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    7 ans de réflexion
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    3,8
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    114 critiques spectateurs

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    Estonius
    Estonius

    2 379 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2016
    Le moins qu'on puisse dire c'est qu'on reste sur notre faim avec cette fin qui arrive alors qu'on ne l'attend pas. Sinon Wilder montre une fois de plus son sens méticuleux de la mise en scène et de la direction d'acteur. Ça se savoure. Certes nous sommes en 1955 et la censure veillait, il faudra attendre 1964 et "Embrasse-moi idiot" pour que le non-dit du film devienne explicite à savoir qu'un adultère passager s'il est bien géré ne devrait pas mettre en danger la vie d'un couple. Marilyn crève l'écran, son personnage n'a rien d'une nunuche, même si elle ne semble pas avoir inventé l'eau chaude, mais elle incarne surtout une personne qui se fiche un peu des conventions sociales. Quant au concert n°2 de Rachmaninov, vous ne pourrez plus jamais l'écouter sans repenser au film .
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 775 abonnés 3 954 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2015
    Pour être honnête je ne sais pas pourquoi je n'avais pas encore vu ce film, mais ce n'est pas le meilleur de son auteur, alors c'est frais, c'est drôle (du moins j'avais un sourire tout le long), j'ai adoré certaines idées de mise en scène, l'histoire en général, mais voilà, Wilder a fait mieux... forcément il entre en compétition avec des purs chef d'oeuvre... ça fait forcément mal.

    C'est donc vraiment un film frais, comme de la clim' en été, c'est très bien écrit, j'ai trouvé le personnage masculin non seulement très bien écrit comme je viens de le dire, mais surtout très juste. Ce type qui laisse sa femme et son morveux partir au loin et qui tente de résister à la tentation de la belle blonde un peu naïve, facilement impressionnable...

    J'aime les monologues où le type dit absolument tout ce qui lui passe par la tête, alors non ce n'est pas subtil pour un sous, mais on ne va pas se leurrer ce qu'il se dit, on se l'est tous déjà dit... (si on a une morale

    Je reprocherai finalement peut-être de ne pas être hilarant, je ne pense pas que ça soit le but, mais disons que lorsque la fin arrive, j'en voulais encore tellement plus, j'ai eu l'impression de m'être arrêté à l'entrée, que ça aurait pu aller bien plus loin dans la bêtise pure du gars, dans sa folie, dans son imagination.

    Franchement difficile de faire un film plus agréable, cependant je reste sur ma faim. Finalement la fameuse scène sur la bouche d'aération du métro n'est pas si iconique que ça. Enfin, si j'avais vu le film à sa sortie, ou bien sans connaître Monroe... ben j'aurai même pas fait gaffe à ça... Je ne sais pas vraiment pourquoi c'est devenu aussi "culte".

