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    Black Coal
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    3,0
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    175 critiques spectateurs

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    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juin 2014
    J'avoue ne pas avoir succombé à l’éloge critique généralisée envers Black Coal qui est pour moi très décevant. Le film m’a paru désincarné. Les personnages du policier et de la femme, au demeurant prometteurs, restent hermétiques. La force du film reste sa belle mise en scène, visible dans deux grands moments de cinéma : la balade nocturne en patin à glace qui se confond avec la profondeur de la nuit et l’ultime feu d’artifice. J'ai trouvé les raccords assez prétentieux (le bras d'un corps démembré avec un bras d'une femme, de la vapeur...). Le scénario est rendu nébuleux à mon avis volontairement pour se jouer du spectateur. On ne peut que penser à A touch of sin au vu de la sortie de ce dernier film il y a huit mois et de la volonté de montrer les problèmes sociaux dans la Chine contemporaine mais on est loin de l'oeuvre magistrale de Ze zhang Ke. Ce film est seulement beau visuellement, c'est déjà une qualité.
    Jmartine
    Jmartine

    149 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2014
    Ni emballé , ni envoûté par ce film pourtant récompensé d'un Ours d'Or au festival de Berlin. Peut être dans la tradition des films noirs américains, mais des références qui datent un peu. Ambiance totalement glauque, triste, froide, déprimante. Un scénario qui s'étire en longueur et qui manque de vraisemblance...En matière de violence dans la Chine contemporaine A Touch of Sin est d'une autre facture..
    Jorik V
    Jorik V

    1 194 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 juin 2014
    On a souvent porté aux nues les polars sud-coréens, et à raison : véritables chef-d’œuvres de cinéma, les « Memories of Murder », « The Chaser » ou « J’ai rencontré le Diable » sont autant de pépites inoubliables. Depuis quelques années et le développement du cinéma chinois, on fait de même avec les leurs. Bien plus souvent à tort ! Récipiendaire de l’Ours d’Or à Berlin, ce polar est davantage ennuyant et interminable que mémorable, c’est dire la qualité de la sélection de la biennale cette année ! Doté d’un rythme décousu et de nombreux passages à vide, ce « Black Coal » est mortellement chiant. Pourtant l’intrigue en elle-même était prometteuse et le contexte de cette Chine citadine désœuvrée intéressant. D’ailleurs le climat glacial et poisseux du film est l’une des rares réussites de cette bobine. Sinon, durant une heure on s’ennuie, ça patine (dans tous les sens du terme) avant qu’une seconde partie éveille un peu notre intérêt lorsque le mystère s’éclaircit. Mais pour cela, il faut essayer de ne pas s’endormir tant la résolution est ténue et opaque. Qui plus est, et cela est propre à la sensibilité cinématographique asiatique, le jeu des acteurs est outré ce qui passe encore moins bien dans le cadre d’un film ennuyant et décousu. Pour un excellent thriller, revoyez plutôt le film de Denis Villeneuve, « Prisoners » au contexte semblable. Là cela méritait amplement les applaudissements.
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juin 2014
    Il n'est pas nécessaire de tout comprendre pour apprécier... Certes, mais, là, on ne comprend quasiment rien, surtout au début du film, où les personnages s'accumulent sans qu'on sache qui ils sont... Et la scène finale, même magnifique visuellement, apporte encore plus d'opacité au propos.
    islander29
    islander29

