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    Barbie
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    traversay1
    traversay1

    3 104 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2023
    Il est fascinant de voir à quel point la curiosité a poussé un nombreux public à découvrir, dès le premier jour de sa sortie, un film qui n'est a priori qu'un produit dérivé d'une grande marque de jouets, une opération de marketing et de rebranding très rusée. Il est vrai que certains ne l'ont vu, toutes affaires cessantes, que pour se payer sa tête et dénoncer sa dictature féministe sur les réseaux sociaux, blogs et autres forums de discussion. Dans une semaine où sortent Oppenheimer, Les Meutes, Les ombres persanes, De nos jours et Sous le tapis, entre autres, Barbie est évidemment l'objet le plus clinquant du lot, le plus à même de susciter le désir, et ce pour plein de raisons, la moindre n'étant pas la présence surprenante de Greta Gerwig à la réalisation. Sur le plan du spectacle pur, avec ses décors éclatants, ses chansons acidulées et ses chorégraphies rutilantes, il y a lieu de s'extasier, comme si Vincente Minnelli était revenu pour imposer son univers coloré. Le scénario est par ailleurs loin d'être idiot, même s'il insiste un peu lourdement sur le poids du patriarcat (le seul échappatoire en est-il le matriarcat ? Quid d'un vivre ensemble harmonieux ? Sans doute du domaine de l'utopie). Qu'est-ce que l'identité féminine, se demande Barbie, dans ses moments les plus lucides, et, ma foi, la question est effectivement aussi intéressante qu'une guerre des sexes par trop prévisible. Milan Kundera aurait apprécié ces passages où la question de l'insoutenable légèreté de l'être se pose, et les poupées blondes, une fois débarrassées de leur obligation de s'en tenir à une image stéréotypée, ont aussi le droit de s'interroger. En même temps, en dépit du talent incontestable de Margot Robbie, de Ryan Gosling et de Greta Gerwig, il va de soi que le film étant une production Mattel, qui ne se prive pas d'occuper largement le récit, ce n'est pas une entreprise philanthropique, n'ayant de cesse de flatter la marque, y compris via le tamis de l'auto-dérision, arme de séduction massive très efficace, quand elle s'impose des limites bien précises. Visuellement, Barbie est du nanan pour les yeux et on laissera à chacun la capacité de décider si le message envoyé est pertinent, malin, outrancier ou stupide. Prière de rayer les mentions inutiles.
    Ralf Vogel
    Ralf Vogel

    25 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2023
    Bienvenue dans l univers Barbie et...Ken : ça démarre dans le monde des bisounours puis petit à petit ça évolue vers le rapport homme femme et la place de la femme dans le couple et dans la société.
    Donc ce film qui peut paraître superficiel à première vue, soulève en fait plusieurs sujets de fond.
    A noter des acteurs investis qui font le job, pas mal d humour, une bande son très rythmée, une photo soignée, mais aussi une grosse pub pour...Mattel (le logo doit apparaître au moins 20 fois et je suis gentil...!
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    679 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    Barbie et Ken vivent à Barbie Land où tout est facile, parfait et merveilleux.
    Quand Barbie commence à avoir des idées noires, elle doit faire un voyage risqué dans le monde réel pour tenter de retrouver la petite fille qui s'occupe d'elle, car elle semble être à l'origine de ses sombres pensées.
    L'idée de départ est franchement très originale et hyper séduisante, le casting paraît également à la hauteur de ce délire rose bonbon à la sauce Mattel : Margot Robbie et Ryan Gosling.
    Le premier quart d'heure est un peu moyen, mais on se dit que c'est normal, nous sommes dans le monde virtuel des poupées Barbie, l'histoire va forcément décoller.
    Le quart d'heure suivant devient enfin piquant et amusant : Barbie doit se rendre dans la vraie vie, cela promet un choc existentiel frontal décapant !!
    Et puis... plus rien ou presque... Le film repart dans le monde des Bisounours avec un scénario balourd, collant et répétitif.
    Il y avait tellement mieux à faire pour parler de l'égalité hommes-femmes et des enjeux de société liés à ça !!!
    Mon ressenti final est une déception, même si l'on apprécie par de trop rares moments la folie de cette oeuvre complètement assumée.
    Délirant, mais pénible sur toute la seconde moitié : un mini gâchis !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Stève S
    Stève S

