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    Black Coal
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    175 critiques spectateurs

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    Laurent Boutonnat
    Laurent Boutonnat

    1 abonné 87 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2023
    J'ai eu vraiment du mal à aller jusqu'au bout et à suivre l'histoire. C'est mal rythmé, mal écrit. On s'y perd, on n'y comprend pas grand chose. Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire ni à ressentir une quelconque émotion. J'avais simplement envie que ça se termine au plus vite. Seule la musique du générique de fin m'a plu.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    62 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2021
    Black Coal démarre sur de bonnes bases, on croirait presque à un thriller pointu, et puis on bascule très vite et quasi inévitablement dans la caricature du film chinois : un scénario qui s'embourbe violemment, fait de scènes interminables, figées, sans saveur, et aux dialogues minimalistes.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 423 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mars 2021
    Black Coal était d'une lenteur phénoménale. Il était si incroyablement lent qu'il devenait un calvaire à regarder. Je dirai que les événements du film ont été correctement racontés à l'écran mais il a fallu une éternité pour aller au point principal alors c'est un long chemin. C'est ce qui a tué le plaisir de ce film pour moi. En fait j'ai abandonné le film alors qu'il ne restait que 20 minutes. N'aurais-je pas voulu regarder le film et savoir comment le mystère se termine. Bien sûr mais le rythme du film ne me donnais pas envie de revenir en arrière et de le revoir. Le réalisateur et scénariste a fait en sorte qu'une heure et cinquante minutes semble être une semaine entière. J'aime regarder des films dont les acteurs ne me sont pas familiers et qui ne sont pas associés à des rôles ou des personnages déjà interprétés dans d'autres films ou séries. Le fait que tous ces visages ne me soient pas familiers était une bonne chose mais pas assez pour sauver ce film...
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    16 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2021
    Encore un film uniquement conçu pour le public occidental. J'ai cherché en vain sur internet des articles chinois se rapportant au film. Je n'ai rien trouvé. Même en utilisant le titre en mandarin du film qui veut dire "feu d'artifice en plein jour" on ne trouve rien. Par contre il y a une multitude d'articles de journalistes français et quelques uns en Allemagne. De lire "Une œuvre majeure qui va illuminer vos vies" est bien sûr excessif, et cette flagornerie devient comique, mais Black Coal est quand même un film intéressant malgré ses défauts. D'abord Diao Yinan a le sens du cadrage et des couleurs. A priori il a étudié le film noir américain des années 40/50. On pense aux Forbans de la nuit de jules Dassin, pour la description des faubourgs d'une ville, des lieux malfamés et pour le portait réussi d'une population interlope, avec des seconds rôles pittoresques et gouailleurs. On pense aussi à "La soif du mal" d'Orson Welles avec cette ambiance glauque et ces plans angoissants qui sont très bien restitués. Diao Yinan connaît ses classiques, et on ne peut être qu'admiratif du travail de prospection qu'il a fournit. Il examine chaque fait, sonde toutes les âmes. C'est un travail rigoriste et strict d'un réalisateur méticuleux. Lia fan est vraiment excellent dans son rôle. Son interprétation est brillante. Pourtant certaines scènes déçoivent car elles sont trop calculées pour s'attirer les bonnes grâces des critiques. Ainsi la scène du cheval dans le hall d'entrée d'un immeuble, et celle du feu d'artifices en plein jour, vont dans cette logique prévisible. Avec ces scènes, Diao Yinan fait dans la facilité. C'est dommage ou quand le film s'affaiblit car il en fait trop.
    Hulufo
    Hulufo

    6 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2021
    Écrin de jouvence. Vérité solarienne. Un feu d'artifice en plein jour... Néon à perte de vue. Sentiments emprisonnés. "Black coal" impressionne, comme le reflet du soleil sur la glace. "Thin Ice". L'inspiration Godard, et son clin d'œil à "À Bout de Souffle" donne une sublimation, presque surnaturel. Le mystère change la donne, et la lumière l'éclaircie. 
    Et si Diao Yinan était l'élu ? Donnons-nous deux décennies, et nous le saurons.
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 août 2020
    L'histoire était alléchante , mais quelle déception au final le film est très lent, et s'intéresse plus à la relation entre les deux personnages principaux, qu'à l'enquête en elle même. De plus on passe du coq à l'âne sans explications, donc pas toujours évident de suivre les rebondissements, c'est en se renseignant et en trouvant les détails (comme la plaque d'immatriculation) que l'on comprends bien l'histoire, du fait il faut être très concentré pour ne pas perdre le fil. Cependant j'ai beaucoup aimé l'ambiance nébuleuse, et la mise en scène avec ses magnifiques teintes et très bien réalisée. Le final rattrape un peu le tout car j'ai trouvé le dénouement intéressant et bien amené , même si c'est celui-ci termine en queue de poisson.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2020
    Un polar à la fois stylé, sombre et envoûtant, dans le décor d'une Chine provinciale du début des années 2000.
    Santu2b
    Santu2b

