AlloCiné
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Votre avis sur Moon ?
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Je suis vraiment étonnée des critiques ultra positives à l’égard de ce film ! Personnellement, je l’ai détesté et je n’ai même pas pu aller au bout (il me manquait 20 minutes). Je trouve que le film est ennuyant, l’histoire est vraiment banale, le « twist » si je puis dire ça comme ça ne m’a fait aucun effet … Moon n’était décidément pas un film fait pour moi …
difficile de ne pas pense au chef d'oeuvre de kubrick en regardant ce film... et c'est bien là le problème !
on y retrouve beaucoup de choses, jusqu'à l'IA faussement bienveillante (qui ce coup-ci spoiler: se révèlera finalement plus conciliante
) au timbre de voix glaçant et monocorde de kevin spacey, mais l'enjeu n'est plus l'humanité ici mais la survie d'un homme ( spoiler: un clone
) incarné par sam rockwell, éloigné de ses rôles habituels.
à voir donc pour les fans de science-fiction, les autres peuvent passer leur chemin !
on y retrouve beaucoup de choses, jusqu'à l'IA faussement bienveillante (qui ce coup-ci spoiler: se révèlera finalement plus conciliante
) au timbre de voix glaçant et monocorde de kevin spacey, mais l'enjeu n'est plus l'humanité ici mais la survie d'un homme ( spoiler: un clone
) incarné par sam rockwell, éloigné de ses rôles habituels.
à voir donc pour les fans de science-fiction, les autres peuvent passer leur chemin !
Science-fiction de qualité !
Il s'agit d'un film britannique indépendant, la première réalisation de Duncan Jones (fils de David Bowie).
L'unique acteur est performant.
On ressent l'inspiration de plusieurs films (2001 : l'odyssée de l'espace, Outland,...).
Vu en 2024.
Il s'agit d'un film britannique indépendant, la première réalisation de Duncan Jones (fils de David Bowie).
L'unique acteur est performant.
On ressent l'inspiration de plusieurs films (2001 : l'odyssée de l'espace, Outland,...).
Vu en 2024.
Petit film avec un petit huis clos, bonne chute ok mais sur l'ensemble sans plus ¯\_(ツ)_/¯
Moon aborde la thématique difficile et maintenant déjà largement abordée du clonage. Certains films ont su s'en sortir sur ce thème comme par exemple The Island, sorti avant Moon et Oblivion, sorti ultérieurement en reposant sur un retournement scénaristique habile et surtout de l'action.
Moon est différent et à mon sens finalement bien plus subtil. Ne vous attendez pas à une claque scénaristique bien pensée qui surgirait à un moment inattendu pour déclencher une bonne décharge d'adrénaline. Au contraire, Moon met en place rapidement une situation qui attend des éclaircissement et distille au fur et à mesure suffisamment d'éléments pour comprendre ce qu'il se passe ou au moins formuler des hypothèses. Là où ce film brille , c'est par l'exploration psychologique des deux personnages principaux, leurs questionnements, leurs états d'âme face à une situation et des enjeux éthiques qui les dépassent. Ils ont des cheminements psychologiques fascinants, qui se croisent et se complètent en miroir. Le tout est porté par un jeu d'acteur d'autant plus remarquable que les rôles étaient difficile à interpréter.
Cerise sur le gâteau, le troisième personnage, un robot dopé à l'IA saura également achever de donner du relief à l’œuvre qui n'en manquait pas. Un classique de la science-fiction
Moon est différent et à mon sens finalement bien plus subtil. Ne vous attendez pas à une claque scénaristique bien pensée qui surgirait à un moment inattendu pour déclencher une bonne décharge d'adrénaline. Au contraire, Moon met en place rapidement une situation qui attend des éclaircissement et distille au fur et à mesure suffisamment d'éléments pour comprendre ce qu'il se passe ou au moins formuler des hypothèses. Là où ce film brille , c'est par l'exploration psychologique des deux personnages principaux, leurs questionnements, leurs états d'âme face à une situation et des enjeux éthiques qui les dépassent. Ils ont des cheminements psychologiques fascinants, qui se croisent et se complètent en miroir. Le tout est porté par un jeu d'acteur d'autant plus remarquable que les rôles étaient difficile à interpréter.
