Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
A sa sortie d'une peine de dix ans de prison, le cambrioleur Duke Anderson retrouve sa maîtresse dans un hôtel de luxe. Reformant un gang avec l'aide d'un homme d'affaires baignant dans la mafia, il organise la mise à sac de l'immeuble et de ses richissimes occupants. Malheureusement, Duke est suivi par plusieurs équipes de surveillance qui en veulent aux personnages qu'il engage pour ce braquage de grande envergure...
Un mauvais film de Sidney Lumet, ça ne court pas les rues… Eh bien, en voici un ! Cette histoire de hold-up raté (thème cher à l’auteur comme en témoignent le très bon 7 h 58 ce samedi-là et le chef d’œuvre de Lumet, Un après-midi de chien) part pourtant bien mais se perd assez vite (disons en gros au bout d’une demi-heure) dans un scénario gratuitement sophistiqué qui fleure parfaitement les années soixante (même si on est ...
Lire plus
🎬 RENGER 📼
4 275 abonnés
6 924 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 31 janvier 2011
Le Gang Anderson (1971) est une œuvre pour le moins déroutante, qui dénonce l’effet « Big Brother » dans les rues de la Grosse Pomme Un gang de braqueurs décide de s’attaquer à un hôtel de luxe en vidant les appartements les uns après les autres. Si la première partie du film peine à convaincre, à cause de la mise en scène et du manque de rythme, la seconde (et dernière) partie satisfait dans son ensemble lorsque le braquage se ...
Lire plus
cinéfyl
31 abonnés
1 134 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 22 juillet 2016
Bof j'ai pas ete emballé par cette histoire de cambriolage qui se termine mal et ce malgré le charisme du grand Sean Connery tres credible en cerveau de l'operation.La realisation est correcte mais c'est surement le temps qui a fait le plus de mal a cette oeuvre policiere qui nous presente les 1ers systemes de protections et de video surveillances dont nous sommes des habitués aujourd'hui ,l'autre defaut principal vient a mes yeux du manque de ...
Lire plus
Max Rss
142 abonnés
1 687 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 21 mars 2019
«Le Gang Anderson» est un mauvais film de Sydney Lumet, oui même lui a fait des coquilles. C’est assez rare d’ailleurs. Lumet aborde un thème qui lui est décidément très cher: les cambriolages ou les braquages ratés. Voila qui rappelle «Un après-midi de chien». Ici, il s’agit d’un cambriolage raté, celui d’un luxueux hôtel. Un cambriolage pourtant très bien préparé par un cerveau nommé Sean Connery. Ce dernier est ...
Lire plus
Au cours de sa carrière, Sidney Lumet réalisa trois films dans lesquels il est question de braquage ou de cambriolage : Le Gang Anderson (1971), où Sean Connery organise la mise à sac d'un hôtel de luxe ; Un après-midi de chien (1975), où le braquage d'une banque par deux malfrats amateurs (Al Pacino et John Cazale) connaît des retentissements médiatiques ; et Family business (1989), où l'art du cambriolage se transmet de père en fils.
Une collaboration fructueuse
Le Gang Anderson est la deuxième collaboration entre le réalisateur Sidney Lumet et l'acteur Sean Connery. Les deux hommes ont travaillé pour la première fois en 1965 pour La Colline des hommes perdus. Après Le Gang Anderson, ils se sont retrouvés avec The Offence, Le Crime de l'Orient-Express et Family business.
Un débutant du nom de Christopher Walken
Le Gang Anderson marque les débuts sur grand écran du comédien américain Christopher Walken, qui joue ici un second rôle. Walken deviendra célèbre avec des films comme Voyage au bout de l'enfer, Dead Zone, The King of New York ou encore Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête.
Oui c’est vrai mais Jamais plus Jamais est un James Bond non-officiel,il ne fait pas parti de la saga 007.
8mmetdemi
Juste pour voir Christopher Walken à 25 ans ... !
Pomacantha
Je croyais que la dernière apparition de Sean Connery en 007 était dans Jamais plus jamais
Henri Mesquida
reprise de la critique parfaite de Malevolant reviews : Tourné peu de temps avant Les diamants sont éternels, dernière apparition de Sean Connery en agent 007, Le gang Anderson est un film de casse typique des années 70, agrémenté d'une vision avant-gardiste sur la surveillance excessive des autorités avec ses micros omniprésents, ses caméras invisibles et ses nombreuses opérations clandestines. Le film, réalisé par Sidney Lumet, qui retrouve donc Connery six ans après La Colline des hommes perdus, met en scène un voleur professionnel qui, à peine après être sorti de prison, organise le cambriolage en règle du riche immeuble où gît sa petite amie. Concoctant une fine équipe comprend un expert en objets de luxe homosexuel (Martin Balsam, irrésistible), un chauffeur expérimenté (Dick Williams), un as de l'électricité (Christopher Walken, alors âgé de 27 ans, dans son premier grand rôle) et trois autres complices tous conscients des risques qu'ils encourent. L'intrigue suit donc son cours agréablement et avec quelques pointes d'humour bienvenues malgré une enquête policière parallèle difficile à suivre et la musique funky de Quincy Jones, totalement inappropriée au long-métrage et en particulier dans les moments de tension. De plus, certains flashbacks aussi maladroits qu'inopportuns ainsi que certains bruitages électroniques agaçants plombent le film de quelques défauts désagréables. On appréciera notamment un Sean Connery aussi charmeur que sérieux en cerveau de l'opération pouvant devenir froid comme de la glace en un claquement de doigt. On n'appréciera pas en revanche certaines séquences tirées par les cheveux (surtout celle concernant le gamin paraplégique) et une fin en queue de poisson très peu réussie, chose au final commune dans ce genre de films... Ainsi, si Le gang Anderson n'est pas le meilleur film de Sidney Lumet (qui n'arrive concrètement pas à dénoncer les pratiques douteuses de la vidéosurveillance outre-mesure des services gouvernementaux) ni celui de Sean Connery, il n'en demeure pas moins un très bon film de casse, bien meilleur que certains "classiques" avec ce qu'il faut d'humour, de répliques cinglantes et de classe incommensurable pour passer un bon moment.