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    Les Bêtes du sud sauvage
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    inoxydable2001
    inoxydable2001

    12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    Onirique et merveilleux, un univers de gens modestes et chaleureux, une fillette lumineuse (Hush Puppy)
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Chaque année ou presque il y a un candidat à l'Oscar du meilleur film qui est acclamé par la critique et qui me laisse perplexe parce que je semble être complètement déconnecté de ces experts. L'histoire de ce film n'a jamais eu aucun sens. Elle implique un jeune enfant presque sauvage qui vit dans un horrible petit village infernal de Louisiane où tout est cassé vieux et sale. Je sais que ces gens sont pauvres mais cela va bien au-delà de la pauvreté. Les enfants apprennent avec un professeur qui utilise un langage grossier et parle d'Aurocs préhistoriques. Quant à la vie familiale de l'enfant rien de cela n'avait de sens non plus. Sa mère est partie mais le père vit dans une maison à proximité ainsi que dans une réalité distincte. Voir un petit enfant courir dans une caravane sale et en panne et jouer avec un lance-flammes a fait ressortir le père en moi et moi j'avais envie de crier qu'il fallait sauver cet enfant de cet environnement horrible regarder cela n'est pas ce que j’appelle un divertissement. Elle mange aussi de la nourriture pour chats. Rapidement elle met le feu à la maison et passe la majeure partie du reste du film à rester avec son père fou qui est en train de mourir. Puis il y a une grosse tempête qui arrive et le village est en désordre. Et à la fin après avoir traité l'enfant comme un animal de compagnie le père meurt et l'enfant le brûle sur un bûcher funéraire. Quel était le but de tous cela et qui sont ces gens sont-ils des fous. Pourquoi est-ce un film que je devrais voir un tout petit enfant qui brûle son père mort sur un barbecue. Je suis peut-être excentrique mais j'ai vraiment détesté Les Bêtes du sud sauvage...
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 730 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2021
    Une fable lyrique et envoûtante sur des laissés-pour-compte de la Nouvelle Orléans, visuellement sublime, Illuminée par l’interprétation touchante de Quvenzhané Wallis.
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Les rudes apprentissages d’une petite fille craquante (parfois trop) élevée par son père malade dans le bayou de Louisiane. Etrange et dépaysant mais récit un peu décousu. Et puis les aurochs, pourquoi faire ?
    Audrey L
    Audrey L

    545 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Dans un futur toujours plus proche avec le réchauffement climatique, la banquise fond et fait monter le niveau de l'eau, menaçant ainsi les peuples qui habitent sur des zones inondables... Hushpuppy, jeune fille du Tiers-monde, en fait partie. Pour elle, le temps se joue comme un affreux compte-à-rebours dans lequel personne n'a le droit à l'erreur, ni elle, ni son père rendu fou par la pauvreté et la misère, ni même ses voisins de quartier qui tentent le tout pour le tout en restant dans leurs habitations ("partir ? Mais pour aller où ?"). Sur ce postulat écologique et social dont le scénario sait imbriquer les enjeux avec finesse, on découvre une séquence d'ouverture aussi lumineuse qu'intelligente avec sa morale épicurienne. Mais malheureusement pour Les Bêtes du Sud sauvage, son côté fantastique et ses métaphores balourdes sont aussi immatures qu'épuisantes. Ainsi l'imminence du danger pour les populations pauvres est représentée par un troupeau de grands sangliers préhistoriques qui dévorent tout sur leur passage (même leur propre mère sanglier, dans une scène particulièrement écœurante), soit une métaphore aussi lourde que les créatures qu'elle expose. Sans parler des frasques du père de Hushpuppy (fait de sa fille un garçon, est très violent...) qui en font un personnage très antipathique, et sa fille qui en devient une petite peste (met le feu, "tue" son père, casse tout...) n'attire guère plus notre sympathie. Le final entre les monstres et Hushpuppy est tout à fait ridicule et nous fait oublier le beau démarrage qu'avait pris ce film engagé. Un film qui se noie (lui) sous ses propres métaphores à gros sabots...
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2020
    Si l'on hurle avec les bêtes du Sud sauvage, on criera au grand film, sous l'influence (et quasi à l'unanimitè) de la critique presse et spectateurs qui est venue conforter plusieurs nominations aux Oscar 2012! Malheureusement l'impression d'ensemble devient plus mitigèe! Un curieux mèlange de fin du monde, au rythme très lent et à l'atmosphère picturale, qui verse un peu trop dans le larmoyant! Le tout dans un cadre fantasmè et surrèaliste de tiers-monde à la sauce Heinz! Evidemment la petite et enchanteresse Quvenzhanè Wallis est formidable dans ce rôle en mettant les audiences à genoux! Mais de là à la nommer dans la catègorie « Oscar de la meilleure actrice » , ça fait beaucoup. "Beasts of the Southern Wild" vaut surtout pour ces plans fascinants, pensès jusque dans les moindres dètails! A ce titre, la dernière image du film est superbe! C'est là que s'arrête la route et que l'eau commence! Le seul chemin possible pour aller sur l'Isle de Jean Charles, aux confins de la Louisiane! Quand l'èmotion est une force, ça ne fait pas toujours à l'arrivèe un chef d'oeuvre....
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2020
    Par quel prisme prendre cette fable envoûtante de Benh Zeitlin : celui de cet élan imaginaire où famille et écologie prennent un sens particulier ? Ou celui de cette vision féerique et enfantine d'un monde dur et insaisissable ? Ce qui est sûr, c'est que *Les Bêtes du Sud sauvage* restera un moment de cinéma innovant, nous transportant vers un environnement différent et brut. Que le récit nous conquis complètement ou nous laisse sur notre faim, le premier long-métrage de Benh Zeitlin restera indéniablement un moment épique et émouvant qui amènera de la belle végétation pour colorer encore plus ces dernières années de cinéma !