Cerise sur le gâteau, le troisième personnage, un robot dopé à l'IA saura également achever de donner du relief à l’œuvre qui n'en manquait pas. Un classique de la science-fiction
Démarrant de façon intrigante ce récit d'anticipation laisse rapidement deviner son "twist", faisant espérer en contrepartie des enjeux plus intéressants que ceux d'une firme utilitariste exploitant son employé lunaire. Cependant l'histoire se laisse suivre sans déplaisir grâce à la (double) performance talentueuse de Sam Rockwell et à une représentation vraisemblable de la surface de notre satellite naturel. Frustrant.
Voilà de la vraie SF, celle qui s’interroge sur nous , notre monde . C’est glaçant à tous les niveaux . Pas besoin d’effets spéciaux grandiloquents et inutile, c’est très réaliste et plutôt plausible dans un futur plus ou moins lointain . Merci Arte pour l’avoir passé.
Mon dieu j'ai écouter les critiques plutôt bonnes et c'était une grave erreur le film est nul aucune action aucun rythme il ne se passe strictement rien pendant 1h30 c'est tout sauf de la SF, ne perdez pas votre argent fuyez
Duncan Jones réalise une œuvre originale et surprenante, le scénario est à la fois simple mais révèle avec élégance, la triste réalité du capitalisme à outrance.
Néanmoins, malgré un bon jeu de Sam Rockwell, le rythme quelque peu lent ne permettra pas de vous plonger dans l'histoire et vous laissera un goût d'amertume.
Néanmoins, malgré un bon jeu de Sam Rockwell, le rythme quelque peu lent ne permettra pas de vous plonger dans l'histoire et vous laissera un goût d'amertume.
Sam Rockwell qui porte à lui tout seul ce film de SF de 5millions de dollars, donc budget serré, mais au scénario très correct, avec la voix de Kevin Spacey en assistant robot
Quelle belle surprise ce “Moon” de Duncan Jones, son premier film d’ailleurs. C’est incroyable qu'il n'ait pas eu sa place dans les salles obscures en France lors de sa sortie. Car oui, “Moon” est puissant, philosophique et superbement réalisé. Le tout dans un cadre et une atmosphère unique (sur la lune, un seul rôle principal), d’ailleurs, il est rare d’avoir des films aussi prenants avec un unique acteur. Sam Rockwell montre une sincère profondeur dans son personnage de Sam Bell et devient rapidement attachant. La bande originale avec plusieurs morceaux acoustique de piano est également très appréciable et reflète l’ambiance lunaire et la solitude. Un être face à lui même qui s’est construit une vie sur la station appartenant au géant “Lunar Industries” qui récupère l’énergie solaire (sous forme de Hélium3) sur la face cachée de la lune. J’ai beaucoup apprécié la tournure prise par les événements pour un faire un film de science-fiction riche, bien pensé avec une portée sociale et humaine forte, le genre de film qui mérite à être connu du public.
Moon est le premier long métrage de Duncan Jones , qui est accessoirement le fils de David Bowie. Eh bien c'est pas mal pour une première , on a ici une œuvre de SF rappelant furieusement le 2001 de Kubrick. L'ambiance huis clos est réussie , l'esthétique globale y étant pour quelque chose , ainsi que l'OST de Mansell. Sam Rockwell est bon dans la solitude de son personnage , quasiment le seul protagoniste du film. En revanche je trouve Moon un peu longuet malgré sa durée assez courte , et le twist est trop précoce à mon goût , j'aurais aimé une montée en tension plus développée. C'est donc pas mal , un peu surcoté peut être , mais le public aimant la SF psychologique y trouvera son compte.
