Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis et détails
Mary est mariée à Stephen Haines, un homme d'affaires new-yorkais. Fidèle à son époux et mère d'une fillette, elle est entourée d'"amies", dont Sylvia Fowler, la comtesse DeLave, et Miriam Aarons, qui savent quelque chose qu'elle ignore : son mari la trompe avec Crystal Allen, une vendeuse arriviste.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
1858 abonnés
Lire ses 4 639 critiques
4,0
Publiée le 28 décembre 2010
Norma Shearer, la douce, Joan Crawford, la garce, Rosalind Russell, la pipelette, Paulette Goddard, la lucide, Joan Fontaine, la trop gentille et Mary Boland, la fofolle, sont les actrices principales de ce film au casting 100% féminin. Derrière la caméra, le plus grand directeur d'actrices de tous les temps, George Cukor et ça fait des étincelles. Dans les mains du cinéaste, elles donnent tous une interprétation formidable et ...
Lire plus
tomPSGcinema
Suivre son activité
398 abonnés
Lire ses 3 323 critiques
4,0
Publiée le 17 octobre 2011
Il est bien difficile de ne pas être enthousiaste quand on visionne cette comédie plein de charme que nous a concoctés George Cukor. Evidemment, son casting féminin fait des étincelles, la réalisation ne manque pas de générosité, mais en plus la photographie en noir et blanc est vraiment superbe. Bon, je dois avouer quand même que l'une de mes scènes préférée est celle du fameux défilé de mode qui est filmé dans un sublime ...
Lire plus
jfharo
Suivre son activité
31 abonnés
Lire ses 1 232 critiques
4,0
Publiée le 22 juin 2009
Un délice ,rien à voir avec le lamentable remake .
bsalvert
Suivre son activité
138 abonnés
Lire ses 3 127 critiques
1,0
Publiée le 24 mars 2013
Un film sans réelle histoire avec des interactions entre les personnages qui fatiguent.
PLV : à réserver aux amateurs de vieux films.
Dommage qu'il y ait cette ambiance de basse-cour. Très caquetant non stop, cela gâche les bons mots. Heureusement s'intercalent plusieurs situations hilarantes (quand ces dames se mettent une monumentale raclée..). Nul mâle à l'horizon, qu'on se le dise, pas même l'ombre d'un figurant. Cela peut peser. Ces dames sont à bout, soit lessivées, soit enragées, la plus touchée irrécupérable pour cause d'âge et embonpoint. Outre de subtiles et assez avant-gardistes joutes verbales entre nouvelle et ancienne élues, le "cas" le plus approfondi, et le rôle le mieux tenu entre tous, reste l'épouse cocufiée avec son mari hors champ au bout du fil et la mission d'expliquer la garde alternée à sa fille, (la peine juvénile à l'annonce du divorce est très convaincante, elle jure merveilleusement avec la répartie de l'enfant face à sa marâtre dans la baignoire)... C'est la cellule familiale de 1939 que brosse George Cukor, l'éloge grinçant du couple soudé par traditions et engagement religieux, "à régulière patiente, merle blanc de retour". La radieuse épouse en marche bras grand ouverts vers la caméra peut encore rassurer... Elle peut aussi faire hausser les épaules ou déclencher le rire.