    21 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juillet 2023
    Mattel cherche sans surprise à casser son image stéréotypée de la femme américaine blonde filiforme.
    J’avoue qu’ils en jouent habilement et parviennent à faire une autocritique plutôt drôle par-moment,. Avec toutefois une lourdeur malaisante sur certaines scènes.

    Là où le film laisse un goût amer c’est qu’il y a un regard bienveillant sur les femmes mais il est sans appel sur les hommes. En fait Mattel continue ce qu’il sait faire : créer des stéréotypes ravageurs, cette fois-ci sur les hommes.

    Ce regard acerbe spoiler: se résume parfaitement vers la fin où un Ken veut devenir juge suprême et qu’une Barbie lui rétorque qu’il pourra être juge mais juste dans un petit tribunal : la place des ken dans Barbie Land sera identique à celle des femmes dans la société américaine.
    Audrey L
    Audrey L

    552 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2023
    Come on Barbie, let's go parody ! La vague de rose déferle, sortez vos surfs !!! Depuis sa sortie, on se régale à chaque heure de projection du film qui envahit le cinéma de spectateurs habillés en rose, justaucorps fluo et même tutus (on veut plus de gens comme ça : décomplexés du short de bain). On a donc nous aussi enfilé notre combi rose bonbon, et on est ressorti de ce Barbie avec la banane, emporté par le lâcher-prise total de ses vedettes (Margot Robbie et Ryan Gosling sont à fond, le véritable cœur battant du film, et on veut déjà une suite avec eux, clairement !), par les décors et costumes "faussement kitschs" (il faut une vraie maîtrise, pour ne pas tomber dans le cheap, et ici tout est fluo, en plastique, démesuré, mais jamais laid ni raté : chapeau aux artistes), par la playlist cucul qui parodie les chansons niaises qu'on a l'habitude de croiser dans les films jeunesse, avec même une chanson "I'm just Ken" complètement débile... On valide le délire, surtout spoiler: l'ouverture qui nous fait découvrir le monde de Barbieland avec un cynisme grinçant à s'en casser les molaires (métier : plage... On peut postuler ?), les interventions de "Barbie Bizarre" (Kate McKinnon, comme d'habitude sous LSD : on l'aime d'amour), les poupées censurées (le Sugar Daddy, on ne s'en remet pas...), la confrontation "Ken au pays du patriarcat" comme un gamin dans un magasin de sucreries, ces changements de mondes
    qui sont des trouvailles visuelles étonnantes et drôles... Vraiment, on a souri très souvent, et on n'était pas les seuls. Tous les âges et genres (si tant est que vous ne soyiez pas un grand macho : auquel cas, vous vous êtes trompé de salle) rigolent bien de cette tacle à la domination masculine, avec une finesse pachydermique (un peu poussive par moments, mais on a adoré les " spoiler: clichés-appâts de macho"
    , on a reconnu du monde...). On aurait seulement aimé que le film ne baisse pas en puissance dès la sortie de Barbieland, une sortie d'ailleurs trop anodine à notre avis. On aurait pu pousser le bouchon très loin dans le choc des cultures (Barbie qui passe devant un cinéma X et qui ressort traumatisée, sans même avoir besoin de montrer ce qu'elle a vu - par égard pour le jeune public -, qui voit deux personnes du même genre être ensemble, s'interroge davantage sur le vieillissement, etc... Quelle déception de voir qu'à peine arrivée dans le monde réel, spoiler: elle tombe sur les méchants, et elle repart dans son monde
    ). Les méchants ne servent pas à grand-chose non plus, on aurait pu les enlever que l'intrigue fonctionnait de même (mais bon, Will Ferrel est à l'aise, surtout quand il dit "qu'il aime les petites filles", avec cette tête de réjoui qui nous fait rire à tous les coups). On a aussi retenu la réplique de Ken sur les mini-frigo : "C'est trop petit pour un pack de bières, et le congélateur au-dessus ne sert à rien.", on s'est vu, alors forcément, on a encore ri. Bref, une vraie bouffée d'air décomplexée, sur-colorée, au débile assumé et même fièrement brandi, sans se moquer de nous sur le plan artistique : Barbie est un peu fade dans son scénario, mais flamboyant dans sa parodie. Le final se laisse la porte ouverte pour une suite, et on veut déjà rejouer avec Robbie et Gosling, tant on s'éclate quand ils font les idiots assumés.
    Cécile B.
    Cécile B.

