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    Paris
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    1 103 critiques spectateurs

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    elbandito
    elbandito

    315 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2008
    Un grand film qui a pour principal intérêt de vous faire aimer les gens et de relativiser vos petits tracas quotidiens. L'interprétation de tous les comédiens est sensible et juste. Et quelle belle distribution ! Cédric Klapisch ne réalise pas un film inédit mais son film choral est un grand moment de vie qui vous montre Paris sous un jour nouveau, celui des Parisiens.
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2014
    Ce film aurait pu s'appelé : "Les Parisiens 2 : le retour ", afin de pouvoir assurer une continuité thématique avec le film homonyme catastrophique de Claude Lelouch, sorti il quelques années plus tôt. C'est clairement comme ceci que le film aurait du s'appeler tellement il y a de points communs entre les deux films, à commencé par une ambition humaniste lourdingue et une compilation de destins tragi-comiques se cessant de se croiser au sein de la ville lumière. La grande différence résident dans le genre des deux oeuvres, sentimentalo-mystique chez Lelouch, chronique douce amère pour Klapisch... Enfin bref, voilà que débarquent à l'écran une nouvelle troupe de personnages qui, à défaut de chercher leur chats, cherche l'amour le plus souvent, un soutien psychologique, une aventure sexuelle ou tout simplement un toit... Pour cela, Klapisch a fait appel à des visages presque tous connus et étire son film sur plus de deux heures.
    D'emblée, ce qui pose problème, c'est ce scénario trop généreux qui a pour projet d'embrasser toutes les classes sociales à travers des personnages emblématiques sauf qu'au fur et à mesure que le film avance, ce qui intéresse Klapisch c'est à l'évidence un noyau dur (le duo frère/soeur Duris-Binoche), une petite ébauche de couple secondaire (Fabrice Luchini - Mélanie Laurent ) et la bande de Rungis avec entre autres, Julie Ferrier et Gilles Lellouche, (qui n’est pas le fils de Claude, hé hé !! ). Tous les autres sont plus ou moins sacrifiés ou servent de remplissage sans saveur (François Cluzet et ses rêves en 3D, Karin Viard en boulangère snob, Albert Dupontel en veuf éploré ...) sans compter le S.D.F. et les africains sans papiers, inexistants. Du coup, dans la deuxième heure du film, la fin approchant, Klapish est obligé soit de bâcler (Binoche et Dupontel qui concluent en un éclair) soit de laisser en plan les gens (Cluzet, Luchini...) ou de les abandonner à leur destin (Romain Duris finit par prendre un taxi, quelle audace !!), dans tous les cas, bonjour les ellipses !! Si seulement la direction d'acteurs était irréprochable, ça remonterait le niveau, mais là c’est pareil, Klapisch focalise essentiellement sur Romain Duris et Juliette Binoche, leur faisant jouer une partition émouvante, mais, à l’inverse, il ne sait pas quoi faire de Luchini, qui se croit comme à la télé...Quant à Mélanie Laurent, elle a une belle petite bouille mais n'a pas grand chose à faire...C'est plus triste pour Cluzet dont je n'ai pas compris du tout les états d'âmes et le surjeu (la scène du cimetière...), quand à Karin Viard, elle est si énorme qu'elle ferait passer madame de Fontenay pour une rappeuse !
    Au milieu de tout çà, il y a bien quelques moments sympas ou la justesse du regard vers l'autre fait mouche mais il manque vraiment un enjeu fort, quelque chose de fédérateur voire un vrai sentiment d'urgence pour nous accrocher au évènements. C'est pourquoi les rares fois ou la tension monte comme lors la scène du bar avec les gars de Rungis, on se dit que le film décolle enfin, avant, hélas, de retomber aussi vite et nous figer dans l'ennui. Quand à Paris, la ville, Klapisch la filme selon le point de vue de Romain Duris, perché tout là haut sur son balcon d'appart bobo : beaucoup de toits, de rues, de trottoir, mais aussi les cafés de La Sorbonne, les halles, pas ou peu de monuments ... Curieusement, en essayant d'éviter le côté carte postale, Klapish offre une notation poétique pleine d'ironie : c'est justement une carte de Notre Dame que l'africain résidant à Paris envoie à son frère en début de film et que ce dernier tient dans la main quand il débarque dans la capitale, essayant de comparer la vraie Notre Dame avec celle de la photo...De la à dire que "c'est mieux en vrai" , il n' y a qu'un pas que Klapish franchit allègrement et c'est finalement le vrai message du projet : Paris, c'est beaucoup mieux que le film !!
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2011
    Un Klapisch honorable entre drame et humour fin! Ce film choral qui dèploie toute sa force avec une belle galerie de personnages attachants nous fait voyager de façon nostalgique dans la capitale! La vie, la mort, la famille, l'amour, le temps qui passe vite trop vite! Les acteurs sont excellents! Romain Duris, touchant sans que cela ne tombe dans la mièvrerie, Juliette Binoche lumineuse et juste, Fabrice Luchini ègal à lui-même, Albert Dupontel, èmouvant en poissonnier et Karin Viard agaçante en boulangère tyrannique! Certains acteurs se retrouvent à peine survolès mais trouvent malgrè tout leur place (François Cluzet, Mélanie Laurent, Olivia Bonamy...) dans ce film mèlancolique au casting trois ètoiles ou Cèdric Klapisch filme avec talent les gens à plusieurs distances dans leur solitude et leur humanitè! Très belle B.O...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juillet 2013
