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    Méandre
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    Trecy Coste.
    Trecy Coste.

    12 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2023
    Pour ceux qui n’auraient pas compris le film : Lisa se fait enlever par des extra terrestres en même temps qu’Adam car elle souhaite revoir sa fille et pour réparer sa faute qui a causé la mort de sa fille elle doit réussir un parcours parsemé d’embûches qui l’emmènera jusqu’au paradis pour rejoindre sa fille sauf qu’elle échoue plusieurs fois d’où les corps qu’elle retrouve qui sont en fait les siens. Adam quant à lui est une mauvaise personne qui représente le danger et lorsqu’il mort brûlé il devient alors un obstacle supplémentaire que Lisa doit vaincre. En effet il ne peut plus revenir sous l’apparence humaine car son esprit est bien trop noir donc elle doit s’en débarrasser. Son seul but était d’aller jusqu’au bout encouragée par sa fille qu’elle a pu voir dans le tunnel car elle était déjà morte à ce moment là et une fois arrivée à la fin du parcours elle rejoint définitivement le paradis pour rester avec sa fille.
    7fabcool7
    7fabcool7

    48 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2021
    Bon petit film de SF horrifique. Quelques longueurs au début, j'avoue qu'on ne comprend pas tout. Les effets spéciaux sont très réussis. Certains comparent avec les The cube ou l'on passait de salle en salle. La c'est des dédales très étroites. Ambiance très claustro-phobique donc. Je conseille.
    Sam L
    Sam L

    26 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2021
    Une belle surprise pour ce film de genre au rythme soutenu et une actrice très convaincante. Je me suis laissé prendre au jeu et je n'ai pas été déçu.
    RedArrow
    RedArrow

    1 530 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2021
    Une jeune femme isolée, luttant tout autant pour sa survie dans un environnement dangereux que pour surmonter un traumatisme...
    À peu de choses près, on pourrait accoler ce très succinct résumé aux deux longs-métrages de Mathieu Turi -"Hostile" et aujourd'hui "Méandre"- tant ils s'articulent autour d'une base similaire pour ensuite l'exploiter dans des contextes différents. Cette fois, l'héroïne n'est pas coincée dans une voiture accidentée au sein d'un futur post-apocalyptique mais dans une espèce de long parcours en tube, truffé de pièges plus mortels les uns que les autres et dont les fameux méandres vont évidemment représenter sa propre lutte intérieure face à une tragédie.

    Le tube ne fait pas oublier le "Cube" et c'est bien tout le problème de "Méandre" qui, avec un tel pitch, se confronte inévitablement au modèle du genre réalisé par Vincenzo Natali. Les premiers instants de la progression de Lisa (Gaia Weiss) à l'intérieur de ce dédale longiligne vont bien entendu assurer quelques moments de tension et mettre à mal les nerfs des spectateurs les plus claustrophobes mais la prévisibilité des épreuves traversées, faisant invariablement intervenir la dangerosité d'un élément basique, et les motivations psychologiques rudimentaires de cette héroïne vont avoir beaucoup de mal à faire croire que "Méandre" a la capacité de s'extirper un tant soit peu de l'ombre imposante de "Cube".
    À vrai dire, il faut bien le reconnaître, le film de Mathieu Turi n'y parviendra jamais, ses faiblesses scénaristiques et la redite de certains passages obligés (en beaucoup moins malins) propres à ce cadre labyrinthique ne pourront que l'inscrire dans le lointain sillage de cette référence de 1999 sans jamais égaler le choc qu'elle a pu représenter à l'époque.
    Heureusement, "Méandre" aura pour lui son découpage astucieux en trois actes (sur les trois demi-heures de sa durée) où une nouvelle dynamique interviendra à chaque fois pour bouleverser les contours d'un déroulement préférant clairement l'efficacité brute à l'originalité. Ainsi, si la première partie très classique de "Méandre" lèvera in fine le voile sur une partie du mystère entourant le tube (hélas par l'entremise d'un trompe-l'œil maladroit dès le départ), elle aura également le mérite de bousculer notre perception vis-à-vis de cet environnement désormais ouvert à un champ du possible bien plus attrayant, le suspense autour de la survie de l'héroïne en sera d'ailleurs décupler même si l'inconnu convoqué sera plus apte à servir le combat et la thérapie métaphorique en train de se jouer qu'à asseoir sa propre crédibilité. Il en sera de même de la nouvelle force de volonté gagnée par Lisa à la fin du deuxième acte, elle parviendra à bousculer les rapports de force entre elle et les épreuves du tube (cruelles jusqu'au bout) pour à la fois augmenter l'acharnement de sa lutte et la conduire à son inévitable prise de conscience sur la douleur qui l'anime.
    Bon, comme tout le reste, la dernière étape du périple de Lisa ne sera pas forcément synonyme de la plus grande subtilité ou de l'inattendu le plus renversant mais elle aura le mérite de conclure logiquement ce parcours à la symbolique finalement très carrée et à l'exécution plutôt correcte pour nous en faire ressentir toute la dangerosité.

