçoit très vite qu'Emmerich n'est ni un provocateur, ni un prétentieux, car il rend un hommage réel, non pas à Shakespeare lui-même, mais à la puissance des œuvres que l'on dit écrites par Shakespeare. Finalement peu importe l'homme derrière la plume (car on ne connaîtra probablement jamais la vérité sur la paternité des textes shakespeariens), c'est ce que la plume a laissé gravé sur les pages qui compte et dont on se souvient. L'habileté dont fait preuve ici le cinéaste allemand, ainsi que l'attachement irrésistible aux personnages et à leur destin, font d'Anonymous un film à la fois fort, intense et visuellement éblouissant, qui donne littéralement envie de se replonger dans l'œuvre de Shakespeare. Il ne s'agit certes pas d'un chef-d'œuvre, mais d'un très bon film, certainement le meilleur d'Emmerich à ce jour, et assurément l'une des plus grandes surprises de ce début d'année.
    Guillaume D.
    Guillaume D.

    1 abonné 122 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2019
    Qui est vraiment Shakespeare?

    Belle image, trame portant sur qui est vraiment Shakespeare, Mais un peu décousus sur le passé, avenir présent.

    En gros, de bonnes idées mais pas totalement convaincu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mai 2019
    Même si ça reste du domaine imaginatif du fond des scénaristes afin de porter cette réalisation de « 2012 », « Stargate », les meilleurs aux pires, « « Independence Day 1 et 2 », « Godzilla », « Universal Soldier », c’est un cinéaste qui se débrouille pas trop mal. Le décor, la reconstitution numérique de l’époque post médiévale, une vraie renaissance qui débute, ses costumes lui correspondent sont joliment anglais, bon travail là dessus. Un peu de voyage dans le temps d’une mise en scène qui avance sur son temps, dans une tournure de direction que prend la caméra, un pas en arrière pour enfin arriver à terme au présent du futur après le règne d’Élisabeth Ier. Le théâtre de la détente au service des monarques parmi les spectateurs et ses sujets nobles accompagnateurs pour opérer la censure royale, en déviation politique, les pièces de théâtre divertissent son bon peuple. Les guerres périodiques sont des scènes patriotiques, chez les îlotiers anglo-saxons, le voisin continental ennemi juré français par exemple comme tête de turc. Siècle de dispute hégémonique, question éternelle de religion sur la table ronde des chevaliers au service du roi cœur de Lion. La chasse aux plans des conjurés déjoués comme les paroles sacrées de son hymne national, « God save the Queen » littéralement. Quand je vois un film sur l’histoire britannique, je tombe sur les reines Élisabéthaines, ce n’est pas désagréable à se cultiver sur sa royauté. Pour revenir à cet auteur homme de l’ombre sous la plume de William Shakespeare, la paternité des œuvres immortelles anglaises dont « Roméo et Juliette », « Hamlet » reviennent, le comte Edward de Vere et d’Oxford est la théorie anonyme du scénario invraisemblable mais pas irréelle. Un mystère qui le demeura, illettré voir juste une invention pour cacher l’obscurité des personnages importants qui ont vécu, pas de preuve tangible ni de coup de génie dans ce beau film tout simplement.
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2018
    Dans « Anonymous » Roland Emmerich offre un spectacle visuellement séduisant pour illustrer une théorie aujourd’hui considérée comme erronée. Mais comme c’est du cinéma, tout est permis. La reconstitution minutieuse de l’époque, l’interprétation de haut niveau, dominée par Vanessa Redgave nous gratifiant d’une Elizabeth 1ère aux multiples facettes et la réalisation de nombreuses scènes réussies expliquent mal la distance ressentie à la vision du film. En premier, une histoire d’amour contrariée amenant des flashs back quant aux tumultes de la jeune Elizabeth (interprétée par Joely Richardson, la fille de Vanessa Redgrave) dont certaines scènes ne s’imposaient pas (notamment quand, devant son amant nu lui récitant des vers, elle se met à genoux …), cette partie étant parfois confuse. Autre partie peu lisible et trop longue : celle du complot, dont les motivations de certains protagonistes demeurent obscures. Si bien que malgré une durée de 2h38, le sujet essentiel, Shakespeare et ses écrits, finit par se diluer dans cette nébuleuse. Il est évident que quelques choix auraient du s’imposer au montage. Mais le Spielberg allemand ne sait pas renoncer lorsqu’il cuisine : tout trois fois avec beaucoup de sauce, ça peut pas nuire. Si justement, ca finit par peser sur l’estomac, et la sieste n’est pas loin.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    22 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Anonymous réalisé par Roland Emmerich en 2011.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • La réalisation soignée
    • La théorie intéressante

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Le casting sans tête d'affiche
    • Le manque de scènes marquantes

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est une théorie intéressante. 6/10.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    83 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2016
    Malgré un début un peu confus et compliqué par sa quantité de personnages et de noms, on prend plaisir à suivre cette histoire une fois les basés posées. C’est intéressant, touchant et pas forcément historiquement impossible. Anonymous monte aussi en puissance en finissant nettement mieux qu’il commence avec plus d’intensité et de rebondissements. Bref, un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 octobre 2015
    Disons- le dès le départ : le réalisateur, Roland Emmerich, impose SA vision de l'Histoire. Il a choisi une pléiade d'acteurs et actrices talentueux, c'est indéniable. Mais, au- delà d'une réalisation sobre dans son déroulement autant que dans sa photographie, le scénario qu'il déroule est complexe à la limite de la confusion, d'autant plus que l'accumulation de drames personnels des personnages n'apporte pas un intérêt fondamental à son sujet premier. On peut ou pas aimé Shakespeare et/ou son oeuvre, mais je trouve qu'il est ici un peu trop caricaturé; l'acteur, pourtant excellent, Rafe Spall, par son jeu, semble pris par moment de bouffonite aigüe. "To Be Or Not To Be". C'est comme si le réalisateur réglait ses comptes avec l'auteur.
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