    Comme Woody Allen avec New-York, Cédric Klapisch aimerait qu'on associe son nom et ses films à sa ville, Paris, qu'il a souvent filmée et qu'il place ici au centre de son film. La sincérité en moins. Car si Woody Allen sublime la ville qu'il aime, il semble que Klapisch essaye de créer de toutes pièces un mythe entre lui et la ville lumière. Faire "Comme du Allen", ça ne marche pas.
    Pourtant l'idée de départ aurait pu être bonne. Romain Duris est même assez sympathique (au premier sens du terme, le partage de sa douleur) en mourant qui essaye tant bien que mal de ne pas perdre les pédales, mais autour, rien ne tourne rond. Fabrice Luchini n'est qu'une pâle parodie de lui-même en professeur très bobo qui tombe amoureux d'une de ses étudiantes et s'imagine qu'il pourrait vivre l'histoire du siècle. Aucune possibilité pour nous, spectateurs, de ressentir quelconque forme d'amitié pour lui. (et pourtant, j'aime bien Luchini, d'une manière générale.)
    Bon, Klapisch filme bien Paris, mais dans un style tellement classique, entendu, que c'est l'effet inverse de celui voulu qui finit par arriver : l'effet carte postale. Et bien entendu, comme dans les cartes postales, ce sont les clichés ( Beaucoup de cinéastes devraient se contenter de raconter des histoires plutôt que de s'essayer à faire de la philosophie ou de la sociologie) qui prennent le dessus sur le reste, alors le film s'enfonce dans la parodie d'une parodie d'un certain cinéma français (nouvelle vague en tête) qui, pour le coup, avait des choses à dire et le disait avec style.
    Point d'orgue du film : la scène où des ouvriers font visiter leur lieu de travail à des call-girls d'Europe de L'est, sorte de Belle et la bête du cinéma social, et là, on ne frôle plus le ridicule, on plonge dedans. Comme dans "Ma part du gâteau", à force de vouloir se la jouer proche des idéaux du peuple et des ouvriers (pour emprunter au langage bobo), Klapisch tombe presque dans l'anti-social, et c'est impardonnable.
    Paris, c'est donc Manhattan en moins inspiré, Pierrot le fou sans l'explosion visuelle et Octobre sans le vrai fond politique. En un mot, c'est raté.
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    299 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2013
    Paris, Romain Duris et des second rôles qui s'entrecroisent. Ce n'est pas avec ce film que Klapisch va nous surprendre. Mais devant une telle flopée de bons acteurs, "Paris" se laisse tranquillement regarder.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2016
    Plus le temps passe et plus Cédric Klapisch semble postuler à la succession de Claude Lelouch. Malheureusement pas le Claude Lelouch des débuts mais plutôt celui des années 80 et 90, chantre des films choral dégoulinants de bons sentiments censés nous tendre un miroir des émotions multiples qui remplissent nos vies. Le lien entre tous les personnages étant bien sûr la quête de l'amour toujours centrale chez Lelouch. Le problème c'est que Klapisch comme Lelouch nous décrit la vie comme ils la voient dans le quotidien de bobos très argentés. A près de 80 ans, Lelouch est désormais complètement "hors-sol" comme on dit aujourd'hui, ses films ne parlant plus qu'à des fans inconditionnels ou piégeant quelques spectateurs alléchés par le casting toujours prestigieux que le réalisateur d' "Un homme et une femme" parvient à réunir grâce à une réputation venant du fin-fond des années 1960 qui fait que chaque acteur français veut avoir fait un jour "son Lelouch". Klapisch qui a écrit le scénario de "Paris" propose clairement un hommage vibrant à la capitale et de ce point de vue la promesse est tenue même si on l'a dit c'est surtout un Paris fantasmé qui défile devant nos yeux ébahis par la virtuosité du chef opérateur Christophe Beaucarne (le fils du chanteur Julios). L'affaire est plutôt rondement menée dans le premier tiers du film, Klapisch enchevêtrant habilement ses petites histoires et brossant des portraits touchants et cocasses comme il sait si bien le faire. Le problème est que sur la longueur le lyrisme à deux sous l'emporte sur toute vraisemblance donnant envie au bout d'une heure trente que cette balade dans l'Est parisien se termine au plus vite. Malheureusement on n'échappera pas à tous les clichés éculés voire grotesques comme cette improbable virée de quatre bourgeoises en goguette venues s'encanailler aux Halles de Rungis dans les bras musclés de quatre marchands de fruits, éberlués tout d'abord mais comprenant rapidement que les quatre créatures de rêve n'ont qu'une envie, se faire lutiner sur un lit de salades ou contre un quartier de bœuf. A qui Klapisch entend faire croire que les barrières sociales sont perméables à ce point même à quatre heures du matin après un cocktail prolongé et bien arrosé ? Les invraisemblances qui se multiplient finissent par gâcher la sympathie que Klapisch et ses acteurs avaient réussi à faire naître. Des acteurs tous impliqués et convaincants de Fabrice Luchini dans son registre habituel à Karin Viard superbe en boulangère aussi stupide que raciste (nommée aux Césars) en passant par Romain Duris sobre en jeune homme devant faire face à la maladie et Juliette Binoche touchante en quadra déboussolée. Ce sont bien eux qui sauvent le film du naufrage total dans lequel Klapisch a failli le faire sombrer à trop vouloir lorgner du côté de celui dont il ne devrait pas suivre la pente.
    Gigli
    Gigli