    Adapté de la pièce *Juicy and Delicious* de Lucy Alibar (qui est d'ailleurs co-scénariste du film), *Les Bêtes du Sud sauvage* nous entraîne dans une nature luxuriante au cœur de la Louisiane aux côtés de Hushpuppy : une jeune fille vivant avec son père et d'autres marginaux au sein de ce grand bayou ! Leurs vie se résume à la chasse, à l'amélioration du camp et à la féerie de l’atmosphère libre et envoûtante de la nature vaseuse. Mais les catastrophes naturelles et la surveillance perpétuel du lieu par les autorités entraîne la petite communauté à devoir bientôt préparer ses valises.

    Cette épopée sauvage prend sa place dans un monde moderne, qui est le nôtre. Ces tréfonds végétales de la Louisiane filmés à hauteur d'enfant par Benh Zeitlin peuvent êtres alors considérés comme une nature perdues ou une nature intacte ? Au cœur de cette communauté au style de vie épicurien, l'humain est replacé à sa place la plus naturelle : un animal parmi tant d'autres survivant de ces talents de chasseurs. Des bêtes joyeuses et festives comptants sur la pêche et leurs cultures pour survivre et atteindre la plénitude la plus totale. Mais le monde extérieur ne les à quand même pas oubliés : mobile-home vétuste, alcool, boite de conserve ... la vie d'ici est assistée certes, mais elle tire un certain langage primitif et bestiale où joie et bonheur font oublié une certaine misère sociale. La nature revient à sa nécessité primaire et ramène cette communauté marginale à l’essence de la vie humaine. Mais les regards qui se portent en bordure de forêt croisent à coup sûr la route de ceux des industries destructrices, telle une malédiction évidente de notre époque ! Comptant sur la fumée de ses usines pour s’élever encore plus, le monde moderne n'a pas laissé de marbre cet environnement luxuriant et tranquille de Louisiane. Et au-delà des autorités qui terrassent les lieux pour évacuer les résidents, ce sont les catastrophes naturelles qui noient au fur et à mesure ces bêtes du sud sauvage. Réchauffement climatique et asphyxie d'un autre monde sont les clefs d'une dégradation notable d'un espace végétal et tranquille. **C'est une nature intacte dans les pensées et une nature perdue dans le constat. Hushpuppy contemple ces contradictions du haut de sa petite taille au rythme d'une compréhension mouvementée de la vie et d'une cellule familiale folle et radicale.**

