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Synopsis
Charlie, bientôt 24 ans, mène une vie sans excès : elle se rêve artiste et peine à joindre les deux bouts. Quand son frère vient la retrouver après douze ans d’absence, tout se bouscule. Vincent a 30 ans et sort tout juste de prison où il a purgé une longue peine. Il a tout à apprendre dans un monde qu’il ne connait plus. Charlie est prête à l’aider. C’est son frère après tout, son frère dont la colère peut devenir incontrôlable et tout détruire malgré lui.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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67 abonnés
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1,0
Publiée le 5 novembre 2019
On s'ennuie ferme. Tout est irrémédiablement terne dans ce film. Terne et plat. Les comédiens ne parviennent pas à empêcher le bateau de couler à pic.
Malo M.
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1 abonné
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1,5
Publiée le 12 mars 2019
Si une certaine curiosité pouvait émaner de Nathan Ambrosioni, jeune homme de 18 ans réalisant son premier film avec à sa tête des acteurs à la popularité maintenant affirmée (Guillaume Gouix, Noémie Merlant, Alysson Paradis, Jérome Kircher...), celle-ci s'éteint très rapidement. Avec un synopsis qui relève du déjà vu : Vincent sort de prison et trouve refuge chez sa sœur, Charlie jeune artiste et caissière de 24 ans à la vie ...
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traversay1
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1 700 abonnés
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3,0
Publiée le 6 août 2019
Evidemment, en tournant son premier film à 18 ans et des poussières, Nathan Ambrosioni ne pouvait que susciter l'étonnement, l'admiration et aussi une comparaison oiseuse avec Xavier Dolan, tant l'univers développé dans drapeaux de papier ne rappelle que de très loin les premiers essais du prodige québecois. Oublions donc l'âge du réalisateur mais pas qu'il s'agit d'un premier long-métrage, largement perfectible mais mis en scène avec ...
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poet75
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235 abonnés
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4,0
Publiée le 13 février 2019
Les difficultés de réinsertion quand on sort de prison, Nathan Ambrosioni, le réalisateur des « Drapeaux de papier », les a remarquablement intégrées dans la construction du récit qu’il a imaginé et mis en scène. Lorsque Vincent (Guillaume Gouix) retrouve la liberté, il a derrière lui 12 années d’incarcération. Il a tout à redécouvrir, tout à réapprendre et, pour ce faire, il compte sur le soutien de sa sœur Charlie ...
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Avec Les Drapeaux de papier, Nathan Ambrosioni réalise son troisième long-métrage à seulement 19 ans ! Auteur également de plusieurs courts, il a commencé à tourner dès l'âge de 15 ans. Bien que ses parents ne soient pas du tout dans le milieu du cinéma, ils l'ont encouragé dans sa passion. Son père l'a ainsi aidé à monter une association afin d'encadrer ses tournages : "C’était toujours du cinéma amateur, sans but lucratif, mais au moi
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De l'horreur au drame
Passionné de films d'horreur lors de son adolescence, Nathan Ambrosioni en a réalisé deux (Hostile et Therapy) à 15 et 17 ans. C'est Mommy de Xavier Dolan qui lui donne envie de se diriger vers un autre cinéma : "Le film m’a beaucoup plu, m’a fait comprendre qu’on pouvait faire ressentir au spectateur autre chose que la peur – le ressort classique du cinéma d’horreur. J’adore le cinéma qui provoque quelque chose de sensoriel. J’ado
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L'inspiration
Désireux d'écrire sur la notion de liberté, Nathan Ambrosioni a eu l'idée des Drapeaux de papier en lisant un article dans Libération consacré à un ancien prisonnier qui se retrouvait totalement livré à lui-même à sa sortie, une fois sa peine purgée : "Il parlait de la liberté comme quelque chose de tangible, de matériel, quelque chose de proche et d’inatteignable, qui l’attirait et l’effrayait en même temps. Ses mots m’ont inspiré pour la s
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Pas trop accroché au ton donné..........2 étoiles.....!!!!!
CHuOK
Très bon film. Justesse des acteurs. Rapports pleins de retenues, de silences parlants.
elriad
Un jeune réalisateur de 19 ans qui livre un petit film aussi à vif promet le meilleur. Car les drapeaux de papier est un uppercut total, parfois maladroit mais toujours sincère. Et la fratrie du film jouées par Guillaume Gouix et Noémie Merlant est d'une justesse troublante. Il faut dire que Guillaume Gouix s'empare d'un rôle taillé pour lui car les bad boy ont jalonné sa carrière. Des hauts murs à hors les murs où je l'avais découvert et immédiatement adoré, les garçons torturés sont clairement son registre. En revanche, Noémie Merlant que je découvre ici est saisissante dans un jeu intérieur qui lui promet une belle carrière. La difficile reconstruction au sortir de prison, la communication à l'autre, famille comme amis, tout ici préfigure la carrière d'un jeune réalisateur qui n'a pas choisi la facilité. A voir.
kevsly
Un drame d'auteur assez puissant, qui soulève des questions extrêmement sensibles, voire presque tabous (du genre 'que doit-on penser d'un ancien taulard à moitié cinglé, qui cherche à se réinsérer dans la société?')... Nathan Ambrosioni a plutôt fait du bon travail, notamment pour travailler parfois les moments de silence, et offrir une prestation plutôt honorable à ses 2 personnages principaux. A voir!
Soizic 83
Vu vendredi 25 en avant-première. Très beau film à voir absolument. Bravo au jeune réalisateur qui a sans aucun doute une grande carrière devant lui.