Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
David Lightman est plus intéressé par son ordinateur que par ses études, ce qui ne l'inquiète pas puisqu'il se sait capable de modifier lui-même ses notes en agissant sur l'ordinateur de l'école. Un jour, en cherchant à percer le code d'accès d'un nouveau jeu vidéo, il se branche accidentellement sur l'ordinateur du département de la Défense qui prend au sérieux ce qui n'était au départ qu'un jeu...
J'ai vu ce film à 10 ans et j'avais craqué, découvert ma passion pour l'informatique et découvert Matthew Broderick. 20 ans plus tard je craque toujours autant et adore toujours cet acteur. Bien sûr, le film a vieillit et les machines font pitié, mais c'est l'époque qui veut ça! En tous cas, j'ai enfin compris en le revoyant à quoi servait la manipulation du téléphone relié au PC! C'est tout simplement Internet!!! Ah ben en 1983 en ...
Lire plus
chrischambers86
10 244 abonnés
11 816 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 20 mai 2012
Film culte des annèes 80, "Wargames" fut l'oeuvre choisie pour la sèance de clôture du festival de Cannes 1983! Le scènario èchoua dans les tiroirs de plusieurs commanditaires successifs avant d'obtenir l'aval de de la firme MGM, qui en confia la rèalisation à Martin Brest! Ce dernier entra en dèsaccord avec la production après trois semaines de tournage, dèmissionna et partit rèaliser le non moins cèlèbre "Beverly Hills Cop". John ...
Lire plus
lhomme-grenouille
2 949 abonnés
3 170 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 3 janvier 2014
Pour une fois, je reconnais que placer ce film dans son contexte est indispensable pour vraiment le comprendre. En pleine guerre froide, aux débuts de l’informatique domestique, « Wargames » se pose en visionnaire. Mais bon, je ne vais pas retourner ma veste pour ce seul film : au-delà de ça, j’estime que le suspense et le dénouement n’ont pas perdu de leur efficacité, même trente ans plus tard. Encore très accessible et très ...
Lire plus
Malevolent Reviews
833 abonnés
3 207 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 4 mai 2013
À l'heure où l'informatique s'agrandit de plus en plus, phagocytant nos vies et devenant aussi complexe qu'étendu à travers le monde, désormais indispensable mais également source de nombreux problèmes, WarGames fait figure de référence culturelle. Film émancipateur de la génération à laquelle nous sommes, nous, aujourd'hui liés, le long-métrage n'a que de très peu vieilli et reste encore bigrement surprenant, voire plus encore à ...
Lire plus
Avant d’être engagé pour Le Flic de Beverly Hills, Martin Brest avait été renvoyé du tournage de WarGames sur lequel il avait énormément travaillé. Il en repartit avec quelques idées sous le bras, notamment pour la construction du commissariat de Beverly Hills. Celui-ci fut la réplique en miniature d’un décor immense conçu pour WarGames, décor comprenant une zone de transit et un bureau surplombant un centre de contrôles.
Tiré d'une (improbable) histoire vraie
En 1979 aux États-Unis, à la suite d'un accident survenu dans une programmation d'ordinateur, les techniciens de la Défense ont cru l'espace de six minutes que des missiles soviétiques se dirigeaient vers le pays.
Entraînement maison
Pour les besoins d'une scène, Matthew Broderick s'est entraîné pendant deux mois sur les jeux Galaxian et Galaga grâce à des bornes d'arcade livrées directement chez lui par le studio.
Étonnant, le plaisir de revoir ce film, la guerre froide menaçait. Cependant l'ambiance de ce film prête à une certaine nostalgie...