    23 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2023
    À voir toute la communication faite autour de ce film j'étais plutôt intriguée et j'ai eu envie de croire que cela pouvait être sympa et décalé. Finalement c'est un pur navet, le film est complètement creux, il surfe sur la vague feministe mais de façon complètement ridicule, l'histoire n'a absolument aucun sens. Concrètement ils ont tout misé sur le nom de marque en se doutant que ça allait forcément attirer... Il y avait tellement de possibilités, ils ont choisi la facilité, dommage !
    tigrou83
    tigrou83

    13 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 août 2023
    Très caricatural. Aucune mesure. Je viens d'essuyer 1h45 de critiques ininterrompues accumulant tous les poncifs sur mon GENRE. Oui vous avez bien lu. Le genre masculin dans son entièreté est ici cloué au pilori. Condamné d'un bloc. Le même film avec des rôles inversés ferait un scandale total, en le qualifiant de venir dénigrer odieusement les femmes. Ici çà fait 800 millions. J'apprends donc que je suis un gros imbécile bourru passionné de grosse bagnoles, de chevaux, de vestes de rocker, aux blagues scabreuses, et surtout qu'on m'amène ma bière pendant que je joue de la guitare comme un débile pendant des heures. Il est amusant de constater que je n'aime aucun de ces points, de près ou de loin. J'apprends également que depuis toujours, je bénéficie des faveurs d'une société patriarcale "masquée de nos jours". C'est donc sans doute pour cette raison : 1) que j'ai préparé pendant 5 ans midi et soir tous les plats et les ai servis à ma copine avec grand plaisir, parce que je l'aimais et que j'aurais tout fait pour elle. Je ne le vois pas trop dans ce film. Oui Margot tu sais cette notion désuète aux yeux de ce film qu'on appelle "amour". 2) que cela fait 6 ans que j'essaye d'être associé dans une société gérée par une femme, parce que je l'apprécie. Quelle société patriarcale dites donc ! Où suis-je représenté dans ce film ? C'est donc ici à un film sans demie-mesure que nous avons à faire. Un procès radical et sans appel d'une image tellement datée des hommes, presque haineuse, que je condamne fermement. Un écho fantasmé des années 50, accumulant tous les clichés jusqu'à son point d'orgue à la fin, flirtant clairement avec le ridicule. La seule exception étant le personnage non binaire, qui lui est curieusement épargné par ces foudres. Probablement un des films les plus misandres à date. Merci pour la leçon très salée Margot, sache que je ne veux pas de ton KenLand.
    Marie P
    Marie P

