SAW 3 : Un mélange sanguinolent de jeux de l'esprit et de démembrements
Amis amateurs de torture psychologique et d'énigmes qui vous donnent plus de sueurs froides que votre première partie de Mario Kart en mode difficile, bienvenue dans l'univers macabre de SAW 3 ! Si vous pensiez que la saga ne pouvait pas aller plus loin dans la démence, détrompez-vous. Cette fois, le "Tueur au puzzle" fait preuve d'une créativité dérangeante pour vous donner envie de hurler "Checkmate" tout en vomissant vos tripes. Les épreuves sont plus tordues que les timelines de "Tenet". Et si vous avez déjà eu l'impression que la saga était un gros casse-tête, préparez-vous à vous faire détruire le cerveau avec un jigsaw en miettes.
Imaginez un Rubik's Cube dégoulinant de viscères et vous aurez une idée de ce à quoi vous attendre avec SAW 3. Le réalisateur Darren Lynn Bousman réussit le tour de force de mélanger deux épreuves en une, comme si Marty McFly avait renversé une bouteille de flux de l'espace-temps dans la salle de torture. Vous aurez l'impression que le film vous secoue dans tous les sens, comme un Nunchaku Jedi manié par Yoda sous acide. Le gore est tellement intense que même Deadpool aurait du mal à garder son sens de l'humour. Mais rassurez-vous, c'est toujours moins douloureux que de marcher sur des LEGO pieds nus.
SAW 3 s'inscrit dans la grande tradition des films qui n'ont pas compris la notion de "changement de formule". Si vous avez l'impression de voir le même film que les précédents, c'est parce que vous le voyez ! C'est comme si les créateurs avaient pris un copier-coller géant de l'intrigue, ajouté quelques litres de faux sang, et crié "C'est bon, on a un nouveau film !" Mais bon, on ne change pas une formule qui fait hurler, n'est-ce pas ? C'est comme si Mario continuait à sauver la princesse Peach sans jamais apprendre à verrouiller la porte du château.
Si vous pensiez que la fin d'un film devait répondre à toutes vos questions, alors vous êtes au mauvais endroit. La fin de SAW 3 est plus déconcertante que les maths quantiques expliqués par un enfant de 5 ans. Elle vous laisse avec plus de mystères que l'identité de Snoke dans Star Wars. Et surtout, elle vous rappelle que cette saga est aussi inarrêtable qu'un joueur de Flappy Bird en pleine crise de caféine. Si vous n'êtes pas encore accro, attendez-vous à hurler "Je veux jouer à un jeu" à votre téléviseur chaque fois que vous verrez une boîte de puzzle.
Le réalisateur Darren Lynn Bousman nous sert une nouvelle fois un festin d'horreur qui nous fait regretter d'avoir jamais joué aux échecs. Il capture l'esprit sadique de James Wan, le créateur de la franchise, comme un chasseur de primes attrape un Wookiee en colère. Bousman sait comment adapter l'univers de Wan à sa manière, et il le fait avec autant de grâce qu'un Tauntaun sur la glace de Hoth.
En conclusion, SAW 3 est comme une montagne russe infernale à travers l'enfer, avec des arrêts à chaque boucle pour vous rappeler que la vie est précieuse, même si vous avez une clé dans l'œil. C'est une expérience qui vous fait crier, rire, et vous demander pourquoi diable vous continuez à regarder ces films. Mais une chose est sûre : tant que les amateurs de films d'horreur auront soif de sang et de suspense, la saga SAW continuera à vous traquer, comme un joueur de Fortnite en mode Battle Royale. Alors, êtes-vous prêt à jouer au jeu ?
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