Derniers Avis : Ghost In The Shell - Page 10

Brillante adaptation du manga, l'univers cybernétique est féerique, seule la présence de S. Johansson fait tâche.

Pas mal mais pas transcendent non plus faut avouer... Pour profiter du film je pense qu'il faut avant tout être fan du manga, 3/5 pour ma part

Un blockbuster visuellement inventif et spectaculaire avec une Scarlett Johansson épatante, des effets spéciaux magnifiques, une BO vraiment sympathique et un scénario extrêmement prévisible.

Alors que dire sur cette adaptation a part que j'ai piqué su nez pendant tout le film???
Ce qui est certaint c'est que cette realisation ne marquera pas un generation toute entiere! Le rythme est mollasson, l'histoire aurait demandé a etre plus travaillée et cette demarche ridicule de scarlette johanson.....mon dieu seigneur ayez pitié....je ne parle meme pas du jeux d'acteur de juliette binoche, kitaro et scarlette qui sont tout simplement mauvais, autant que les doublages francais.... les musiques inexistantes du moins pas de quoi en faire tout un foin.....
Tres decu

J'avais vu le film d'animation il y a une dixaine d'années et j'ai pris enormement de plaisir à redécouvrir cette belle histoire. Scarlett johanson est vraiment LA personne pour ce rôle. Le films à des moyens block buster américain mais le déroulement de l'histoire et sa "Lenteur" à la japonaise en fait un film fidèle et "rénove" ce titre et brosse les fans dans le bon sens du poil.

J'adhère à la première partie, qui se veut belle et prenante, tout en mêlant action et passion. Mais le film fini par s'essouffler dans le cliché des grosses productions et perd de sa saveur. Un avis mitigé pour un film visuellement parfait, mais au scénario bancale.

Cette adaptation du célèbre manga des années 90, à la vision très avant-gardiste, n'a clairement pas le charme de son aîné. Si le film est réussi visuellement, et si les décors ne sont pas sans rappeler un certain Blade Runner, on s'ennuie ferme pendant une bonne partie du visionnage, la faute à un scénario qui manque de profondeur et à une interprétation en demi-teinte. Ghost in The Shell n'est pas une franche réussite mais n'est pas un ratage complet non plus. Un film SF moyen en tous points de vue...

Je commencerai ma critique en disant que je n'ai pas vu le film original de 1995. Je suis donc l'audience cible de cette adaptation au cinéma. Et ça m'a touché en plein dans le mille. J'ai adoré le film, son unique ambiance visuelle, absolument épatante et ébouriffante, l'histoire et les questions qu'elle soulève. Un petit demi-point en moins pour les performances inégales des acteurs, et Scarlett Johansson qui se force un peu trop, on dirait, à ne pas paraître humaine, avec un résultat un peu bizarre.

je n'ai pas lu le manga ni vu le dessin animé....mais j'ai regarder le film et j'ai pas bien compris le message!!!!! le jeu d’acteur est vraiment horrible( Scarlett a trop jouer le " terminator "....le problème c'est qu'il ne colle pas sur elle !!!!) l'histoire (tel raconté dans le film) est vraiment banal, l’Héroïne n'a aucun effet dans l'histoire (Scarlett est en train de jouer le robot et c'est tout!!!) le 1er méchant ne fait rien sauf rester sous sa capuche, spoiler: et je croyais que le 2em aller faire quelque chose avant d’être flingué par un acteur secondaire
, pourquoi on a mit tant d’hologrammes sur les routes et les immeubles? le mieux était de choisir des voiture futuriste.
on dirait que ce film était réaliser à la va vite, c'est pourquoi on trouve plain de défaut dans le scenario, le casting, et les déco....on résumer c'est nul.

J'ai vu un film... d'une immense intensité, et ce à tous les niveaux. La qualité de graphique du film y est beaucoup au succès de cette oeuvre, ainsi que l'histoire et la performance totale de Scarlett Johansson. Cet univers futuriste est à la fois crédible et atteignable, et les décors sont littéralement somptueux et inventif. Les seconds rôles sont vraiment bien trouvés, notamment Pilou Asbaek, Michael Pitt et Takeshi Kitano. Au-delà de la performance d'acteurs et de l'univers se posent un certains nombres de questions métaphysiques sur la notion de "vie", d' "humanité", de "morale"...
Un très grand moment et un excellent film...

Pour ceux qui ne connaissent pas ou peu l'animation du fameux Mamoru Oshii et le manga d'origine de Masamune Shirow, le film de Rupert Sanders surprend agréablement. Le visuel du film, entre un Blade Runner et un I-Robot, stimule l'imagination comme rarement. L'orientation existentialiste du sujet, même s'il n'est pas nouveau, s'affirme quant à lui fièrement aux côtés d’œuvres majeures de la Science-Fiction. Cette super-production américano-indienne bouscule ainsi quelque peu les codes du blockbuster nord-américain traditionnel, quitte à déstabiliser le spectateur. Et c'est tant mieux.

