Avis Kaboul Kitchen

Une des meilleures productions de la télévision Française.
Tout y est, un bon scénario truffé d'humour. De très bons acteurs qui jouent des personnages aussi dingues les uns que les autres.
Et Stéphane de Groot a très bien repris la relève de Gilbert Melki.
Une de mes séries préférées.

Un Véritable Délice. Marc Victor, Allan Mauduit et Jean-Patrick Benes nous livre une Comédie Corrosif et Pertinente inspiré de faits réels. Pour Commencer la Réalisation est Sobre et magnifié par une photographie de qualité qui sublime la ville de Kaboul et qui est servi par une BO dynamique qui apporte du tonus a la série. Ensuite les Intrigues sont Rocambolesque et Captivantes en suivant une galerie de Personnages Pittoresques et Irrésistible dans des mésaventures incroyables tout en traitant de sujets brulants qui font toujours partie de l'actualité a travers un Rythme Effréné qui ne essouffle jamais pendant les 12 épisodes des ces Trois Saisons de haut niveau et qui parvient a alterner le coté Sérieux et Décaler avec maestria, Ajouter a cela un Humour Savoureusement Piquant parsemé de Répliques qui font littéralement mouche a chaque fois en passant par quelques moments de Tension et de Suspense ainsi qu'une note Émotion qui ne verser jamais trop dans le larmoyant. Pour Finir le Casting est Hors Normes avec son lot de Personnages Attachants et Survolté avec en tete l'immense Gilbert Melki qui est impérial dans la peau de Jacky Robert un restaurateur magouilleur et zele qui se retrouve embarqué malgré lui dans d’innombrables quiproquos, Autour de lui on découvre le remarquable Simon Abkarian dans la peau du Colonel Amanullah un Dictateur imprévisible et dangereux mais néanmoins terriblement Loufoque et Hilarant qui reste rejoint par le reste de la Distribution qui n'en démérite pas en étant composer de Stéphanie Pasterkamp dans le rôle de Sophie la fille de Jackie venus faire de l'humanitaire et qui possède une forte personnalité ainsi que le sympathique et proche de Jacky jouer parfaitement par Benjamin Bellecour en passant par le Photographe Dragueur Damien incarne par Alexis Michalik mais aussi Fayçal Azizi qui incarne le dévouée Habib un des serviteurs du Kaboul Kitchen et en prime quelques pointures viennent pimenter la vie de Jacky et compagnie comme Stephane De Groot,Karina Testa,Louis-Do de Lencquesaing et quelques autres invités surprises qui complété cette superbe distribution irréprochable. En Conclusion, Kaboul Kitchen est un Pur Régal télévisuel comme la Chaine Canal Plus en a le talent et qui malgré l’arrêt inattendu de la série après Trois Saisons parvient a donner un véritable vent de piment en matière de Séries Humoristique dont cette Série se révèle a la fois Jouissif,Impertinent,Loufoque et Irrésistible tout en rentrant au panthéon des Séries Françaises réussis des années 2010 a voir et a revoir sans modération.

Une série très drôle globalement, dont la force est de rendre les personnages attachants, tout en dressant un portrait à la fois peu flatteur et tendre de la capitale afghane. Comédie dramatique pourrait être le genre qui qualifie le mieux "Kaboul Kitchen", tant les moments drôles dressent en même temps un constant accablant sur la situation socio-économique du pays. Et tout en se révélant un brillant pamphlet féministe, dénonçant la situation de la femme en Afghanistan. Gilbert Melki, présent dans les deux premières saisons, est parfait, les seconds rôles également, avec une mention spéciale pour le rôle du colonel, hilarant. "Kaboul Kitchen" perd néanmoins en ressorts comiques et en situations piquantes lors de la saison 3. Stéphane De Groodt ne compensant que difficilement le caractère râleur et attachant de Melki. À noter un dernier épisode très bien fichu.

Saison 1 : 3 étoiles

Saison 2 : 2 étoiles

Saison 3 : 1 étoile
Heureusement qu'il y a S de Groodt

Série humoristique ?
De plus en plus plat et sans humour. Quel gâchis..!

Saison 4 ? : Never !!!

Trois saisons (2012 à 2017, soit 36 épisodes). Série terminée.
Les aventures d’une petite communauté française vivant en Afghanistan au milieu des années 2000. D’abord centrée sur les aléas de la gestion d’un restaurant à Kaboul, le récit évolue progressivement vers une histoire d’espionnage assez rocambolesque. Il convient d’admettre que contrairement à de nombreuses séries, les scénaristes ont su étoffer l’intrigue au fur et à mesure des épisodes les rendant de plus en plus intéressants. Si les personnages principaux changent, passant de Gilbert Melki à Stéphane de Groodt sans que le spectateur ne s’en rende compte, on se prend d’affection pour tout ce petit monde, en particulier le caricatural Colonel Amanullah (Simon Abkarian). Principalement tournée au Maroc, la série utilise néanmoins quelques scènes de rue filmées en Afghanistan permettant de simuler l’ambiance chaotique de la capitale. Bref, un ton léger et drôle qui n’oublie pas de brocarder le milieu des expatriés et de l’aide humanitaire.