    24 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2023
    J'ai passé un excellent moment avec Barbie. Au début du film je me suis demandée où j'étais tombée mais quand on commence à tout prendre au 36eme degré, alors là j'ai adoré! C'est drôle, je pense que les acteurs ont dû s'éclater à tourner ce film! On passe un bon moment et on ne regarde plus sa Barbie et surtout Ken de la même manière. Mention spéciale pour Ryan Gossling qui peut vraiment jouer tous les rôles!
    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2023
    C'est peu dire que le "Barbie" de Greta Gerwig était très attendu. Présenté comme une des affiches de l'année, il faut reconnaître que c'est une déception.
    Tout n'est pas à jeter (loin de là), il y a quelques scènes drôles et un message résolument progressiste, de quoi passer un bon moment de distraction. Pour autant, après un début tonitruant (et notamment cette parodie géniale de 2001), la 2e partie du film perd son rythme, devient poussive, sans humour et tout en lourdeur avec la multiplication des scènes où la réalisatrice explique aux spectateurs le féminisme, l'égalité, le rôle des hommes, le pouvoir et même la vie. C'est répétitif et inutile, surtout quand la grande leçon de vie aboutit à ce genre de vérité : "Il faut mieux créer les choses qu'être une chose" (clap clap !). C'est une leçon de féminisme pour ado en mal d'explicite. Au lieu de finir le film avec Ruth Handler (la créatrice de Barbie), on eût préféré voir une autre Ruth - Ruth Ginsburg - qui consacra sa vie aux droits des femmes américaines. Pour le coup, Greta Gerwig déçoit un peu, si subtile dans "Lady bird", elle a cette fois chaussé ses gros sabots pour ce film militant qui ne défonce que des portes ouvertes.
    Une bonne distraction mais on est loin du brulôt cinématographique attendu.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 196 abonnés 7 235 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    A Barbie Land il fait bon vivre. Tout le monde semble heureux de vivre en communauté, dans un décor de carton-pâte (ou plutôt, dans un décor de PVC) rose bonbon. Enfin, tout le monde sauf Barbie qui est en pleine crise existentielle…

    64ans après sa création, la poupée mannequin de 30cm connait sa première adaptation en prises de vues réelles, après d’innombrables films d’animation (on n’en dénombre pas moins de 40). Il aura fallu 14ans de développement et d’abandon de projets pour que Barbie voit le jour au cinéma, passant entre les mains de plusieurs majors, réalisateurs et interprètes (Amy Schumer & Anne Hathaway étaient pressenties).

    C’est finalement Greta Gerwig (Les Filles du Docteur March - 2020), actrice & réalisatrice de films indépendants qui s’attèle à ce blockbuster à 100M$. Au programme de ces 2 (trop) longues heures ? Une comédie pop et acidulée qui frise l’écoeurement. On jurerait regarder le catalogue de merchandising de Mattel, sous couvert de dénoncer le patriarcat (la firme est aux mains des Hommes, le destin de Barbie et de ses consœurs aussi), le tout, tartiné ras-la-gueule d’une réflexion féministe (les femmes doivent prendre leur indépendance, se prendre en main et ne compter que sur elles-mêmes), en réalité, on assiste aussi et surtout à un déballage dans les règles de l’art du catalogue Mattel qui vient se racheter une bonne conscience auprès du grand public alors que l’entreprise reste encore et toujours le symbole du sexisme et du capitalisme, bref, un beau foutage de gueule.

    Tout est beau et tout le monde est gentil dans le monde merveilleux de Barbie où le communautarisme et l’inclusivité y sont la norme (alors que dans les faits, Mattel aura toujours rechigner à commercialiser des poupées Barbie qui ne soient pas autres que blanches et blondes). C’est ainsi que l’on assiste à étalage sans vergogne des différentes Barbie qui existent dans le commerce (en surpoids, en fauteuil-roulant, noir, métis, trans, …).

    Malgré son excellente scène d’ouverture (qui pompe totalement 2001 : l'odyssée de l'espace - 1968) et quelques références rigolotes disséminées ici et là (j’en ai compté 3, à savoir Midge la Barbie enceinte, la Barbie puberté (commercialisée sous le nom de "Growing Up Skipper") et enfin, la Barbie dépressive), il faut se rendre à l’évidence, l’adaptation de Greta Gerwig s’avère être d’une pauvreté abyssale. Alors certes, elle a consciencieusement coché toutes les cases du cahier des charges imposé par Mattel, mais pour le reste, on s’emmerde prodigieusement. Un scénario inintéressant au possible et plombé par l’absence d’humour (il n’y a rien de drôle), heureusement que Margot Robbie (qui incarne le rôle-titre et assure également la production) s’en sort plutôt bien, face à Ryan Gosling, parce qu’en dehors de ça, le film s’avère être particulièrement éreintant.

