Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
The Last Family est le portrait singulier d’une famille d’artistes : Zdzisław Beksiński, peintre surréaliste polonais, sa femme Zofia et leur fils impulsif et suicidaire Tomasz, célèbre animateur radio. Appuyée sur les archives et vidéos enregistrées par Beksiński, cette chronique intime d’une famille hors-norme témoigne des changements de la société polonaise dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
1 700 abonnés
Lire ses 3 908 critiques
3,0
Publiée le 16 janvier 2018
De 1977 à 2005, la vie du peintre surréaliste polonais Beksinski et de sa famille, c'est à dire de leur installation à Varsovie, à la mort du dernier de ses membres. Film claustrophobe, La dernière famille ne quitte que rarement l'appartement de l'artiste sauf pour évoquer son fils, qui vit non loin. Ni oeuvre sur la création artistique, ni chronique des changements historiques en Pologne (aucune mention n'est faite des événements qui ...
Lire plus
Spe64
Suivre son activité
23 abonnés
Lire ses 191 critiques
3,5
Publiée le 16 juin 2017
The last family est un film sur la vie du peintre surréaliste polonais Zdzislaw Beksinski de 1977 à sa mort en 2005.
Vivant à Varsovie, la plupart de l'action se passe chez lui, à huis clos, ou il vit avec sa femme, sa mère et sa belle mère.
On y suit un homme intelligent, très doué, calme et observateur, mais dont les œuvres semblent très torturés à l'image de son fils.. Tomasz.
On oscillera sans arrêt entre ses 2 personnages entre ...
Lire plus
In Ciné Veritas
Suivre son activité
39 abonnés
Lire ses 807 critiques
4,0
Publiée le 19 janvier 2018
The last family, sans être un film biographique, trace le portrait d’une famille dysfonctionnelle et interroge sur le rôle des images d’un quotidien déréglé. Jan P. Matuszynski dénude de tout sentimentalisme son premier long-métrage de fiction et le dote d’une indéniable originalité et ambition tant sur le fond que sur la forme. La réussite du film tient aussi à la direction d’acteurs et à une gestion subtile des ruptures de ...
Lire plus
dejihem
Suivre son activité
75 abonnés
Lire ses 585 critiques
4,5
Publiée le 30 janvier 2018
Attention film expérimental et exceptionnel ! Ni fiction, ni documentaire, ce film se situe à la frontière. Tout d’abord, il faut noter le tempo malgré des plans séquences qui est rapide et vif, il ne permet aucune torpeur aux spectateurs. Le réalisateur réussi à rendre passionnante l’histoire de cette famille Beksinki, où chaque personnage aura un écho personnel auprès des spectateurs.
Beaucoup de traumas sont exprimés dans ce ...
Lire plus
The Last Family s'intéresse à Zdzisław Beksiński, un peintre, photographe, dessinateur et sculpteur polonais illustre, de tendance surréaliste et fantastique. Son travail n'est pas sans rappeler les affiches de cinéma polonaises où les artistes n'hésitaient pas à exercer une liberté d'expérimentation radicale, au-delà de toutes contraintes commerciales et artistiques. Durant 28 ans, il n'a cessé de filmer sa famille au caméscope. Il est
Lire plus
Le rejet du biopic classique
Si The Last Family s'intéresse au peintre Zdzisław Beksiński, il n'est pour autant pas question pour le réalisateur de signer un simple biopic de l'artiste. Jan P. Matuszyński, qui connaissait le travail de Beksiński sans en être fan, a fait le choix de s'intéresser à toute la famille de Beksiński et à leur quotidien après avoir lu le scénario de Robert Bolesto : "j’y ai trouvé ce que je recherchais. Il y avait telle
Lire plus
Entre fiction et documentaire
Le réalisateur Jan P. Matuszyński s'est basé sur les nombreuses archives filmées par Zdzisław Beksiński, ce qui a naturellement imposé au film une esthétique documentaire permettant de rendre flou la limite entre fiction et documentaire. Un processus que connaît bien Matuszyński puisque son précédent film, le documentaire Deep Love, était tourné comme une fiction : "Personnellement, je ne vois pas de grandes différences entre le do
Lire plus