    Un père fou, alcoolique, malade et attaché à ses terres se retrouve comme seul modèle pour Hushpuppy. Nous avons alors affaire à une jeune fille indéniablement forte et débrouillarde dont les horizons futurs sont déjà tracés par les yeux fatigués du père : reprendre la tête de la communauté et les sauver d'une conversion moderne presque inévitable. Ce rapport père-fille est à la fois comme contradictoire tant la brutalité de l'homme s'oppose à l’insouciance et la tranquillité de la petite fille. Mais il s’avère aussi complice à l'image de cette détermination commune et de cette bestialité rappelant l'identité principale de cette vie au plus proche de la nature. Un extrait de l'imagination débordante de Hushpoppy : une idéalisation de sa mère partie trop tôt ! Une femme forte, magicienne et aimante dont l'absence marque surement une des pierres manquantes pouvant apporter l'équilibre à cette famille tantôt brisée et tantôt soudée. **Ce quotidien et cette violence des rapports et du constat de la vie se matérialise dans une mise en scène visuelle et sensorielle comme tout droit tirée du cinéma de Terrence Malick. *Les Bêtes du Sud sauvage* travaille de manière intimiste ces rapports jusqu’à connecter les êtres entre eux tel ces écoutes perpétuelles des battements du cœur. Benh Zeitlin revient à la conception naturelle pour sublimer cette fable !**

    En plus de s'être emparé de la Caméra d'or lors du festival de Cannes 2012, *Les Bêtes du Sud sauvage* s'est aussi emparé d'une liberté sauvage longtemps enfouie. Au-delà du concret écologique, le film enflamme sa fable végétale d'un imaginaire construit sur l'étude, à hauteur d'enfant, de la vie et la quête perpétuelle d'une force pouvant enfin libérer la petite Hushpuppy de la tranquillité de l'enfance et faire face à ça véritable force donnée par sa mère !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    Très beau film qui aborde beaucoup de sujets importants. Une belle histoire que je me suis fais le plaisir à partager et à conseiller autour de moi.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 743 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Misérabilisme sur fond de poésie des espaces désolés, Les Bêtes du Sud sauvage ne vaut que pour la porosité avec laquelle son imagerie réussit à mêler réalisme et imaginaire, la caméra jouant ainsi de ce flottement pour composer des plans magnifiques, à l’instar de la visite des enfants dans un bar peu fréquentable en fin de film : un léger flou, un mouvement constant, des couleurs, corps et décors fusionnant ensemble. Le souci, c’est que la beauté ne suffit pas à rattraper l’épanchement lacrymatoire avec lequel est traitée cette histoire certes touchante, mais beaucoup trop chargée pour convaincre : le réalisateur colle toujours au plus près de la réalité qu’il pense restituer dans son exactitude – postulat qui légitime tous les excès – puisque de cette réalité qui grouille devant lui il n’extrait que des paquets compacts dont ne ressort qu’un opportunisme malvenu. Ça grouille, ça piaille, ça crie, on broie le crabe, on s’enlise dans la boue. Une voix off laisse entendre la plus improbable des narrations d’enfant, de cette enfant qui regrette des choses que seul un adulte connaît, qui fait preuve d’une sensibilité en carton-pâte que le film peine à rendre crédible. Du microcosme étouffant au macrocosme glacial des banquises en train de fondre, des errances enfantines au périple d’une tribu de porcs préhistoriques, Les Bêtes du Sud sauvage aimerait brosser un portrait de l’univers à l’échelle d’une cellule familiale en branle, mais ses procédés sont trop grossiers, et sa maîtrise bien trop grande, pour espérer atteindre l’authenticité espérée. Donner ainsi à voir la précarité et les étincelles que produit l’interaction de ses membres rapproche davantage le film d’un chapiteau de cirque que d’un roman de Faulkner.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2019
    C’est un conte, mais c’est aussi une apocalypse. C’est un premier film, mais c’est aussi une réussite. Les Bêtes du Sud Sauvage, c’est une BO magnifique, une histoire sincère, un esthétisme profond, une émotion garantie, mais surtout une révélation : Quvenzhané Wallis. Une gamine de six ans et déjà d’une sagesse époustouflante. Triomphe à Sundance, Caméra d’or à Cannes, grand prix à Deauville, ce long-métrage de Benh Zeitlin est un conte pour adulte.
    pelu
    pelu

