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Synopsis
"Carré 35 est un lieu qui n’a jamais été nommé dans ma famille ; c’est là qu’est enterrée ma sœur aînée, morte à l’âge de trois ans. Cette sœur dont on ne m’a rien dit ou presque, et dont mes parents n’avaient curieusement gardé aucune photographie. C’est pour combler cette absence d’image que j’ai entrepris ce film. Croyant simplement dérouler le fil d’une vie oubliée, j’ai ouvert une porte dérobée sur un vécu que j’ignorais, sur cette mémoire inconsciente qui est en chacun de nous et qui fait ce que nous sommes."
La sélection officielle du 70e Festival de Cannes vient notamment d'être complétée par les nouveaux Roman Polanski et Barbet…
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C'est avec beaucoup de pudeur que le comédien Eric Caravaca nous introduit dans sa famille et nous fait part d'un drame qu'il a ignoré pendant très longtemps : la mort, à l'âge de 3 ans, d'une sœur aînée qu'il n'a jamais connue puisque ce décès a eu lieu en 1963, 3 ans avant sa propre naissance et que ses parents n'en parlaient jamais. Lorsqu'il a appris l'existence de Christine ainsi que son décès, Eric Caravaca n'a eu de cesse de ...
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poet75
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4,5
Publiée le 2 novembre 2017
C’est en se trouvant devant le carré des enfants d’un cimetière de Suisse qu’Éric Caravaca (connu surtout jusqu’ici comme acteur), ressentant un trouble profond, a éprouvé la nécessité de sonder un lourd secret de famille. Ce film transcrit la substance de l’enquête qu’il a menée sur les traces de Christine, une fillette morte en 1963 à l’âge de 3 ans et reposant dans un cimetière de Casablanca. L’enfant est sa sœur, ...
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Loïck G.
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4,0
Publiée le 1 novembre 2017
C’est son histoire intime, très personnelle que le réalisateur-comédien Eric Caravaca nous propose de découvrir en le suivant sur les traces d’une grande sœur ignorée, morte à trois ans à Casablanca et dont sa mère ne lui a jamais réellement parlé. Le jour où il décide d’aller à sa rencontre, le réalisateur puise au plus profond de sa famille. Il interview l’un de ses oncles qui a bien connu sa sœur, mais surtout de sa ...
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WutheringHeights
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4,5
Publiée le 29 octobre 2017
L’acteur et réalisateur Éric Caravaca nous plonge dans les secrets de sa famille pour dévoiler un documentaire intime sous forme de polar psychanalytique, entre non-dits, mensonges et véritable enquête à la recherche d’un passé effacé. Carré 35 est aussi un grand film de cinéma.
Eric Caravaca évoque ses motivations concernant la mise en scène du documentaire Carré 35 : "Tout commence sur le tournage d’un film. Le décor ce jour-là est un cimetière en Suisse. Marchant dans les allées, je me retrouve dans ce qu’on appelle le « carré enfant ». Devant ces petites tombes parsemées pour certaines de jouets noircis par le temps, émaillées de quelques mots gravés sur la pierre qui parfois ne comporte qu’une seule date, une triste
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Enquête policière
Eric Caravaca évoque le travail de recherches effectué sur Carré 35 : "Au cours de mes recherches, un élément s’est vite imposé : j’étais lancé dans une véritable investigation policière, faite de collectes d’indices, de confrontations de chiffres et de dates. Devant le silence des hommes, on est bien contraints de faire parler l’inanimé. La matière visuelle de Carré 35 emprunte donc à différents supports : films de famille en Super 8, photograph
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Un film assez mécanique dans son procédé d'alternance entre images du présent et images d'archives mais extrêmement poignant dans sa mise à nu.
olive oil
Très beau film, l'histoire personnelle est très touchante, l'image est magnifique!
angelabassompierre
fais le tien et tu le mets sur internet, sinon, pas besoin et après, il a raison, plein aiment.
angelabassompierre
des bobines et des hommes, vas y, ça parle de vrais ouvriers, des prolos qui aillaient au boulot et ont eu un de ces patrons!!! un documentaire et le film en inspiration fut la fille du patron, certains ont retrouvé un CDI, d'autres n'ont rien retrouvé comme boulot, d'autres autoentreprise etc......là, ça parle de l'enfant fantôme et d'un parcours, ça n'est pas un tort, seulement les gens qui s'ennuient critiquent, eux ne font rien et parfois ne vont pas les voir.pourquoi télérama??? c'est pour les bourges? les prolos? les artistes de tous bords?
Cyphre14
Merci pour cette pertinente contribution.
Elodie B.
Puissante logique.
arnaud1972
magnifique!!!
angelabassompierre
le thème m'intéresse, j'irai le voir.C'est toute une enquête..... beau, vous pouvez voir la BA.
Cyphre14
L'art est majoritairement fait par les bourgeois, donc logiquement les autobiographies racontent des vies bourgeoises...
muguette_choubignol
Non mais ça c'est juste parce que j'ai mal cliqué. Je répondais bien sûr à Jordiland. Mea culpa
Mario B.
Ce sont toujours des bourges qui racontent leur vie insipide au cinéma. Ils n'ont rien à dire mais ils ont du fric et le réseau pour nous l'imposer.
Maitre Kurosawa
Pourquoi me dis-tu qu'il faut le voir avant de le juger ? Ce n'est pas à moi qu'il faut dire cela.Sinon, ton commentaire me donne envie de voir le film.
muguette_choubignol
J'ai vu le film en avant-première et je peux vous assurer que le réalisateur a réussi le tour de force de livrer un récit certes personnel mais qui touche à l'universalité. C'est très pudique, pas du tout une page de journal intime (loin de là), passionnant quand il y mêle les images de l'Histoire, on est dedans du début à la fin sans JAMAIS tomber dans le voyeurisme. Ce film n'est pas une auto-thérapie, il n'est même pas un portrait de l'enfant perdue ou de la mère dans le déni. Juste un beau documentaire sur l'acceptation de la différence et de la mort. Il faut le voir avant de le juger.
Maitre Kurosawa
Grosse argumentation de ta part – ou plutôt, commentaire en bois.
jordiland
oui, pour moi c'est de la prétention démesurée. enfin ... ça l'amuse, y a au moins sa famille qui l'a vu.je n'ai pas envie d'expliquer mais c'est complètement différent de Sandrine Bonnaire quand elle fait un document sur sa soeur.
Maitre Kurosawa
On a donc pas le droit de raconter son histoire au cinéma ? Alors on devrait également censurer certaines peintures, certaines photographies, censurer les autobiographies et donc tous les films de Nanni Moretti et autres cinéastes parlant à la 1ère personne.Si certains artistes font de l'art en parlant en leur nom, c'est dans l'espoir que cet art soit un miroir pour le spectateur qui le regarde. Tu pourrais évidemment toujours faire ton petit documentaire perso (quel mépris !) mais quelque chose manquerait par rapport aux films autobiographiques ou, du moins, extrêmement personnels : la mise en scène (ce qui distingue le cinéma de ton petit documentaire perso).
BoZo93
Peut être qu'il pense que son histoire est la même que celle des autres justement... Que pour ça, la partager a du sens... Que ça pourrait aider à réfléchir... REFLECHIR !! Non rien je déconne...
jordiland
comment les gens peuvent penser que leur histoire personnelle va intéresser quelqu'un ? ... tout le monde a vécu ce genre de chose, mais lui se croit au dessus,quelle misère ! imaginez si tout le monde faisait son petit documentaire perso ! ...bien sûr, ça plait à Télérama.