Pitre depuis son plus jeune âge, Henri Guybet se forme à la comédie en jouant dans des cabarets et en devenant à la fin des années 60 l'un des membres fondateurs du Café de la Gare. Parallèlement à cette expérience théâtrale, il fait ses premiers pas au cinéma en apparaissant au générique de L'Amour c'est gai, l'amour c'est triste (1968), Les Mariés de l'an II (1971) ou encore La Cavale (id.) de Michel Mitrani. Georges Lautner est le premier cinéaste à lui confier des rôles de plus grande importance. Inspecteur dans Il était une fois un flic (1972), il s'illustrera sous sa direction dans les comédies Quelques messieurs trop tranquilles (1973), Pas de problème ! (1975), Ils sont fous ces sorciers (1978), Le Guignolo (1980), Est-ce bien raisonnable ? (1981) ou encore Le Cow-boy (1984).Mais au début des années 70, le grand public se rappelle surtout de lui pour sa ...
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Commentaires
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Martin K.
Un carriere eblouissante
BiggerThanLife
Une carrière incroyable !!!
Tango19
Salomon, ou Arsène Cahuzac, ou Tassin, ou encore Bertrand Barabi, enfin bref monsieur Henri Guybet, n'est peut-être pas ce qu'on nomme un monstre sacré, mais ça ne fait rien. C'est un comédien que j'apprécie au plus haut point ; et ce depuis que je l'ai découvert dans les Aventures de Rabbi Jacob, chef-d'œuvre de Gérard Oury, sous la kippa de ce cher Salomon, juif têtu mais fort sympathique et attachant. Je l'ai retrouvé quelque temps après en soldat gaffeur et débonnaire en compagnie de Jean Lefebvre (Pithivier) et de Pierre Mondy (le sergent-chef Chaudard), excellents tous les deux. Aaah, Tassin et ses deux compères : certainement les trois soldats les plus bêtes et les plus attachants de la Seconde Guerre Mondiale.Trogne sympa, rire inimitable, voix suave et sacré talent de comédien : tout y est ! Sans parler d'un autre talent, celui de doubleur, un rôle qui est tout sauf évident.Chapeau bas, monsieur Guybet. Je suis contente de voir qu'il nous reste de grands comédiens comme vous. Vous faites partie de ceux que l'on appelait la "crème des seventies" !