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Synopsis
En Islande, alors que tout le monde se prépare pour les fêtes de Noël, une ambiance particulière s’empare du pays. Entre exaltation et inquiétude, Echo dresse un portrait mordant et tendre de notre société moderne.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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823 abonnés
Lire ses 2 615 critiques
2,5
Publiée le 3 janvier 2020
"Echo" n'est pas un film comme les autres. Mais est-ce seulement un film ?
On y voit cinquante-six courtes saynètes tournées en plan fixe. Certaines durent quelques secondes à peine ; d'autres dépassent la minute. Une séance d'aquagym dans une piscine à ciel ouvert. Une employée de musée qui se dispute au téléphone avec le père de son enfant. Une femme et son bébé qui regarde la neige tomber par la fenêtre. Des éboueurs qui ...
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lionelb30
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207 abonnés
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1,5
Publiée le 5 janvier 2020
Attention , ce n'est pas un film. Pas de scenario , pas d'histoire , simplement une suite de scènes sans aucun rapport entre elles. Plus proche du documentaire car des bout de vie islandais qui ne touchera que ces habitants. Excluant pour les autres.
traversay1
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1 700 abonnés
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4,0
Publiée le 5 janvier 2020
Au cas où quelqu'un songerait à envoyer à une population extraterrestre des images symboliques de notre vie sociale actuelle de terriens, Echo de Runar Runarsson ferait parfaitement l'affaire. Le film du talentueux cinéaste islandais, déjà auteur de Volcano et de Sparrows, est un objet conceptuel qui déconcerte de prime abord avant d'envoûter progressivement (pas tous ses spectateurs, c'est évident). Runarsson a tourné pas moins de 56 ...
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Adelme d'Otrante
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64 abonnés
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1,5
Publiée le 10 janvier 2020
Le premier plan est une voiture dans un lavomatic, le dernier un océan arctique déchaîné, entre les deux 54 images fixes de quelques secondes à 2 minutes censées illustrer des tranches de vie islandaises pendant la dernière semaine de l'année. On est donc plus près d'une installation artistique que d'un film à proprement parler mais le gros problème est que les images semblent ne rien signifier et ne présentent pas de qualités ...
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Avec Echo, le réalisateur Rúnar Rúnarsson voulait rompre avec la narration classique de ses précédents films : "ils contenaient tous le bon nombre de rebondissements aux bons moments, mais ils n’étaient en rien le reflet de ma personnalité". Il était conscient que ce ne serait pas un projet facile à vendre : "certains m’ont averti qu’en termes de carrière, il n’était pas forcément judicieux de réaliser un film comme celui-ci".
À mi-chemin entre le documentaire et la fiction
Le réalisateur décrit Echo comme un film "où la réalité serait retranscrite et mise en scène". À ses yeux, il n'est pas important de savoir quelles sont les scènes qui relèvent du documentaire et quelles autres relèvent de la fiction. "Les histoires qu’on montre offrent la sensation qu’elles sont bien réelles. Que ce soit mis en scène, voulu ou pris sur le vif, peu importe. Ce qui compte, c’est ce sens du réel qu’on cherche à rendre", précise-t-i
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La période de Noël
Le film se déroule à Noël car cette période amplifie nos émotions selon Rúnar Rúnarsson. Que l'on apprécie cette période ou non, que l'on soit croyant ou non, "c’est une date où la société impose aux gens de donner le meilleur d’eux-mêmes. Ce qui signifie également que la face sombre de l’humanité peut ressurgir".