    Par rapport à "Hostile", Mathieu Turi augmente donc d'un cran les espoirs que l'on fonde en lui pour s'imposer dans le cinéma de genre français mais "Méandre" n'est pas encore l'oeuvre marquante qui réussira à le rendre définitivement incontournable.
    bebealien
    bebealien

    10 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Très chouette film.
    Une réalisation soignée, un script malin, une utilisation intelligente des décors, un casting avec une Gaia Weiss extraordinaire.
    Et surtout, surtout, une BO dingue, comme on en voit trop peu dans le cinéma français.
    Je recommande chaudement car nous avons besoin de plus de films de genre ambitieux en France.
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Si des faiblesses et des maladresses notables régnaient dans le précédent mashup de ses courts-métrages qu’est « Hostile », ce dernier ne manquait pas d’idées. Le réalisateur prend donc le contrepied de son premier essai, manquant souvent de rythme et de temps, afin d’acclimater le spectateur à ses ruptures de ton. Mathieu Turi en est donc là, en développant sur scène marquante d’Aliens, avec une intrigue née d’un tuyau, né d’un pur survival. En épousant pleinement le concept claustrophobique et donc de huis-clos, les flashbacks ne viendront plus rompre l’élan du récit, qui ne cesse d’avancer. Difficile de ne pas penser à l’œuvre de Vincenzo Natali, qui en a inspiré d’autres, mais ce qu’en fait le cinéaste français promet une partie des plus divertissement et des plus physiques.

    En prenant de la marge sur le raisonnement intellectuel, une femme rampe dans des conduits sur-mesure, sortes de boyaux métalliques où les pièges nous renvoient essentiellement aux jeux vidéo. Il s’agit d’épreuves où le corps et l’esprit seront sollicités, afin d’exorciser un mal qui hante la prisonnière. De ce côté-là, Turi s’attache ardemment à la thématique du deuil, qu’il saupoudre avec peu de subtilités. L’ouverture, qui témoigne de la souffrance de Lisa, interprétée par une rigoureuse Gaia Weiss, est perverse. Quand bien même on nous offre une première partie immersive des plus efficaces et qui ne manque pas de couper le souffle, la courte exposition se transforme en une justification douteuse, où la souricière ferait presque office d’un enjeu secondaire. On rappelle que c’est le corps qui sera mis à mal, mais dans cette fragilité, il est possible de cicatriser plus vite qu’on ne le pense et c’est ce qui élève l’héroïne dans sa lutte, qui doit l’emmener jusqu’au bout du purgatoire.

    L’intrigue ne garantit donc pas d’échappatoires, mais tiendra au moins la promesse de satisfaire les désirs d’un réalisateur qui ne recule pas face à autant d’adversité, même s’il laisse passer quelques incohérences, tantôt furtives, tantôt frontales. On ne la distingue pas toujours, mais cette générosité est présente, car restreinte par un budget, finalement maîtrisé pour son message simpliste et libérateur. Lisa s’engouffre dans sa propre psyché, où elle devra trouver assez d’oxygène et de courage pour que les nombreux détours qu’elle emprunte aient du sens. Malheureusement, une partie d’entre eux tient plus d’une volonté de brassage, consistant à superposer le plus de références et de codes dans le même espace confiné, où la jeune femme évolue en deux étapes. La première ne serait que du repérage, soulignant l’hésitation et les contradictions d’une Lisa au bord du sommeil éternel. La seconde se revendique psychologique et empoigne toute la vitalité qui lui reste dans un climax qui se tord un peu trop dans un mélodrame convenu, mais dont l’épilogue reste assez audacieux.

