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    Gloria Bell
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    91 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 527 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Avoir le physique de Julianne Moore et être encore célibataire à la cinquantaine passée est une probabilité qui a de quoi mettre un sérieux coup au moral de toutes les âmes esseulées de la planète mais c'est pourtant bel et bien le cas de Gloria Bell, héroïne de ce remake américain de "Gloria" toujours réalisé par Sebastían Lelio (n'ayant pas vu ce dernier, je m'abstiendrai donc de toute comparaison dans cet avis).
    Divorcée depuis de nombreuses années et mère de deux enfants n'ayant ostensiblement plus besoin de sa présence dans leurs vies respectives, Gloria est une femme de plus en plus victime de sa solitude qu'elle tente désespérément de combler par des rencontres éclairs lors de ses sorties dans des discothèques pour personnes d'âge mûr. Un soir, son regard croise par hasard celui d'Arnold (le toujours excellent John Turturro), un homme divorcé depuis un an mais qui peine à couper les ponts avec son ancienne vie de famille. Quelques étincelles amoureuses plus tard, tous deux entament une relation qui va peu à peu pousser Gloria dans ses derniers retranchements...

    Impossible de commencer à parler de "Gloria Bell" sans évoquer son plus bel atout : Julianne Moore pour qui on ne sait plus utiliser quel qualitatif élogieux tant la prestation de l'actrice, omniprésente à l'écran, irradie le film en permanence. On le sait, son talent n'est bien évidemment plus à prouver depuis longtemps mais "Gloria Bell" est sans doute une de ces œuvres dans sa riche filmographie mettant le plus en avant cette sorte de magnétisme émotionnelle qui émane d'elle et qui est à même de briser la carapace du spectateur le plus endurci. Que Julianne Moore/Gloria Bell rit, pleure ou exalte tout le spectre de nuances émotionnelles entre ces deux extrémités, elle vous contamine instantanément et vous vous surprenez à voir vos propres sentiments échapper à votre contrôle pour épouser ceux transmis par l'actrice (peu de ses consoeurs peuvent se targuer d'un tel pouvoir d'attraction émotionnel, preuve si besoin en était que l'on a affaire à une très grande en son domaine). Ce morceau de vie essentiel traversé par Gloria Bell et conté par le film permet donc à Julianne Moore de briller à chaque instant, à tel point qu'il en devient impossible de ne pas être touché par le parcours du personnage magnifié par la puissance du jeu de son interprète.
    Seulement et cela va être le coeur du problème, la présence de Julianne Moore est d'une telle force que l'on vient à se demander si le film, lui, est vraiment à sa hauteur...

    "Gloria Bell" est un joli long-métrage, dur de le contester, mais il paraît toujours courir après la performance de son immense actrice pour être à son niveau.
    La question ne se pose pas quand il se fixe sur la relation entre Gloria et Arnold, c'est là que le film fait le plus preuve de finesse, comme si les interactions entre ces deux personnages suffisaient à elles seules à le porter à un palier d'excellence (en ce sens, leur dernière confrontation dans les ultimes instants est sera bien sûr le point culminant auquel il sera impossible de ne pas succomber). De même lorsqu'il suffit seulement de scruter le visage de Julianne Moore pour comprendre cette héroïne, comme on l'a dit, la comédienne transcende tout sur son passage.
    Là où la donne est beaucoup plus compliquée, c'est quand "Gloria Bell" cherche à nous transmettre les non-dits émotionnels de ses personnages par l'intermédiaire d'éléments externes. En la matière, le film se transforme alors en une espèce de catalogue d'artifices faciles pour les nuls : entre un voisin bruyamment dépressif, un chat sphynx envahissant, un problème médical, des signes rappelant sans cesse la fin de vie ou une playlist record de chansons tristes, Sebastían Lelio se montre aussi subtil qu'un phacochère invité à un dîner mondain pour traduire les sentiments cachés de son héroïne. On en vient même parfois à rester vraiment interloqué tant ce déluge d'astuces grossières prend des proportions ahurissantes, un peu comme si aucune comédie dramatique indé de ce genre n'avait existé depuis au moins vingt ans. C'est bien simple, à peu près tout ce que Gloria croise, voit ou entend est balancé à la tête du spectateur comme un potentiel indice/symbole/subterfuge se voulant malin sur son état actuel... sauf qu'à chaque fois, ben, tout ça n'a absolument rien de malin ! Avec la légèreté d'une cerise bigarreau sur un gâteau bavarois, l'utilisation obligatoire d'une certaine chanson en bout de course viendra résumer cette impression d'usage perpétuel de grosses ficelles (attention, la dernière scène est magnifique dans ce qu'elle veut nous transmettre mais c'est encore une fois plus le fruit de Julianne Moore que de Sebastían Lelio -on imagine sans mal le bougre tout fier d'avoir trouvé l'idée de passer ce morceau...).