C'est bien dommage que la série ait été annulée. Mais en même temps avec le départ de Gilbert Melki a la fin de la saison 2, on s'attendait malheureusement à ce que ça retombe comme un soufflé. En tout cas les personnages sont attachants et d'autres sont têtes à claques. Mini ola pour le colonel et Habib, qui portent la série avec Jacky. Mais la fin de la série est mi figue mi raisin. En fait il n'y a de méga happy-end pour personne...

Kaboul, 2005. Après les attentats du 11-Septembre, une coalition alliée a renversé le régime des talibans et occupé l'Afghanistan pour en chasser Ben Laden. Jacky (Gilbert Melki), un ancien journaliste, a ouvert un restaurant où se retrouve la communauté expatriée. Autour de sa piscine, l'alcool coule à flots dans un des pays les plus violents et les plus rigoristes au monde.

"Kaboul Kitchen" est une création originale de Canal Plus diffusée à partir de 2012. Elle est inspirée de l'expérience vécue d'un ancien journaliste de RFI, Marc Victor, qui a tenu pendant six ans un restaurant à Kaboul.

À mi-chemin du "Bureau des Légendes" et de "Au service de la France", "Kaboul Kitchen" veut traiter d'un sujet sérieux - l'occupation étrangère d'un pays et les fossés interculturels qu'elle révèle - avec humour. Les trois saisons de la série, de douze épisodes chacune, y parviennent suivant un rythme très formaté, qui semble être devenu la norme dans la production française : chaque épisode de trente minutes est divisé en une demi-douzaine de saynètes de cinq minutes chacune environ.

L'efficacité de la série tient à la qualité des personnages et à leur interprétation. Le rôle principal du propriétaire bougon écrasé sous la masse des difficultés quotidiennes est tenu par Gilbert Melki. Le succès de "Kaboul Kitchen" repose sur ses épaules et, quand il l'abandonne à la fin de la saison 2, elle périclite avec son pâle successeur, le belge Stéphane De Groodt.

Mais l'acteur qui tire le mieux sa ficelle du jeu est Simon Abkarian dans le rôle du colonel Amanullah, un moudjahid reconverti dans le narcotrafic en mal de légitimité qui a pris sous son aile le "Kaboul Kitchen" et écrase de son amitié embarrassante son patron. L'acteur, qui inspire plus le rire que la terreur, parle un français haut en couleurs et quelques-unes de ses réparties sont devenues cultes. On en trouve même les meilleures sur YouTube.

"Kaboul Kitchen" est excellent tant qu'il s'inscrit dans le registre de la comédie, multipliant les historiettes toutes plus cocasses les unes que les autres. En revanche, il perd en qualité quand il s'essaie au thriller dans la saison 3. Faute de moyens, faute de rythme, faute de tension narrative, la série, boudée par le public, ne sera d'ailleurs pas renouvelée à la fin de cette saison.

"Kaboul Kitchen" s'est heurté à une limite qu'il n'a pas réussi à dépasser : l'authenticité. Si l'équipe est allé filmer quelques plans extérieurs  à Kaboul, intercalés au montage, la série a été tournée au Maroc, dans des décors beaucoup trop touristiques pour rendre crédible un récit en état de siège. Pire : tous les acteurs y parlent le français, y compris ceux censés interprétés des personnages afghans. Du coup, un des obstacles majeurs au dialogue interculturel, la barrière de la langue, est gommée comme par miracle.

Une très bonne série française avec beaucoup de moments drôles !! Des gags et des dialogues qui font mouches grâce à d'excellents comédiens !!

Bonne surprise. Comédie fraichement délirante! Mention spéciale pour Melki et le colonel. 3 grosses étoiles. ----Mars 2017----

Hilarant !!! Excellente série, saison 3 un peu moins pêchue mais notre Colonel Amadula est là pour relever le niveau ! Série bourrée d'humour bien dosé !!

Série sympathique à regarder, mais un peu en carton côté scénario.Les dialogues font rire ou sourire suivant la/le téléspectatrice/teur. Ce début de saison 3 est moins bon en qualité, mais attendons la fin...

Sous une couche d'humour décalé, cette série se confronte aussi à des problèmes réels (considération portée aux femmes, le statu quo des ONG, les rivalités tribales, l'argent grand facilitateur) traités sans ambages. Donc, une très bonne histoire et de très, très bons acteurs :Melki, Abkarian, Pasterkamp, Michalik, Testa, etc ... Moins touché par de Groodt dans la saison 3 car tellement déçu par l'absence de Melki. C'est une série dans laquelle vous entrez ou pas, mais si elle vous prend, ce seront quelques heures de très bonne détente. Pour finir, LA réplique récurrente la mieux sentie grâce au très grand Simon Abkarian : "Viens là que j't'acolle !"

Fan de Gilbert Melki donc j ai beaucoup aimé. .... dans les saisons où il a joué. Serie étonnante et très originale

Serie grave sympa pour l'ambiance mais tellement dommage que la bande son (surtout le jingle de début et de fin) soit aussi naze.. voir inaudible

Temps que MELKY est là tout va bien, et l’humour est au rendez vous, ensuite c’est plus compliqué . Très belle performance du colonel et du serveur « ça craint du.... »