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Synopsis
Quatre jeunes filles vivent leur enfance séquestrées dans la ferme familiale par leur père, qui craint pour leur virginité. A la mort de celui-ci, les voilà avec un vide à combler et des crédits à rembourser. Mais comment vont-elles faire pour affronter un monde extérieur dangereux et rempli de pièges?
7, rue de la folie est le premier long-métrage de Jawad Rhalib, un réalisateur de courts-métrages et de films documentaires belges. Toutefois, celui-ci fut tourné en un mois, dans l’attente du tournage de L’insoumise (fiction sur une jeune informaticienne débarquée en pleine exploitation agricole).
Un cinéaste fidèle à ses obsessions
Pour sa première excursion cinématographique, Jawad Rhalib est resté fidèle à ses préoccupations de cinéaste (comme l’exclusion sociale ou la souffrance des minorités) mais s’est penché plus précisément sur la question du communautarisme, dans son ensemble.
Créer la polémique... à l'anglaise
La référence du cinéaste durant la production fut les comédies à l’anglaise, saupoudrée volontairement d’un style à la fois trash et direct. Conscient du potentiel polémique de son histoire, il explique ne pas avoir voulu polir sa vision pour plaire au public, espérant même créer un débat.