    En définitive, on sort de "Gloria Bell" pétri de contradictions : oui, le film nous a indéniablement touché et ce bien plus d'une fois, cela veut dire qu'on l'a forcément apprécié quelque part mais l'a-t-on adoré pour autant ? La réponse ne peut rester qu'en suspens vu ce yo-yo agaçant dans son traitement capable du meilleur comme du pire dans la justesse du regard porté par son auteur. Une chose est sûre, Dame Moore y est tellement grandiose qu'elle vaut à elle seule le déplacement. Une révérence pour elle.
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2019
    Gloria Bell (Julianne Moore) a la cinquantaine bien entamée. Divorcée depuis douze ans, elle vit seule dans une copropriété bruyante. Ses enfants sont grands : son fils (Michael Cera) vient d’avoir un bébé, sa fille (Caren Pistorius) prof de yoga en croque pour un surfeur suédois.
    Dans le dancing pour célibataires qu’elle fréquente régulièrement, Gloria rencontre Arnold (John Turturro), un homme divorcé et aimant. Avec lui s’ébauche une belle histoire.

    Il y a cinq ans, le réalisateur chilien Sebastian Leilo avait tourné "Gloria". Le film avait valu à son actrice principale Paulina Garcia l’Ours d’argent de la meilleure actrice. Julianne Moore le visionna et proposa à son réalisateur d’en produire le remake, le temps pour lui de boucler les deux qu’il avait en chantier, "Une femme fantastique" (Oscar 2018 du meilleur film étranger) et "Désobéissance".

    On peut légitimement s’interroger sur l’utilité des remakes. Pourquoi assaisonner à la sauce hollywoodienne une œuvre chilienne ou moldave déjà parfaitement réussie ? N’est ce pas encourager le public américain dans son nombrilisme et son manque de curiosité ? En quoi le remake ajoutera-t-il au film qu’il recopie ? La liste des films français populaires ayant fait l’objet de remakes américains est aussi longue que calamiteuse : "Le Dîner de cons", "Taxi", "Nikita", "Le Grand Chemin", "Trois hommes et un couffin", "Les Visiteurs", "La Cage aux folles"…

    Dans cette mesure, le remake de "Gloria" ne m’était pas spontanément sympathique. Mais c’était oublier le talent de Julianne Moore. La star hollywoodienne, bientôt sexagénaire, est d’une justesse absolue dans un rôle qui ne verse ni dans l’auto-glorification ni dans le misérabilisme. Gloria Bell est une femme de cinquante ans qui ne veut pas renoncer au bonheur. C’est une employée modèle dans la société d’assurances qui l’emploie, aussi dévouée à ses clients qu’à ses collègues. C’est une mère parfaite toujours prête à servir de baby sitter pour son petit-fils ou à prodiguer des conseils à sa fille. C’est une femme aimante à qui pèse la solitude et qui aimerait désespérément vivre une dernière histoire d’amour.

    Outre l’énergie contagieuse de son actrice, "Gloria Bell" a deux autres atouts. Le premier est son scénario qui loin de nous entraîner sur une voie toute tracée nous surprend par son épilogue poignant. Le second est sa B.O. qui réjouira tous les nostalgiques des années disco : Bonnie Tyler, Olivia Newton-John, Paul McCartney et bien sûr la chanson titre de Laura Branigan.
    oldsport
    oldsport

    12 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 octobre 2019
    Si vous aimez Julianne Moore vous allez adorer ! Elle est de tous les plans ou presque.Par contre l'ennui guette très

    rapidement , la faute à un script hyper répétitif & faiblard : les personnages autour de Gloria n'existent pas ou presque .

    Ce film est un vehicle comme disent les ricains soit un film à la "gloire de " , d'ailleurs celui-ci est produit par JM.