    « Méandre » s’inscrit finalement dans une série B, qui jongle entre l’effort physique et une symbolique embryonnaire dans laquelle Turi mise sur le double tranchant de héros, qui se condamnent d’avance pour leurs erreurs passées. D’une certaine façon, oui, deux temporalités se répondent, mais continuer de le prendre au premier degré ampute une part de sincérité pour un cinéaste qui a conscience des limites qu’il impose. L’horreur a toujours plusieurs visages que l’on cultive en soi et c’est avant tout le combat intérieur de l’héroïne qui nous intéresse ici, à l’endroit même où il est possible de se souvenir, de rêver et de cauchemarder.
    Jorik V
    Jorik V

    1 197 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juin 2021
    Voici un nouvel essai de cinéma de genre hexagonal à budget microscopique (ce qui n’aide pas toujours mais permet parfois des montagnes d’imagination). On ne peut reprocher au cinéaste Mathieu Turi de vouloir essayer après le tout aussi moyen « Hostile ». Ici, avec « Méandre », il convoque deux concepts: celui du huis-clos avec un seul protagoniste et celui du film à pièges mortels. D’un côté on retrouve donc une jeune femme se réveillant seule dans un lieu clos, ici un immense réseau de tuyaux géants, et cherchant à s’en extirper (donc comme l’excellent et récent « Oxygène » ou encore « Buried »). De l’autre des péripéties qui pourraient lui coûter la vie au fur et à mesure de sa progression, ce qui fait irrémédiablement penser à « Saw » mais surtout à « Cube ». Et malheureusement l’ombre tutélaire du chef-d’œuvre de Vincenzo Natali est écrasante.



    En effet, par le simple fait que le personnage principal soit seul, cela désamorce la tension. On se doute bien qu’elle ne va pas périr de sitôt. De plus comme elle n’a personne à qui parler ou presque, c’est parfois un peu longuet et cela manque de fond… et d’explications. Si vous aimez tout comprendre, « Méandre » n’est clairement pas fait pour vous. Même si on peut appréhender une espèce de métaphore sur le deuil (les très lourds flashbacks sur le trauma avec la fille de notre héroïne) ou le purgatoire avant la mort et l’atteinte au Paradis (la fin tout aussi lourde et qui dénote trop du reste), on n’est sûrs de rien et c’est à nous de trouver la justification du film. Et ce côté volontairement abscons peut jouer en défaveur de ce petit survival pourtant sincère. En outre, l’actrice Gaïa Wess ne joue pas de la meilleure des façons et certaines situations dans lesquelles elles se trouvent ou certaines réactions, montre un scénario plus réussi sur le plan de la tension que de la psychologie.



    Il n’empêche, « Méandre » a de nombreuses qualités au vu de son budget que l’on suppose rachitique. Le visuel est très travaillé, comme dans « Cube », et le jeu des couleurs, la manière dont sont confectionnés les plans, l’ingéniosité des pièges et l’intrusion du gore et de l’horreur sont du meilleur effet. Même s’ils sont vains et même s’ils semblent là pour masquer le vide du script et faire durer le film. Parfois, on se demande même si un court-métrage n’aurait pas mieux fait l’affaire malgré que l’on ne s’ennuie pas réellement. Du début à la fin, on est aux crochets de l’héroïne et on a envie de savoir quel sera la prochaine étape et comment cela va se finir. C’est donc assez angoissant et il y a un vrai travail sur l’atmosphère, glauque et effrayante, et la musique, particulièrement épique et d’un rendu étonnamment bon. Il y a de l’idée mais tout cela manque de rigueur narrative et de budget. C’est cependant encourageant pour le cinéma de genre français et tout de même assez malin et surprenant pour capter l’attention durant une heure et demie.



