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Synopsis
À la fin du XIXe siècle, le dandy et écrivain de génie Oscar Wilde, intelligent et scandaleux brille au sein de la société londonienne. Son homosexualité est toutefois trop affichée pour son époque et il est envoyé en prison. Ruiné et malade lorsqu’il en sort, il part s’exiler à Paris. Dans sa chambre d'hôtel miteuse, au soir de sa vie, les souvenirs l'envahissent… Est-ce bien lui celui qui, un jour, a été l'homme le plus célèbre de Londres ? L'artiste conspué par une société qui autrefois l'adulait ? L'amant qui, confronté à la mort, repense à sa tentative avortée de renouer avec sa femme Constance, à son histoire d'amour tourmentée avec Lord Alfred Douglas et à Robbie Ross, ami dévoué et généreux, qui a tenté en vain de le protéger contre ses pires excès ? De Dieppe à Naples, en passant par Paris, Oscar n'est plus qu'un vagabond désargenté, passant son temps à fuir. Il est néanmoins vénéré par une bande étrange de marginaux et de gamins des rues qu’il fascine avec ses récits poétiques. Car son esprit est toujours aussi vif et acéré. Il conservera d’ailleurs son charme et son humour jusqu’à la fin : « Soit c’est le papier peint qui disparaît, soit c’est moi… »
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Je ne dirais qu'une chose : Rupert Everett mérite le bafa ( oscar anglais ) pour sa prestation qui on voit lui touchait beaucoup a cœur de jouer la fin de vie de Oscar Wilde. Félicitation Monsieur Everett.
Ufuk K
425 abonnés
1 330 critiques
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3,5
Publiée le 23 décembre 2018
" the happy prince " biopic consacré au dernières années du célèbre écrivain Oscar Wilde est un beau plaidoyer contre l'homophobie. En effet malgré un scénario peu soigné et classique, le film doit beaucoup à Rupert Everett dans le rôle principal le réalisateur dresse le portrait d'un homme seul, rejette et avec un talent immense.
cineccita
33 abonnés
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4,0
Publiée le 25 décembre 2018
Une valse de poésie et de bons mots, Ruppert Everett mériterait un oscar pour son interprétation. Une vraie perle.
L'Info Tout Court
367 abonnés
1 025 critiques
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3,5
Publiée le 19 décembre 2018
On est marqué par l’amour fou avec lequel Everett filme son personnage. On sent une véritable passion pour cet être à la fois grotesque, tragique et magique. Loin des biopics académiques comme on en voit trop souvent, le cinéaste met en avant un bel art de la poésie qui rend hommage au grand conteur qu’était Oscar Wilde. C’est une véritable plongée dans la psyché de l’écrivain
The Happy Prince marque les débuts dans la réalisation du comédien Rupert Everett. Il s'agit d'un projet porté par l'acteur depuis une dizaine d'années. Il a même refusé certains rôles afin de rester totalement disponible pour mener à bien son projet de coeur.
Colin et Rupert
Colin Firth et Rupert Everett ont déjà joué ensemble dans L'importance d'être constant tiré d'Oscar Wilde (2002) ainsi que dans Histoire d'une trahison (1984), Pensionnat pour jeunes filles rebelles (2007), St Trinian's. 2 (2009) et Shakespeare in Love (1998) dans lesquels Rupert Everett a joué un rôle non crédité sous le nom de Christopher Marlowe.
L'Italie en Allemagne
Les intérieurs de la maison d'Oscar Wilde en Italie ont été tournés au château de Thurnau en Bavière, en Allemagne.
Un projet ambitieux que d'évoquer la mémoire d'O. Wilde. Et, R. Everett s'attache à raconter la lente déchéance de l'auteur. Un brin brouillon et arrogant un film toutefois plutôt bien réalisé.
joachim_thibout
film prétentieux qui ne raconte rien si ce n'est un énième pamphlet pour l'homosexualité.Je passe.
L'Info Tout Court
On est marqué par l’amour fou avec lequel Everett filme son personnage. On sent une véritable passion pour cet être à la fois grotesque, tragique et magique. Loin des biopics académiques comme on en voit trop souvent, le cinéaste met en avant un bel art de la poésie qui rend hommage au grand conteur qu’était Oscar Wilde. C’est une véritable plongée dans la psyché de l’écrivainNotre avis complet : https://bit.ly/2UW6SzZ
Henri M
Condamné en 1895 à deux ans de travaux forcés suite à la révélation de son homosexualité, Oscar Wilde connut l’opprobre et la déchéance. A sa libération, l’écrivain s’exila en France.Les livres sont bien ou mal écrits, écrivait Oscar Wilde . The Happy Prince est, malheureusement, un film mal écrit et mal réalisé. Pour sa première réalisation et son retour devant la caméra, Rupert Everett n’a guère trouvé une inspiration à l’aune de son sujet.Il signe un film ampoulé, complaisant dans la misère, sans trouver à l’image l’équivalent de la lettre noire de De Profundis. A quoi bon faire le récit des dernières années d’un artiste comme Oscar Wilde si c’est pour livrer si peu d’émotion ou de poésie ?Quant à l’acteur, caricature du vieil homosexuel adipeux (loin de l’élégance morbide de Dirk Bogarde dans Mort à Venise, modèle du genre), il alterne rictus et déclamations théâtrales. Un Happy Prince qui fait triste figure.