    Barbie (2023) se veut féministe et pourtant, elle met Ken au cœur de son histoire et vole la vedette à son héroïne. Au final, cette comédie capitaliste (qui promeut à la fois Birkenstock, Chanel ou encore Chevrolet) veut se donner le beau rôle alors qu’en réalité, tout ce qu’elle fait c’est de se tirer une balle dans le pied en brassant du vent pendant 2h (et dont le temps ressenti avoisine les 3h, bon courage).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Vincent L.
    Vincent L.

    27 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2023
    J’ai vu barbie en avant première et c’est une sacrée déception. Au vu de certaines critiques, je pensais voir un film décalé et satirique mais au final c’est une gigantesque niaiserie indigeste. La seconde partie du film est catastrophique. Les dialogues sont au ras des pâquerettes. C’est affligeant !
    selenie
    selenie

    5 453 abonnés 6 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    La scène pré-générique de début est à elle seule icônique en reprenant le début du film mythique "2001 l'Odyssée de l'Espace" (1968) de Stanley Kubrick. Ensuite on plonge littéralement dans l'univers Barbie, qui reste des jouets symboles de perfection dans une société Barbieland factice et surperficielle. Barbieland est en quelque sorte le rêve idéalisé que pourrait faire n'importe quelle fillette ! Tous les poncifs inhérents à Barbie y passent, et d'ailleurs dans l'idée le film s'oblige à se tirer une balle dans le pied car si les Barbies se permettent tous les métiers elles ne travaillent jamais et restent à bronzer ou à danser et finalement elles restent aussi dilettantes que les hommes. Sur ce point le film manque un peu de créativité ou d'acuité puisque le message au final reste très féministe sans que la démonstration soit probante. Néanmoins on se prend au jeu, essentiellement et surtout grâce à l'incroyable dérision et auto-dérision des acteurs mais aussi de Mattel. Dommage que le dernier quart d'heure soit lourd et poussif dans son message devenu presque trop sérieux. Ca reste un délire fun et pétillant dont le décalage constant emporte l'adhésion.
    Site : Selenie.fr
    Math719
    Math719

    150 abonnés 632 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2023
    Beaucoup de second degrés mais ça suffit pas forcément pour apprécier à 100 % ce film délirant ! Margot Robbie et Ryan Golsing se donne à fond et ça fait quand même plaisir à voir ! Le scénario est farfelu, mais la fin est plutôt bien faite, l’univers est génial mais ça ne suffit pas pour que ce soit un film mémorable comme Mario Bros par exemple.
    L'humour aurai pu être aussi mieux travaillé le long du film, enfin pour certains oui ils rient beaucoup d'autres non !
    Lyah
    Lyah

    336 abonnés 989 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2023
    Une très bonne comédie à l'humour bien barré, mais avec un beau message et qui constitue en même temps une réflexion sociale intéressante sur la place des hommes et des femmes. Margot ROBBIE et Ryan GOSLING sont excellents dans leurs rôles respectifs. Une réussite !
    Vador Mir
    Vador Mir

    225 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 août 2023
    Le mot qui vient en premier c'est "Dystopique"

    c'est effrayant de superficialité, c'est infiniment plus "premier degré" que ce que ça prétend être. Barbie et Mattel veulent se donner une virginité mais c'est trop tard le mal est fait:
    Des centaines de millions de petites filles ont pu croire qu'il est normal d'être matérialiste, consumériste et superficielles, et rien n'y changera.

    Les Producteur ont limité la casse mais ça reste une catastrophe.
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