    Les chansons surlignent à très gros traits les états d’âme (éric) de notre quinqua célib ce qui rend l'entreprise pénible &

    lourdinguissime! Un beau ratage malgré cette lumière californienne omniprésente qui cache sans cesse des

    personnages lisses & une amérique aseptisée bien triste...
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2019
    Je précise d'abord que c'est un remake d'un film chilien sorti il y a cinq ans, en 2014, que j'avais été voir et que j'avais beaucoup apprécié.
    Ce remake américain est tout aussi excellent.
    J'ai aimé l'histoire racontée, l'ambiance, la sensibilité qui se dégage, l'atmosphère que l'on ressent, la musique, la délicatesse fortement mise en valeur.
    Je recommande à tout un chacun cette belle histoire dramatique très émouvante.
    Raphaël L
    Raphaël L

    13 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juillet 2019
    Ce film qu'on acclame et que l'on conseille n'a absolument rien d'un chef d'oeuvre. On entre et ressort du film inchangé. Enfin si on est quand même dégouté par le temps qu'on a perdu.
    Le film n'a aucune saveur si ce n'est la fadeur de cet Amérique triste. À aucun moment le film décolle et prend une tournure accrocheuse. Les dialogues sont réellement creux.
    Le seul point à sauver serait le jeu d'acteur des deux personnages principaux malgré leurs rôles plutôt insipides. Bref je ne vous conseille pas Gloria Bell comme vous l'avez sûrement déjà compris...
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    66 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2019
    Pas moyen de faire original sur cette critique ! Moore est formidable dans le rôle d'une femme qui a appris à être seule et à apprécier et gérer sa solitude, Turturro est formidable dans le rôle du minable harceleur, tous les acteurs font leur boulot. N'ayant pas vu l'original, je ne saurais comparer. Mais bon sang, on leur a jamais dit aux réalisateurs, que pour faire un film, il faut une histoire, une histoire et une histoire ? Il se passe plus de trucs dans un épisode des feux de l'amour
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mai 2019
    J'y suis allé après avoir été seduit par le thème et la bande annonce, cependant le film ne m'a pas vraiment intéressé et tenu en haleine.
    Certains passages sont bien menés mais l'ensemble m'a paru long et superficiel.
    Spéciale dédicace à Julianne Moore qui simule en faisant des bruits de canard... Ça m'a beaucoup fait rire.
    miouze
    miouze

    45 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2023
    Mais quel désastre ! Moi qui me faisais une joie de voir ce film ...
    Une cinquantenaire écartelée entre l'envie de rencontrer quelqu'un de valable et l'envie de ne pas faire de concessions plus que de raison. C'est-à-dire pas à n'importe quel prix. Notamment pas avec un mec sordidement emprisonné dans sa loyauté envers son ex-femme (via ses filles) .
    C'est long et long et aussi un peu long. Les personnages sont pénibles, on a envie de les secouer pour ne pas nous-même déprimer pendant la séance !
    Une petite dose de peps grâce à la musique, et un moment jouissif, je n'y croyais plus, quand Gloria se défoule au paint-ball sur Arnold et sa baraque !
    Steph N.
    Steph N.

    38 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2019
    Un excellent film porté par de non moins excellents acteurs .La mise en scène est minimaliste. Et la musique.... Ca nous rappelle que c'était autre chose qu'aujourd'hui.... :-)
    Serge V
    Serge V

    82 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2019
    on suit la vie d' une femme d ' une cinquantaine d ' années , divorcée , mère de deux enfants qui vivent leur vie personnelle .elle s ' interroge plus ou moins sur son avenir et s ' étourdit dans des soirées dansantes . la rencontre avec un homme lui-même divorcé va amener l ' espoir d ' une vie plus complète . ce scénario pouvait être intéressant , malheureusement le film s ' englue dans les rapports des deux héros qui tour à tour s ' éloignent puis se retrouvent , chacun à leur tour ! le film est trop lent , les états d ' âme des héros finissent par lasser ! heureusement , pour tromper l ' ennui , la bande-son est formidable , avec des tubes innombrables ( gloria en finale , bien sûr ! ) , des tubes trop vite coupés alors que le film lui-même s ' éternise .
    fornasetti
    fornasetti