    15 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2018
    Loin d être le chef d œuvre comme beaucoup de critique aime le dire les bêtes du sud sauvages reste néanmoins un bon film à voir pour ses messages universelles humanistes et l émotion qui caractérise ce film. Une belle hymne à la vie à la nature au travers de cette enfant et de sa relation avec son père un homme écorché maladroit mais débordant d amour pour sa fille voulant lui inculquer la difficulté de la vie. Ici commence une belle ballade un odyssée fantastique plein d émotion une comédie qui tourne au tragique mais qui devient une leçon de vie.
    Les deux acteurs le père et la fille sont sublimes touchants dans leur relations et ils arrivent à sublimer le monde de misère dans lequel ils vivent. Les points négatifs seront un scénario qui manque de richesse narrative et un côté un petit peu brouillon sur la longueur
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    65 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Le film se passe dans un village a l'abandon près de la nouvelle Orléans. Couronné de nombreux prix, je suis passé à côté. Bien que le film ne dure qu'1h25, j'ai trouve ça long sans doute car le scénario est bien trop mince pour suçiter l'intérêt sur la durée. La jeune actrice est bluffante de argne et la solidarité face a la misère est parfois assez touchante. Mais la photo du film est d'une telle laideur et la mise en scène tellement approximative que le film n'émeut jamais. Reste la musique assez sympa mais bon...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2018
    Film magnifique plein de poésie, parfois difficile, mais juste en ces temps où le monde va à sa perte. Et cette petite Hushpuppy est la beauté même qui peut nous laisser espérer encore en l'Humain. Beaucoup d'émotion avec une violence toujours présente qui contraste parfaitement avec le regard d'ange d'Hushpuppy à la recherche de sa Maman trop injustement disparue. Cela ne peut que nous interroger sur le climat actuel avec le traitement réservé aux migrants qui n'ont rien demandé. D'ailleurs comme dans le Bassin où tous les êtres vivants sont confrontés malgré eux à la montée de l'eau parce que des êtres irresponsables protégés par les autorités se foutent éperdument des conditions d'existence de leurs congénères. À montrer à toutes nos petites têtes blondes et brunes sans aucune réserve. Bravo à toute l'équipe avec des moyens qui semblent pourtant limités où le résultat tient du miracle. Fabuleux. L'Amour partagé entre Hushpuppy et Wink est tellement vrai, comme les conditions d'existence du Bassin. Cet amour nous donne quelque espoir, même si la fin est forcément dictée depuis longtemps. Hushpuppy le sait parfaitement et sait prendre déjà ses responsabilités. Tu es belle Hushpuppy. Tu me fais penser à un autre regard d'ange à Drouk-kar Tsho ("Bel océan de turquoises"). Tu sais parfaitement qu'il ne faut compter que sur toi-même, alors que ta seule demande : avoir droit à une Maman comme toutes les petites filles de ton âge. Une Maman qui te tiendrait dans ses bras. Est-ce trop demander ? Alors le souffle des aurochs réchauffe un peu ton corps et ton coeur. Cette chaleur te donne la force de t'occuper des tiens. Car après la séparation accidentelle de ta Mère, tu sais qu'il te faut affronter la disparition de ton Père. Courage petite Hushpuppy, les aurochs sont avec toi.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    25 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2018
    Film en forme de poésie brutale, mêlant la violence des mots, des actes et des éléments, avec une certaine grâce et beaucoup d’émotion. Caméra à l’épaule, à la hauteur de la petite Hushpuppy, B.Zeitlin filme au plus près le quotidien et l’environnement de la jeune fille avec une intense envie de brute authenticité. On peut reprocher au réalisateur un parti-pris “sauvage“ sans le nuancer, ni le contre-balancer avec l’ennemi industriel. Il a parfois tendance à tirer facilement sur la ficelle émotive en utilisant la fillette. Mais ce film possède une âme, un style et un lyrisme qui intriguent et auxquels on adhère forcément: les décors sont impressionnants, mais celle qui nous hypnotise à chaque scène est sans nul doute cette jeune Q.Wallis, dont la performance d’actrice est stupéfiante de naturel et fait beaucoup à la réussite du film. “Les bêtes du Sud Sauvage“ étonne par la puissance de ses images. Cette fable pessimiste qui aurait pu être plus profonde que poétique, brille par son incroyable protagoniste principale.
    moket
    moket

    432 abonnés 4 198 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2017
    De belles images d'une Amérique oubliée, une jeune interprète étonnante et un beau portrait de personnages singuliers. Sauf que le film ne raconte rien, manque de cohérence et de fluidité, la caméra est parfois maladroite et que dire de ces aurochs qui ressemblent plus à de gros sangliers affublés de cornes... Une curiosité, mais on n'est pas obligé d'être curieux...
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