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    Maxiime71
    Maxiime71

    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juin 2021
    Beaucoup ne comprendront pas ce film qui le jugeront de long, sans queue ni tête, illogique. Pourtant le film est au contraire très bien construit. Chacun peut se donner son propre avis sur l'histoire, d'habitude on laisse des fins ouvertes sur certains films, mais celui ci laisse le spectateur avoir sa vision de l'histoire intégrale, il faut le voir pour le comprendre.
    Moi même j'ai eut du mal à comprendre où le film souhaitait nous amener. Certes le film n'est pas non plus grandiose, mais il reste un bon film. Il faut aussi rappeler que c'est un film français, et les bons films français se font très rare depuis une bonne décennie.
    Tout le monde n'accrochera pas à ce film, mais il a le mérite d'être bien réalisé et filmé.
    Alice025
    Alice025

    1 518 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mai 2021
    Pas emballée plus que ça...
    On nous plonge directement dans le vif du sujet dès le début de l'histoire, ce qui est plutôt agréable. Les pièges arrivent au fur et à mesure dans ce grand tube, une sensation de claustrophobie s'installe, on se dit ça démarre plutôt bien... et au final, ça ne prend pas. Je n'ai pas réussi à accrocher plus que ça, le scénario devient très répétitif et les moments censés être « angoissants » deviennent rébarbatifs et ennuyants. De plus, j'ai également été paumé par le scénario avec une fin décevante et qui peut perdre le spectateur. Je n'ai pas été convaincue par les explications finales, par le pourquoi du comment. Déçue.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    kyu f
    kyu f

    75 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2021
    un film qui ait du bien a voir . un excellent huis clos , qui arrive a inventer des plans de plus en plus dingue. une actrice superbe et un scénario bien pensée, on y croit a fond meme si je trouve al fin un peux décevante on ne sennui pas !
    eldarkstone
    eldarkstone

    181 abonnés 1 954 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mai 2021
    Jamais vu un huis-clos si nul ... c'est lent et chiant, ça ne tient pas la route, ça n'offre aucune surprise ni suspense, bref, à éviter ...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 752 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mai 2021
    L’opportunisme de Méandre, qui se plaît à multiplier les sévices endurés par une femme enfermée dans une installation labyrinthique, est certainement ce qui révolte le plus : comment peut-on éprouver du suspense, de l’appréhension ou de l’effroi devant ce spectacle d’une agonie étendue sur une petite heure et demie ? Mathieu Turi multiplie les prétendues « trouvailles » et nous place, nous spectateurs, dans une position d’otages, contraints de regarder ; ce faisant, il laisse de côté la trajectoire anthropologique d’un Cube (Vincenzo Natali, 1997) ou la dimension ludique d’un Saw (James Wan, 2005) pour ne filmer qu’un corps se débattant pour survivre, dans une démarche pareille à un snuff movie et de laquelle est exclu le cinéma. Absence de mise en scène et d’enjeux dramatiques, écriture des personnages des plus médiocres – les premières minutes ne servant qu’à installer un semblant de profondeur à grands renforts de trauma ridicule –, musique omniprésente qui nous empêche de ressentir la solitude de Lisa et qui couvre les bruits du périple qu’elle entreprend. Voilà en salle un produit abject qui s’aveugle à la lumière trompeuse de son dispositif et de ses néons colorés et qui, sous couvert de la thématique du deuil, se délecte de la souffrance physique et morale d’une mère.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    307 abonnés 1 701 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mai 2021
    Une jeune femme se réveille dans un tube rempli de pièges mortels. Pour ne pas mourir, elle devra constamment avancer.

    C'est une réalisation de Mathieu Turi dont le répertoire est garni de film horrifique avec The ABCs of Death (2013) et Hostile (2018).

    Après le brillant Le Dernier voyage sorti la semaine dernière, voici un nouveau film français ayant l'air d'un OVNI, seulement cette fois dans le domaine de l'horrifique. Par contre, pour celui-ci, nous ne sommes pas au même niveau. J'ai passé une séance pénible devant ce film que j'ai trouvé mauvais.

