Sublime, poignant, dramatique…décrivent très bien le film de Luc Besson autant que l’acteur Jean-Marc Barr. Ces entrecroisements de deux champions, violement différents, douloureusement amis, se mêlent dans une eau bleue, noire, dangereuse, attirante. Rosanna Arquette et sa Johanna, d’abord attachante puis très vite agaçante, donne cependant au film un aspect terre à terre, et révèle le problème des plongeurs, leur amour, insatiable, pour l’océan. Le Grand Bleu résonne dans le cœur de son spectateur, lui noie l’esprit, Jacques Mayol l’envoûte tandis que Jean Reno, sa voix, son extravagance, ses douleurs, le brutalise, tout cela sous la berceuse de la musique d’Eric Serra.
C'est marrant certaines personnes ont vu dans ce film une oeuvre poétique culte, moi j'ai eu l'impression d'être dans marineland mais à la place des dauphins des autiste en combinaisons de plongés. A la fin j'étais au bord de la noyade. Sincèrement mieux vaut aller à la plage que de s'infliger ça.
un film culte le meilieur de besson les photographie son magique le scenario et superbe et surtout les dialogue surtout ceux de reno sont un regal j'arrive a regarde se film autant de foit est avoir toujour le meme plaisir
Un chef d'œuvre tout simplement, pour les amoureux de la mer c'est un régal! Tout y est parfaitement orchestré : acteurs exellents, histoire belle et émouvante, musique sublime, fin parfaite! Rien a redire.
Chef d’œuvre intergénérationnel signé Luc Besson sur une musique envoutante d'Eric Serra, Le Grand Bleu raconte l’histoire de deux hommes définitivement liés à la mer, Jacques Mayol et Enzo Molinari, plongeurs en apnée, mais aussi une magnifique histoire d’amour avec Johana qui représente la terre. Une comédie dramatique insolite et intemporelle à voir et à revoir sans lassitude aucune !
Film particulier de l'univers de Luc Besson, et certainement le meilleur, Le Grand Bleu est avant tout une oeuvre qui doit se sentir plus qu'elle ne doit être vue. C'est une sorte d'osmose envoûtante du bleu de la mer avec la musique d'Eric Serra. Ainsi, l'histoire reste banale et peu intéressante (d'ailleurs sans grand rapport avec la vraie vie de Jacques Mayol). Ce sont uniquement les sens du spectateur qui sont mis à l'épreuve, le but étant de se sentir aspirer par la mer, par son univers, sa beauté, son éternité. La fin démontre parfaitement cette volonté en montrant l'eau et les dauphins comme le seul véritable amour de Jacques, sa passion le conduisant à mourir dans ses bras plutôt que dans ceux des hommes. Luc Besson a toujours été cible de critiques plus ou moins justifiées, mais dans ce cas présent, il a su viser juste et offrir du pur cinéma à son public. Une sensation forte et une vague de fraîcheur iodée sur le public du festival de Cannes 1988.
Magique! Des acteurs formidables pour des personnages sensibles dans ce film émouvant, accompagné d'une BO incroyable. Un grand moment émouvant du cinéma français.