    23 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2009
    Aucun intérêt à part celui de me rappeler que je hais viscéralement les films chorals, ainsi que la filmographie de Klapish et les longs moments interminables devant une fenêtre avec de la petite musique au piano histoire de bien faire comprendre que "cette scène est mélancolique, OK ?". Klapish ne voulait pas montrer la carte postale ? Manque de bol son film commence par une image des toits de Paris, Klapish voulait nous montrer l'envers du décor notamment avec la symbolique de cette scène au début, en haut de Montmartre avec le journaliste qui parle de Paris ? Re-manque de bol tout ce qu'on retiens c'est son speech "Paris la fête, Paris boulot...ect". Ce film expose tous les clichés existant sur terre à propos de Paris mais dans le mauvais sens. Comprenez par là que pendant plus de deux heures, va se dérouler devant vos yeux un film sur des choses déjà vu mille fois avec toutes ces histoires en cascade de crise de la quarantaine, de maladie "du cœur de pierre", de couple qui se sépare mais pas trop, de boulangère un peu raciste mais pas trop, enfin bref tout ce qu'on a vu au cinoche depuis vingt ans ; mais à Paris ! Attention valeur ajoutée. On vous offres des pelletés de "vrai Paris", la preuve, neuf dixième du film est tourné dans des endroits "underground" tel le Sacré-cœur, le palais Royal, La Sorbonne, devant la BnF, au Père Lachaise, j'en passe et des meilleurs. Avec du vrai Parisien de Paris, tel les commerçants du marché mous comme des chiques (tiendrais pas trois mois en étant si peu motivé par ce boulot)ou encore Luchini en Maître de conférence qui va faire une psychanalyse; ça tombe bien, il manquait un dernier truc du "cahier des charges des films chiants". Au final il n'y a rien d'autre dans ce film que des histoires bancales mal raccommodées et invariablement chiantes avec cette constante impression que le film à l'instar de Paris "n'a ni queue ni tête". PS : Baudelaire n'a pas mérité ça. Respectez les artistes Monsieur Klapish.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    quel film de merde , ramassis de clichés sur paris et les parisiens et Klapish tous els parisiens n'ont pas d'aprioris sur els immigrés , cliché de merde façon bobos porte feuille à droite qui gueulent depuis leur fauteuils sans jamais bouger .
    Duris ets juste une caricature de lui-même, Binoche l'actrice la plus nulle de tous les temps et le reste c'est pour faire un bon casting vu qu'il ya pas de scénario
    c'ets un film qui a du faire mouiller à sa sortie les lecteur de libé , du torche cul du nouvel obs , ou du torchon huffpost , ras le bol de victimiser les parisiens comme ça putain d'abord les français et aprés les immigrés merde alors
    non la ville de Paris n'est pas celle de Klapish et du retardé Woody Allen et je ne me reconnais pas du tout la dedans heureusement que un film n'est que fiction -ALLER LES TROLLS ESSAYER DE FAIRE SUPPRIMER MA CRITIQUE HAHAHA
    conrad7893
    conrad7893