    La raison est simple, un scénario catastrophique. Je n'ai pas de mot pour le décrire. À lui seul, il détruit presque tout le travail fait autour. C'est simple, on nous balance plein d'éléments sans prendre la peine à aucun moment de les justifier. Cela permet d'avoir des facilités scénaristiques énormes car après tout, pourquoi donner des explications.

    Je peux accepter tous les délires possible et imaginable, mais il faut que la logique interne se tienne. Qu'on voit un tout cohérent avec un fil conducteur. Cela n'est pas du tout le cas avec ce film. Il y a un certain nombre d'incohérences entre les différents éléments que l'on peut voir.

    Le rythme très lent ne permet pas d'oublier cela. Concrètement, je me suis énormément ennuyé. J'avais l'impression qu'il ne se passait strictement rien. C'est ultra-passif car à part deux ou trois trucs, la balade dans le tube va être redondante au possible. Honnêtement, je ne voyais pas le temps passer. Cela s'accélère légèrement sur la fin mais rien de bien excitant.

    Au vu de tout cela, j'étais presque surpris de voir autant de gore. À chaque occasion, on voyait du sang. Cela donnait plus une impression de remplissage, que d'une réelle volonté de construire quelque chose.

    Afin de ne pas être trop mauvais, je vais tout de même saluer le travail effectué sur l'ambiance, même si cela n'est pas du tout récompenser par le résultat final. En effet, on sent la volonté oppressive à travers ce cube. Tout se ressemble et c'est comme un chemin sans fin. Le spectateur se sent piégé avec le personnage.

    Je ne vais pas m'attarder sur Gaia Weiss qui n'apporte aucune valeur ajoutée à mes yeux.

    Mon unique satisfaction a été le visuel. Le jeu de couleurs est bien géré avec les décors. Les couleurs ressortent bien et cela permet d'avoir de beau plan par moments.
    veux faire du cine
    veux faire du cine

    40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mai 2021
    Encore un essai infructueux dans le cinéma de genre et d'horreur pour la France.. sur un scénario bancal, que dis je pas de scénario du tout, on comprend quedalle, on assiste à un remake du film cube des années 2000. ou une femelle enfermé dans un tunnel essayé de s'échapper en déjouant des pièges tous plus diaboliques les uns des autres. la seule partie plus ou moins intéressante du film... mais on sait pas ce qu'elle fait la, le pourquoi du commun, sans parler de la fin lamentable, ou la on est noyé sous l'incompréhension...
    ballencer des sous pour faire une d'aide pareils, je pige pas, si le réalisateur est un assistant de Luc Besson, ceci explique peux être celà...
    ma note 6/20 à fuir....
    Kiki
    Kiki

    17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2021
    Apparemment, c'était pas possible de mettre aucune étoile pour ce film. Même 0.5 c'est trop élevé encore. Sur le papier, l'histoire a l'air vraiment bien. Le concept de base est vraiment bien et le début est particulièrement réussi, mais au bout de 20 minutes, C'EST LA QUE LES CHOSES COMMENCENT A SE GATEES ! Tout d'abord, les épreuves que doit affronter la belle bonde, ne sont pas du tout originaux, manquent de saveurs. Et alors qu'on croyait qu'elle s'était faite enlever par un psychopathe, il s'agissait en fait d'extraterrestres, spoiler: qui voulaient lui apprendre la valeur de la vie et tourner la page après la mort de sa famille
    . S'en suit ensuite une véritable dégringolade scénaristique, mêlant humains, zombie et alien pour un résultat ni queue ni tête. Pour finir, la fin est complètement claquée au sol (sûrement le pire moment du film), spoiler: où la meuf finit carrément sur une autre planète pour réapprendre à vivre, ou un autre délire
    complétement WTF . Je dois avouer ne pas comprendre les bonnes voire très bonnes critiques à l'égard de ce film. Surement parce que le réalisateur est français et que certains veulent redorer le blason de la culture de ce pays, Chose qui permet d'ailleurs de nous rappeler que désormais, dans la majorité des cas, si un film français n'a pas Besson comme réalisateur, la qualité atteint sensiblement le crash cinématographique.
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