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2019
    Le cinéaste chilien, Sebastien Lelio avec le remake du film qui l’a fait connaître en 2013, GLORIA, réalise-là un film américain pas du tout abouti, très très ennuyeux, avec des scènes à hurler de rire de par le grotesque des situations. Ne vous laisser pas influencer par la publicité. Malgré la présence des merveilleux : John Turturro, Michael Cerra et Julianne Moore, essayez de voir plutôt l'original.
    .
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2019
    Le chilien Sebastien Lelio qui a reçu l’Oscar du meilleur film étranger pour le beau « Une femme fantastique » réalise lui-même le remake du film qui l’a fait connaître, « Gloria ». Une pratique rare mais pas inédite (« Sang-froid » récemment ou « Funny Games » de Mickael Haneke). Pour se faire, il s’adjoint les services de l’une des meilleures actrices de sa génération en la personne de Julianne Moore. Et la réussite de ce film lui doit beaucoup, pour ainsi dire presque tout. De tous les plans, elle irradie l’écran comme jamais et prouve encore une fois qu’elle sait tout jouer, du rôle le plus complexe (une femme atteinte d’Alzeihmer dans « Still Alice » qui lui a valu l’Oscar) à celui plus ludique d’un blockbuster (la méchante Poppy dans « Kingsman, le cercle d’or ») sans que sa très riche et discrète carrière ne souffre de faux-pas. Ou si peu. Ici en femme ordinaire et célibataire battante qui tente de donner un sens à sa vie, elle est tout bonnement stupéfiante de sincérité et de justesse dans la moindre de ses expressions. La classe faite actrice et le charme insolent en étendard.

    Le film en lui-même pourrait paraître anodin et sans grand intérêt tant il ne raconte rien d’extraordinaire. Mais c’est dans cette banalité de la vie d’une quinquagénaire que se trouve son charme. Lelio filme la vie comme elle est : faite de joies et de déceptions, de moments de grâce et de désillusions mais sur une tonalité solaire et positive qui donne la pêche. La lumière couchante de la Cité des Anges et des tubes très eighties servent d’écrin à cette chronique juste, simple et touchante qui finit par nous emporter. Au début, le film se traîne un peu et l’accumulation de petites scènes de la vie de tous les jours pourra sembler fastidieuse à certains mais on finit par rentrer dans la vie de Gloria et à s’amuser de certains de ses déboires tout comme à s’émouvoir de ses déconvenues.

    Le réalisme du long-métrage qui ne verse dans aucun cliché propre à Hollywood, que ce soit sur son versant romantique comme sur son versant dramatique, est louable. C’est une leçon de vie, une ode au positivisme et au bonheur, qui peut être parsemé d’embûches et dont la finalité dépend du sens qu’on lui donne. Il y a des petites longueurs et peut-être beaucoup de seconds rôles dont beaucoup ne semblent pas assez creusés mais l’énergie déployée par son actrice principale permettent de passer outre. Et la dernière demi-heure, entre le voyage à Las Vegas et un exutoire pour le personnage principal, clôturent « Gloria Bell » de la plus belle des manières. La petite vengeance de Julianne Moore sous le « Total Eclipse of the heart » de Bonnie Tyler (la meilleure scène du film) et les derniers plans sublimes où elle danse et jouit du moment, finissent de nous convaincre et de nous faire aimer cette Gloria sauce californienne.

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    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2019
    C'est un très beau film avec un histoire très juste et sensible.
    L'actrice est formidable.
    J'ai beaucoup aimé.
    spoiler: A la personne qui a émis une critique disant qu'il n'y a pas d'histoire, je réponds que dans tout film il y a une histoire. En outre, si cette personne n'a pas vu "d'histoire" dans ce film, c'est qu'elle ne comprend rien au cinéma.
    amour13
    amour13

    26 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2019
    Ce film nous montre la difficulté de rencontrer une personne sérieuse lorsque nous sommes célibataire. Bonne interprétation bon sujet mais mais dommage que le film n'est pas 100 % prenant. Avoir tout de même.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2023
    c’est un remake comme on disait autrefois, de Gloria, du même réalisateur.

    Ce qui change: ça se passe à Los Angeles, Las Vegas et Julianne Moore et John Turturro
    remplacent Paulina Garcia et Sergio Hernandez à Santiago (Chili)
    Un bel exercice de style où Gloria, écorchée vive se cache derrière une distance..
    Toujours prête à croire au Prince charmant et à "s'éclater" en boîte de nuit.
    Amour d'un soir ou pour toute une vie, là est la question ?

    J’ai trouvé l’interprétation de Julianne Moore, frémissante et John Turturro,
    (excellent!), malgré sa mâle assurance, se laisse dévorer par les siens…..
    et c’est là le problème….
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