    215 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Sorti en 2014, le troisième long-métrage de Diao Yi'nan fut multi-récompensé à travers le monde (ours d'or du film et ours d'argent du comédien à Berlin) et promettait de renouveler le genre. Au final, un ensemble largement surestimé et pas grand-chose à se mettre sous la dent. Oui, c'est une évidence, Diao Yi'nan pose un regard très dur sur son pays. Il est constamment enneigé à tel point que même marcher s'avère dangereux, sa société est fortement encadrée, et ses gens sont des automates tournant en rond dans une patinoire. Le problème est que son film ne va jamais plus loin que ce triste constat. "Black Coal" manque singulièrement d'épaisseur, de profondeur et surtout de dynamisme. On s'ennuie ferme et c'est d'autant plus dommage que les acteurs font le job. Une expérience qui montre cependant combien le cinéma de Hong Kong nous manque !
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2020
    Comment traiter cette oeuvre qui semble si incongrue ? Avec *Black Coal* (Ours d'or à la Berlinale 2014), Diao Yi'nan signe un polar asphyxié par le béton et la violence d'une Chine industrialisée, et nous frigorifie au cœur d'un froid glacial qui ronge les moindres mouvements. Un récit minimal mais labyrinthique, qui entraîne le spectateur vers une contemplation de ce jeu de trahison et de mensonge à travers une vision à la fois obsédée par l'action présente, mais aussi détachée par le froid ambiant qui colonise le film.

    L'histoire dans sa surface parait simpliste : une enquête est ouverte en 1999 après la découverte des morceaux de corps d'un mineur, dispersés dans plusieurs raffineries à charbon. Cinq ans plus tard, de nouveaux meurtres aussi sordides sont commis dans la région. Rapidement, les soupçons sont portés sur la femme du mineur. De ce premier jet scénaristique, Diao Yi'nan installe ce jeu dangereux entre cette femme mystérieuse et cet ancien flic qui fût au première loge de l'enquête de 1999. Violence et mensonge vont devenir les maîtres-mots de *Black Coal* et nous entraînerons au sein de cet environnement étendue, moderne et misérable.

    Tout comme dans *Le Lac aux oies sauvages*, Diao Yi'nan articule son action au cœur d'une Chine pauvre, bétonnée et industrialisée. Mais particularité de *Black Coal*, les personnages et le spectateur sont comme gelés en harmonie avec cet environnement où neige et verglas empêchent les mouvements et la moindre volonté chaleureuse ou poétique. De cet ambiance, *Black Coal* nous indique clairement que le récit sera froid, violent et surement au cœur d'une errance incongrue qui amènera le spectateur à prendre un certain recul sur l'oeuvre. **Nous contemplons une Chine théâtre de sa propre destruction où aucune lueur d'espoir n'est visible. Il n'y a pas de bon, que des mauvais en proie à la perpétuation d'une sombre tradition torturée !**

    Diao Yi'nan est à la fois labyrinthique dans un point de vue globale, efficace dans ses scènes d'actions toutes droit sorties d'une pensée samouraï, et étonnement onirique lorsque ses sombres personnages déambulent dans une chorégraphie gelée où les souvenirs refont calmement surface et où l'avenir se dessine comme dans un rêve. Il faut dire aussi que Yi'nan nous envoûte lorsqu'il peint cette romance impossible entre ces deux êtres à la fois tellement opposés et si proche. Point d'orgue de cette sombre peinture : cette scène de sexe nocturne entre les deux protagonistes au cœur d'une grande roue miteuse, bruyante et gelés par le froid asphyxiant. Diao Yi'nan arrive surement à faire de la poésie dans ce polar tentant pour sa part d’enterrer toutes tentatives un tant soit peu magnifiques. Les êtres s'attirent, se questionnent et se surveillent. Les actions musclés sont comme bloquées dans ce froid qui fait tourner la tête.