    755 abonnés 2 269 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2014
    Le réalisateur lorgne tout à fait ici du côté du cinéma coréen des années 2000, par la profondeur de l'atmosphère et la tentation d'un scénario à tiroirs.....
    C'est donc tout à fait louable et emmène le spectateur dans un film qu'on dirait à mi chemin du chinois (on pense à Jia Zhang Ke) (film social) et du coréen (on pense à Im Jang Soon, parmi d'autres) ???
    Mais ça c'est dans les intentions, car même si le film est intéressant il ne parvient pas à captiver, à éveiller réellement le spectateur à un autre monde que ceux précités.....
    le scénario a des moments de mystère, et je regrette personnellement en tant qu'européen, que le réalisateur est choisi pour acteurs du psychopathe aux patins à glace et pour inspecteur deux personnes si proches physiquement, pour moi la confusion a été réelle et pénalisante pendant les deux heures du films.....
    Scénario confus donc en terme d'histoire et en terme d'acteurs, on soulignera quand même un indéniable souci formel et heureusement pour le film, la photo est gracieuse, et l'espace est soigneusement découpé, certaines scènes restent dans la mémoire spoiler: (la patinoire, la grande roue, le feu d'artifice)
    après qu'on est visionné le film...
    C'est vrai que les descriptions sont brillantes, visuelles et iconoclastes, et que le dénouement du polar est très intéressant, mais on se demande au final pourquoi ^prendre tous ces chemins pour y arriver....A revoir peut être pour mieux comprendre......
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 juillet 2014
    Ciel que c'était long, que c'était lourd, que les transitions, les angles choisis, tout semblait moyen, mais la cerise sur le gâteau c'est la fin spoiler: ( l'espèce de traveling qu'on a, le long du bâtiment vers le toit duquel sont tirés les artifices, et d'un coup ça s'arrête net...) Et je n'ai pas compris l'intérêt de cette séquence, comme de bien d'autres, par exemple les scènes où on voit la patron de tueuse qui paye une prostituée pour essayer des vêtements, ou quand il tente de la forcer à coucher dans l'arrière boutique de la teinturerie...Le vol de la moto...etc
    Tout cela pour dire que je n'ai pas du tout accroché à ce film, peut-être que je n'ai pas saisi la finesse de ces plans séquences, de ces sauts de caméras et de tout le reste. A mes yeux l'intrigue est mauvaise, et c'est mal filmé. Je ne peux vraiment pas me faire à l'idée que ce film soit si bien noté... Et donc ne peux pas recommander ce film, vraiment.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 138 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Tiens ? Un polar hongkongais ? Eh non ! C’est chinois ! Et bah on sent la différence tout de suite ! Je vais être honnête d’entrée : j’ai vraiment un gros problème avec les films chinois. Je ne sais pas si le problème vient des producteurs chinois ou des distributeurs français, mais c’est toujours la même chose et surtout – pire – c’est toujours aussi creux. Certains diront qu’il y a là la crudité typique d’un cinéma social sans concession ; moi j’y vois sûrement la pauvreté d’un cinéma sans réelle imagination. Alors certes, il y a ponctuellement deux ou trois plans, une ou deux scènes qui, l’espace de quelques secondes, témoignent d’un certain savoir-faire. Mais bon, il ne faut pas se leurrer non plus : ces qualités ressortent d’autant mieux et sont parfois surestimées que le reste est banal, répétitif, sans réelle profondeur. Moi, ce cinéma qui n’a pas grand-chose à dire à part « vivre en Chine c’est dur » et qui ne parvient pas à donner du rythme et de l’épaisseur, je ne peux pas le percevoir comme un genre mais davantage comme une lacune. Un bel ennui que ce « Black Coal »...
    Cecile M
    Cecile M

    24 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juin 2014
    Après A touch of sin, j'arrête les frais! marre de ce genre trompeur sur la bande annonce, qui se révele être un supplice au rythme lent et au scénario inexistant. C'est tellement contemplatif que ça en devient caricatural.
    mem94mem
    mem94mem