    259 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2011
    Un film chorale avec Romain DURIS, LUCCHINI, BINOCHE, CLUZET, MELANIE LAURENT, JULIE FERRIER, LELOUCHE ...
    comme on les aime.
    Le destin croisé de tous ces personnages
    Romain DURIS danseur de revue, malade du coeur qui est la trame du film avec sa soeur juliette binoche toujours aussi touchante
    LUCCHINI dans le rôle d'un historien prof de fac toujours égal à lui-même qui tombe amoureux d'une de ses élèves Mélanie laurent
    CLUZET un homme simple comme toujours
    un film moralisateur pour vous rappeler que la vie est belle et qu'il faut en profiter
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    quel film de merde , ramassis de clichés sur paris et les parisiens et Klapish tous els parisiens n'ont pas d'aprioris sur els immigrés , cliché de merde façon bobos porte feuille à droite qui gueulent depuis leur fauteuils sans jamais bouger .
    Duris ets juste une caricature de lui-même, Binoche l'actrice la plus nulle de tous les temps et le reste c'est pour faire un bon casting vu qu'il ya pas de scénario
    c'ets un film qui a du faire mouiller à sa sortie les lecteur de libé , du torche cul du nouvel obs , ou du torchon huffpost , ras le bol de victimiser les parisiens comme ça putain d'abord les français et aprés les immigrés merde alors
    non la ville de Paris n'est pas celle de Klapish et du retardé Woody Allen et je ne me reconnais pas du tout la dedans heureusement que un film n'est que fiction
    Backpacker
    Backpacker

    54 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2015
    D'excellents comédiens ne font pas forcément un bon long-métrage. En témoigne ce prétentieux "Paris", film choral décevant et ennuyeux.. C'est long et on regarde sa montre... Klapisch nous avait habitués à 100 fois mieux.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2008
    D'habitude, je ne suis pas fan de Cédric Klapisch. Mais là, j'avoue avoir été conquis par ce film chorale qu'est Paris. Un casting énorme qui sert à merveille cette galerie de personnages : Fabrice Luchini est magistral ( comme à l'accoutumée ) dans la peau de cet historien amoureux et névrosé, Romain Duris est émouvant, tout comme Juliette Binoche. Albert Dupontel, Mélanie Laurent, Karin Viard ou encore François Cluzet complètent le tableau. C'est une très belle tranche de vie, pleine de bons sentiments certes, mais riche en émotions ( la scène où Luchini drague Mélanie Laurent dans le bistrot est jubilatoire, la séquence dans laquelle Romain Duris rappelle sa petite amie est poignante ). Les dialogues font souvent mouche et l'interprétation est magnifique. Un très bon film avec lequel le spectateur se sent complice, un film qui fait du bien en définitive. Il me tarde de redécouvrir L'Auberge Espagnole et Les Poupées Russes ( ces deux derniers films ne m'avaient pas totalement convaincu au premier visionnage ). Emouvant, drôle, fin.
    Akamaru
    Akamaru

    2 801 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Cédric Klapisch,seul cinéaste français touchant à la fois le cinéma d'auteur et populaire,réussit encore une fois un véritable tour de force.Son "Paris"prend aux tripes comme rarement.Pourquoi?Car il parle d'histoires simples,voires banales avec une vigueur et une humanité désarmante.Ces petits riens qui font un grand tout.On ne peut qu'etre touché par ces destins croisés rendant hommage à notre capitale.Ce n'est pas toujours raconté avec homogénéité,mais la démarche est sincère,on adhère instantanément.Un cinéma de proximité simple et complexe à la fois.Du grand art.On en ressort revigoré.Un ensemble parfois léger,grave ou mélancolique.Je m'arretes sur le casting époustouflant,ou tout le monde trouve sa place au milieu de cette mosaique.Juliette Binoche est quand meme magnifique,elle fait passer tant d'émotions sur son visage...Mention aussi à Romain Duris,Albert Dupontel et Karin Viard.
    shmifmuf
    shmifmuf

    156 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2012
    Klapisch et Duris vont bien ensemble. Leurs précédentes collaborations étaient toutes de qualité.
    Dans celle-ci, il n'est qu'un maillon d'un film choral qui oscille entre ombre et lumière. De belles histoires qui s'entrecroisent et qui font de son "Paris", une oeuvre qui transpire l'humanité.
    Cyril G
    Cyril G

    42 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2008
    Mais quelle déception!!
    Comment croire que l'auteur de "chacun cherche son chat" et "Le péril jeune" ait écrit cette ENORME daube.
    C'est même pas du sous Lelouch, c'est du néant. Le problème du film choral, c'est que quand c'est raté, c'est vraiment pire que tout. Il y a des moments d'un grotesque confondant, c'est à peine croyable de nullité à certains moments, on en est même mal à l'aise.
    Ce qui me tue, c'est que personne ne lui ait dit à quel point il allait dans le mur, à quel point il y avait au moins 40 minutes à virer de ce film, et encore, pour raconter quoi?
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