Henri Mesquida
Qu’est-ce que ça peut bien donner la version tean-movie 80’s de SF trente ans après les faits ?La belle surprise, c’est que ça se tient plutôt bien, le mélange est assez digeste, avec un Mathew Broderick toujours aussi à l’aise en adolescent représentatif gentiment beuzenot mais à qui il ne faut pas chercher les morpions dans la tête, quelques scènes inutiles ou à rallonges qu’on oublie vite mais surtout un vrai chouette suspense qui se tient agréablement jusqu’au bout…Nous ne sommes plus à l’époque des missiles de Cuba mais la guerre froide est encore bien présente nous rappelle gentiment le portrait de Reagan fiché je ne sais où, et ça marche une fois de plus, avec toute une tension de salle de commandement, des petits bidules qui clignotent, des militaires bougons et demeurés, des scientifiques hystériques et demeurés, que du bonheur…Nous sommes juste après Tron, c’est la préhistoire du héros hacker qui passe son temps sur les bornes d’arcade, c’est mignon comme tout, je ne comprends déjà rien et ça explique probablement que j’ai abandonné l’idée dès ce moment-là mais on reste dans la bidouille électronique, ce qui est quand même le niveau du dessus, avec un petit côté tactile qui entraîne l’adhésion plus facilement que des lignes de codes…Je ne sais pas du coup comment un gosse d’aujourd’hui peut percevoir une vision informatique aussi éloigné de ce qui fait son quotidien, mais l’essentiel est ailleurs, le grand avantage des films des 80’s sur les décennies qui vont suivre, c’est qu’on a encore le droit parfois à des réalisateurs qui savent filmer normalement, à des monteurs sobres, à des scénaristes qui font des pauses entre chaque intraveineuse et c’est très reposant…Ici, John Badham remplace Martin Brest pour notre plus grand bonheur et même si le réalisateur de la Fièvre du samedi soir s’est un peu noyé dans la comédie policière dans la décennie prodigieuse qui s’ouvre, c’est toujours avec un minimum de métier bienvenu qui permet de profiter pleinement du machin en court.Efficace, plus malin qu’il n’y parait, touchant parfois, le film arrive plutôt bien à faire oublier ses grosses maladresses dans le charme des téléphones dévissés et des tiroirs forcés, histoire de ne pas gâcher les enjeux plus sérieux qui se cachent derrière, et franchement, ça a tellement l’air de n’être plus possible aujourd’hui que ça incite à la générosité…
ennis delmar
oui, mais en bref je trouve ce film très original contrairement aux m........de maintenant sans aucune trouvaille tres pauvres..........je le revois ce soir apres PLUS JAMAIS..........je m'en regale d'avance
dino Velvet.
film trés original contrairement a cette epoque qui se contente avec un poil dans la main de reprendre de vieux films...AUCUNE innovation
zvock083
Le film a pas si mal vieilli je trouve bien sur les bécanes comme ils le disent si bien dans le film ne sont plus d'actualité depuis bien longtemps mais pour le reste c'est pas mal. L'histoire est bien même si ça manque de rebondissements par contre j'adhère au thème sur le piratage et l'informatique ça fait plaisir de voir ce qui se faisait à l'époque. 2,5/5
Siegel Jane
non. c'est non, c'est tout.
Vie Russe Six
1983, une époque lointaine où internet n'était une réalité tangible que pour une poignet de scientifiques et quelques militaires.
Mirko Rizzari
C'est peut-être parce que j'ai du le regarder une bonne dizaine de fois quand j'étais gamin mais les voix françaises ne me choquent pas, j'y suis habitué... d'ailleurs, en le regardant 20 ans plus tard, je me souviens tjrs des répliques et de leur voix... :)
Ensuite, évidemment qu'il a vieilli... mais mal vieilli ? Je ne crois pas... Tron a bcp + mal vieilli...
C'est peut-être la nostalgie de mon tout premier ordinateur, de mon premier lecteur de disquettes 5"1/4... des premiers programmes que j'ai développé en QBASIC sous MS-DOS 5.0 où je m'imaginais en train de pirater mes notes à l'école en me connectant à l'aide de mon tout premier modem (un 14,4k ... xD) ... quoi qu'il en soit, je suis en train de le revoir en ce moment même et je passe un bon moment... :)
villejuifswan
le film a mal vieilli...les ordinateur du film pesaient chacun 50 tonnes...eh oui epoque des dinosaures....mais l'idée de depart est tres bonne...
Auditore
Très bon film de science-fiction qui possède toutefois quelques ratés dont celui d'avoir des voix françaises des personnages qui sont atrocement horribles (il est donc peut-être préférable de le voir en VOSTFR) ! Pour le reste, ce film que l'on pourrait désormais catégoriser de "old school" reste très sympa dans son genre. Nous suivons ainsi les mésaventures de deux jeunes ados qui n'avaient d'autres ambitions que de s'amuser dans un monde plus adulte. Ce film se croise davantage avec l'histoire du Docteur Folamour mais avec une trame plus "accessible" pour les 12-16 ans.