    94 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juin 2014
    Evidemment la comparaison avec "A touch of sin" est obligatoire. Et là je tombe de haut. Immense déception. Le film est réellement ennuyeux, monocorde, sans relief, long et confus. On est très loin de Jia Zhang-ke. J'ai trouvé le film difficile pour le spectateur. Je ne vais pas épiloguer plus sur ce film noir mou, et donc raté, essentiellement filmé de nuit. Je n'ai pris aucun plaisir à chercher le mystère du film.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2014
    Derrière un synopsis de polar tout ce qu’il y a de plus bateau (celui d’un ancien flic qui enquête sur des meurtres lui rappelant une de ses anciennes affaires), le nouveau long-métrage de Diao Yinan s’inscrit en réalité dans la droite lignée des pamphlets sociaux et contestataires signés par Zhang-ke Jia qui attestent de la situation sordide dans laquelle se retrouve la Chine du vingt-et-unième siècle. Avec sa mise en scène, elle aussi conventionnelle dans l’esprit du cinéma chinois, c’est-à-dire constituée de logs plans-séquences et de lumières tamisés, Black Coal interpelle dans sa vision d’une société désenchantée où l’accomplissement des individus est rendu utopique par une volonté globale de modernisation à l’occidentale qui pousse à un individualisme meurtrier. Le scénario en lui-même est fait de longueurs et de dialogues poussifs mais la reconstitution visuelle de ce contexte social peu reluisant ainsi que les prestations parfois énigmatiques du couple d'acteurs font du film une œuvre intéressante à découvrir.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2014
    Comme dans certains films noirs américains des années 40-50, dont s'est parait-il inspiré le réalisateur, l'intrigue n'est pas toujours parfaitement claire ni très cohérente, mais c'est l'atmosphère, les situations et les personnages qui comptent. Le scénario est somme toute basique, mais la photo est splendide et une ambiance envoûtante se dégage de Black coal. On peut considérer les morceaux de corps humains éparpillés dans le charbon aux quatre coins de la Chine comme une allégorie sur le sort du prolétariat chinois. Dès les premières images, on sent la puissance industrielle de ce pays et la sueur, les souffrances qu'elle représente. La crainte de la censure a empêché le cinéaste de faire exactement ce qu'il voulait comme il le voulait : parler de la société chinoise, de sa violence et de son injustice. On devine donc le contexte social et humain davantage qu'on ne le voit. Après A touch of sin, la Chine vient donc de produire un nouveau film qui nous montre l'envers du grand bond en avant capitaliste.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juin 2014
    "Black Coal" est une merveille de film noir, un chef-d’œuvre qui réactualise les grandes figures de ce genre et les déplace vers la Chine du début du siècle. Ainsi, un flic aux méthodes douteuses est confronté à une femme fatale dans une ville au bord de la désolation, situation peu nouvelle et pourtant tellement jouissive. Diao Yi'nan fait preuve d'une incroyable virtuosité, créant des jeux sur les lumières d'une infinie beauté. C'est simple, j'ai été si souvent terrassé par la magnificence des plans que des larmes d'extase me sont fréquemment montées aux yeux. Il y existe tellement de scènes parfaites qu'elles corrigent le côté parfois abscons du scénario : la patinoire, la grande roue, le club « Feux d'artifices en plein jour » ou encore l'immeuble final sont des lieux sublimés qui vont évidemment me rester en mémoire. Du grand art !
    Ufuk K
    Ufuk K

    463 abonnés 1 395 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 août 2014
    je n'ai pas du tout aimé!!!!

    aucun interet,aucun rythmne!!!

    je ne comprend meme pas l'ours d'or

    à fuir!!!
    Zoé B.
    Zoé B.

    441 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Comment un film d’une durée au final fort courante (1h45) peut-il donner une telle impression de longueur ? C’est la question que je me suis posée en écoutant les spectateurs restés en petits groupes à digérer leur déception. Certains pariaient même sans rire que "Black Coal" faisait 2h30, c’est dire. La beauté plastique du truc n’y change rien, l’enthousiasme de la presse non plus, il y a quelque chose là dedans qui ne marche pas. Moi, cette alternance de lenteurs et d’embardées a fini par m’user. Bien sûr, j’ai vu la maitrise de la mise en scène, j’ai apprécié l’évocation d’une Chine que je ne connaissais pas, j’ai aimé retrouver les codes du film noir réinterprétés d’une façon aussi singulière, mélange déroutant de poésie fruste et de burlesque… Bref, j’aurais aimé aimer, j’étais venue pour ça, mais que "Black Coal" ait décroché l’Ours d’Or au dernier festival de Berlin est un vrai mystère. La concurrence devait être particulièrement faible, non ?
    Eudes B.
    Eudes B.

    20 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juin 2014
    Très lent, Bizarre, très bizarre, Violent
    Mais bon c'est asiatique donc c'est stylé ...
    Les meilleurs films de tous les temps
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