    Il réside dans *Black Coal* une contemplation incongrue de cette Chine profonde et magnifique dans sa surface, mais ultra-violente dans son fond. Le film se définie aussi par cette froide peinture d'une romance ne pouvant compter que sur les néons d'une ville misérable pour espérer être réchauffée. **Diao Yi'nan provoque indéniablement la tension et la fascination. On se perd en route quelques-fois, mais la neige ambiante revient toujours nous chercher.**
    FaRem
    FaRem

    7 427 abonnés 8 818 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2020
    L'histoire était alléchante, mais au final, il n'en est rien, c'est dommage de délaisser ce côté thriller pour mettre en avant la relation qui est tout sauf intéressante. C'est un film bizarre qui ne m'a jamais emballé. J'ai eu l'espoir qu'il s'emballe, mais ça n'arrive jamais. Le faux rythme du film est franchement exaspérant à la longue, je me suis ennuyé du début à la fin. Des fois je me demande si certains films ne sont pas surcotés parce que ça vient d'Asie pourtant je le reconnais il y a du très bon et j'aime ce cinéma, mais il faut reconnaître qu'il y a du mauvais et pour moi ce film en fait partie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 janvier 2020
    Encore un film uniquement conçu pour le public occidental. J'ai cherché en vain sur internet des articles chinois se rapportant au film. Je n'ai rien trouvé. Même en utilisant le titre en mandarin du film qui veut dire "feu d'artifice en plein jour" on ne trouve rien. Par contre il y a une multitude d'articles de journalistes français et quelques uns en Allemagne. De lire "Une oeuvre majeure qui va illuminer vos vies" est bien sûr excessif, et cette flagornerie devient comique, mais Black Coal est quand même un film intéressant malgré ses défauts. D'abord Diao Yinan a le sens du cadrage. A priori il a étudié le film noir américain des années 40/50. On pense aux Forbans de la nuit de jules Dassin, pour la description des faubourgs d'une ville, des lieux malfamés et pour le portait réussi d'une population interlope, avec des seconds rôles pittoresques et gouailleurs. On pense aussi à "La soif du mal" d'Orson Welles avec cette ambiance glauque et ces plans angoissants qui sont très bien restitués. Diao Yinan connaît ses classiques, et on ne peut être qu'admiratif du travail de prospection qu'il a fournit. Il examine chaque fait, sonde toutes les âmes. C'est un travail rigoriste et strict d'un réalisateur méticuleux. Lia fan est vraiment excellent dans son rôle. Son interprétation est brillante. Pourtant certaines scènes déçoivent car elles sont trop calculées pour s'attirer les bonnes grâces des critiques. Ainsi la scène du cheval dans le hall d'entrée d'un immeuble, et celle du feu d'artifices en plein jour, vont dans cette logique prévisible. Avec ces scènes, Diao Yinan fait dans la facilité. C'est dommage ou quand le film s'affaiblit car il en fait trop.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2018
    Assez proche de films coréens comme "Memories of murder" ou "The chaser", un polar chinois qui se laisse plutôt bien regarder malgré un rythme particulièrement lent. Avec un côté réaliste voire froid très bien réalisé loin des codes habituels du genre avec notamment des personnages terriblement humains, bien peu héroïques, tantôt presque antipathiques tantôt touchants. Bien mais lent.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2018
    Un très bon drame policier chinois . Du bon suspens, des larmes , de l'émotion, des scènes tristes et dramatiques.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 février 2018
    « Black Coal » est un thriller policier défectueux, disposant d’une histoire intéressante et d’une intrigue familière, mais d’un développement et surtout d’une mise en scène horrible à souhait. Bien que primé à la Berlinale de 2014, ce métrage est purement indigeste et s’avère être sauvé de courroux uniquement en raison de la qualité de la prestation des deux acteurs principaux, pour le reste, c’est à classer directement aux oubliettes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 février 2018
    Une enquête policière en plein cœur de la misère chinoise, des meurtres, de la saleté, de la sensualité, étrange mélange glauque de la mise en scène, il me rappelle « memories of murder », que je préfère de loin, avec de la similitude.
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