Fodscraft
Sam va bientôt terminer sa mission qu’il effectue seul sur la Lune depuis trois ans. Alors qu’il attend avec impatience de retrouver sa famille, il est pris d’hallucinations. Est-ce son esprit qui invente, la lune qui l’influence ou la vérité qu’il entrevoit ?
Petite merveille présentée au festival de Sundance, Moon est réalisé par le fils de David Bowie, l'interprète de Moonage daydream (pour boucler la boucle).
Film sur l’introspection, il nous pousse dans une réflexion sur ce qui constitue l’identité d’un individu.
Un film de science-fiction intelligent !
Petite merveille présentée au festival de Sundance, Moon est réalisé par le fils de David Bowie, l'interprète de Moonage daydream (pour boucler la boucle).
Film sur l’introspection, il nous pousse dans une réflexion sur ce qui constitue l’identité d’un individu.
Un film de science-fiction intelligent !
Artriste
Premier film de Duncan Jones en tant que réalisateur, Moon est un long-métrage de science-fiction très spécial. L'histoire nous emmènes sur la lune ou un employé d'une société est engagé afin d'y extraire de l'hélium 3, une ressource puisé par une moissonneuse. Sam Bell se retrouve donc en charge de la station spatiale avec pour seul compagnon un robot doté de la parole. Dès les premiers instants l'ambiance distillé est très étrange et va l'être encore d'avantage au fil des minutes. C'est extrêmement déstabilisant et pendant l'heure et demi que dure le film, on se retrouve devant quelque chose de difficilement compréhensible jusqu'à devenir aussi fou que le protagoniste principal qui est quasiment le seul personnage. C'est Sam Rockwell qui incarne ce rôle et même si sa performance est objectivement bonne, je n'ai pas été emballé par son personnage qui n'est pas très attachant et qui ne parait pas spécialement sympathique. J'ai préféré Gerty le robot polyvalent qui est là pour l'aider dans ses tâches, car lui possède une certaine ambiguïté qui fait que l'on ne sait pas vraiment s'il le protège ou s'il cherche à lui cacher des choses. La relation entre les deux est plaisante. Côté réalisation c'est inégal avec quelques coupes mal senties et des transitions parfois grossières. Cependant les décors intérieurs sont une belle réussite et encore plus en extérieur quand on se retrouve sur ce sol cabossé. Certains plans sont très jolis et on à vraiment le sentiment d'être loin de la planète terre. La petite b.o. qui accompagne l'ensemble est pour sa part de qualité. Reste une fin qui je l’espérait allait apporter des réponses mais qui malheureusement se conclut de manière brutale et qui laisse toutes les questions sans réponses ce qui fait que c'est un énorme gâchis. Au final c'est vraiment dommage que Moon n'arrive pas à expliquer ce dont il traite. Il laisse donc beaucoup de frustration et de vide dans son scénario. Autant il vaut le coup d’œil pour son visuel mais autant son histoire n'est pas emballante ce qui en fait en conclusion un long-métrage au goût d’inachevé.
Sam Bell est posté sur la lune en tant qu'unique opérateur d'une vaste expédition minière. Après trois ans de travail Sam commence à souffrir de délires et d'un handicap physique général. Il s'écrase sur son chariot minier ce qui le rend inconscient. Lorsqu'il reprend conscience et retrouve le chemin de la base un autre Sam bell semble avoir pris sa place. Le film est raisonnablement bien produit mais n'offre pas un iota d'écriture originale ou intéressante. L'idée que quelque part ou une personne découvre qu'elle est un clone un hologramme ou une machine pour la remplacer est tellement banale dans le domaine de la S.F. que l'on ne peut pas baser un film entier sur cette seule idée. En fait nous avons besoin d'une abondance de scénarios supplémentaires pour détourner nos pensées de la stupidité inévitable à laquelle ce genre d'histoire spatiale confronte le spectateur. Une bêtise qui aurait pu être évitée si l'histoire s'était déroulée par exemple en Antarctique ou ailleurs et le fait qu'elle se déroule sur la Lune n'ajoute absolument rien...
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