Ce film en avait pris plein le carafon avant même d'être sorti avec un bashing d'anti white shaming à fond sur les réseaux.
Il est vrai que faire jouer une blonde - de nature - un personnage japonais c'est discutable.
Mais priorité a été donnée à mettre une actrice connue en avant pour faciliter le démarrage en salle en la personne de Scarlett Johansson. Qui visiblement aime l'action depuis Avengers. Et on peut dire que cela ne lui va pas trop mal en fait. Contre toute attente elle se débrouille pas si mal.
Le film est visuellement d'une très grande réussite. Je ne connais pas l'animé de base donc je suis partie d'une page blanche. Certaines scènes ont été tournées à Hong Kong et on retrouve bien la ville malgré sa mise en scène dans le futur.
Le scénario en soi n'est pas grandiose, assez simple on va dire mais ça tient la route. Puis Takeshi Kitano quoi! Rien que pour lui il faut voir ce film. Impérativement.
Dommage et c'est bien triste que l'on n'ait pas forcé encore un peu plus sur la force du personnage de Major, lui donner davantage de force; à quand un rôle de femme d'action du calibre de Ripley bong sang? Et cette combi chair qui la montre quasiment à poil: AU SECOURS.
Loin d'être une déception, ce film tient clairement la route. Un bon divertissement bien ficelé.

Le film a subi des haussements de sourcils dubitatifs quand l’annonce de sa mise en chantier a été effectuée, en effet comment tenir la mesure face au chef-d’œuvre culte que constitue la version animée de Mamoru Oshii sorti en 1995. Faire une version avec des acteurs réels vingt ans plus tard semblait un peu présomptueux, surtout au regard des fans du premier. Personnellement, j’ai vu le film il y des années et pour être franc je serais bien incapable de collecter des souvenirs précis de ce long-métrage d’animation. J’ai donc été voir cette version comme un film unique et inédit. Il est vrai néanmoins que le film semble avoir moins de profondeur que le premier, notamment ses interrogations sur ce qu’est l’esprit de l’homme et sur la place future des machines et leurs rapports avec les hommes dans la société du futur, et ce au profit d’un thriller d’action plus linéaire. Alors, le spectacle est de toute beauté d’abord du fait d’un esthétisme futurisme incroyablement réussi qui offre des visuels urbains très impressionnants. Ensuite, parce que l’intrigue est également prenante et que le film nous happe donc sans mal dans son intrigue. Le casting a fait également couler beaucoup d’encre et notamment le reproche du choix de Scarlett Johansson, actrice blanche dans un film se passant dans un Tokyo du futur, un white-washing qui a alimenté la polémique sur un Hollywood fermé à la diversité. L’intrigue explique et justifie ce choix, bien que finalement cela reste un peu léger. Son talent en revanche n’est pas en cause et son interprétation est sans fausse note. Un thriller de science-fiction de très, très belle facture qu’il faut donc voir, même s’il reste néanmoins important de quand même jeter un coup d’œil sur la version animée plus audacieuse au niveau de l’intrigue.

Ou comment, par la magie douteuse de la grosse production numérique à l'américaine, transformer un film d'animation inventif et complexe en un produit de série A basique, quelque peu bourrin, bien calibré pour les critères visuels actuels, sans aucune imagination. Ce n'est ni bon, ni mauvais : les effets numériques sont bien présents ; les acteurs font ce qu'il faut sans faire déborder le moindre génie ; l'intrigue est un modèle standard avec des méchants et des gentils et une philosophie juste assez simplette pour ne gêner personne… C'est un film que l'on oubliera vite parmi la masse d'autres films semblables.

Entre 95 et 2015, les relances furent aussi nombreuses que discrètes, dans l’espoir d'enrichir l'univers autour du Ghost du Major Motoko Kusanagi. Seul Mamoru Oshii su imposer une suite à son oeuvre originale en 2004, et plutôt que de revisiter son oeuvre avec The New Movie sortie chez nous sur galette assez récemment il est bien plus concevable, voir judicieux, de découvrir le live de Rupert Sanders. Tout comme la dernière tentative animée, le discours n'a plus lieu d’être encombrée de paraboles et de substantifs en place et lieu où l'on ne recherche que l'ode visuelle et ses harmoniques pour seule ramifications, et laissons donc un index en générique de fin pour se référencer à Oshii et rassurer les sceptiques contrariés. Ici nous revivons l'oeuvre sans pour autant la voler ou la dépouiller. Le casting très caucasien, malgré les critiques, est noble dans l'architecture d'un univers futuriste qui aurait subit les migrations nécessaires en son temps tandis que les physiques s'accordent parfaitement à l'idée originale. Le rythme est bon et les effets trop peu discutables. Kenji Kawai réinterprété par Clint Mansell, personnellement j'en redemande bien qu'on l'ait connu plus inspiré contrairement à Rupert Sanders qui lui nous étonne. Des raccourcis et des personnages pas ou peu développer contrairement aux attentes peut aussi nous rappeler que l'originale, parfois trop lourd, n'aura jamais su laissé place à un rejeton aussi intéressant que celui-ci.