    Bref, c'est à voir, sans forcément trop en attendre, mais pour passer un moment agréable, frais, léger et il faut bien l'admettre assez mignon malgré tout...
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 743 abonnés 12 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    Le classique par excellence! La star des stars, le mythe hollywoodien fait chair, Marilyn Monroe est certainement la plus èmouvante des hèroïnes de la lègende cinèmatographique des temps modernes! Crèè de toutes pièces, le mythe Marilyn n'en finit pas aujourd'hui de fasciner! Mais qui ètait-elle au fond ? La starlette aux jupes retroussèes sur l'affiche cèlèbre de "The Seven Year Itch", rèalisè en 1955 ? Dans ce film, Tom Ewell a des difficultès à sèduire sa voisine (comme on le comprend) dans l'une des comèdies les plus rèussies de Billy Wilder qui apparaissait à l'èpoque comme l'un des cinèastes qui a le mieux su utiliser Marilyn avec une certaine grossièretè comique! Celle-ci n'a peut-être jamais ètè aussi belle (et provocante et innocente) que dans ce cèlèbre film où l'on ne prèsente plus la scène de la bouche de mètro! En effet, le père Wilder fait passer Marilyn sur un courant d'air, ce qui nous a laissè l'image fameuse, entre tant d'autres, de sa robe blanche relevèe au-dessus de ses très jolies jambes! Et tout ça à la sortie de la sèance, "Creature from the Black Lagoon" de Jack Arnold! Mythique, vous dis-je! On n'est pas prêt de revoir une femme affoler son voisin du dessus en cachant ses sous-vêtements dans le rèfrigèrateur parce que l'ètè à New York est très chaud...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    994 abonnés 4 077 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2020
    Alors qu’elle est à Hollywood depuis 1947, c’est en 1953 que la carrière de Marylin Monroe décolle vraiment. Elle a en effet enchaîné « Niagara » (Henry Hathaway en 1953), « Les hommes préfèrent les blondes » (Howard Hawks en 1953), « Comment épouser un millionnaire » (Jean Negulesco en 19534) et « Rivière sans retour » (Otto Preminger en 1954) qui ont fait de Norman Jeane Baker une star en devenir mais c’est « Sept ans de réflexion » où elle occupe seule le premier rôle féminin qui lui apporte la consécration définitive et sa place au sommet d’Hollywood. Le film est inspiré de la pièce éponyme de George Axelrod qui tient le haut de l’affiche à Broadway depuis 1952. La Twenty Century Fox de Darryl Zanuck s’est procuré les droits de la pièce. George Axelrod qui va écrire le scénario n’imagine personne d’autre que Billy Wilder pour transposer celle-ci à l’écran sans en édulcorer la tonalité subversive ayant trait à la sexualité masculine. Le réalisateur accepte donc son premier et unique contrat avec la Fox. Mais en ce mitan des années 1950, la censure est encore très présente et n’admet pas que l’adultère puisse être présenté comme une chose légère. Billy Wilder habitué depuis « Le poison » (1945) et « Sunset Boulevard » (1950) a prendre des chemins de traverse pour contourner l’intransigeant code Hays, devra donc déployer des trésors d’ingéniosité afin de conserver la substantifique moelle de ce pamphlet présentant la gent masculine comme une bande de chasseurs devenant décérébrés au moindre jupon passant à leur portée. Ce tropisme masculin n’est pas récent, Wilder toujours aussi facétieux le montrera dans l’entame du film comme déjà présent quand les indiens peuplaient seuls l’île de Manhattan. D’adultère consommé en revanche, il ne sera jamais question dans le film. Mais la seule présence incendiaire d’une Marylin Monroe sexuée comme jamais en face de l’insignifiant Tom Ewell (préféré par Zanuck alors que Wilder avait été emballé par les essais de Walter Matthau encore peu connu) suffit à ce que chacun matérialise tous les fantasmes qui passent dans la tête du père de famille resté seul à New York pour les vacances d’été. Billy Wilder conscient de l’atout unique constitué par Marylin s’est accommodé de ses caprices légendaires qui n’étaient en réalité que l’expression d’une profonde mésestime de soi, génératrice de la dépression qui la mènera au tragique soir du 3 août 1962. Le film un peu plombé par les trop nombreuses et pas toujours très inspirées saynètes illustrant les fantasmes de Tom Ewell, pâtit aussi d’un certain statisme inhérent au principe du théâtre filmé . Il se revoit malgré tout avec un réel plaisir.
    ER  9395
    ER 9395

    71 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Le meilleur de la comédie américaine signé Billy Wilder , énorme .
    Alexarod
    Alexarod

    231 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juin 2015
    Je me suis mis en tête de mater tous (ou en grande partie au moins) les films de Marylin Monroe. C’est un peu maso sur les bords mais ça permet de voir comment une star né à partir de rien.
    Dans cet opus on est plus sur une comédie qui se veut loufoque et décalée. Billy Wilder en était le spécialiste, et en effet ses longs métrages changeaient dans le Hollywood de l’époque, mais pas forcément en mieux. Vu de nos jours c’est juste une énième comédie pas drôle, et on peut le dire car on ne voit rien de comique dedans. Autant quand il fait « Certains l’aiment chaud » c’est génial, il y a de l’idée, le sujet et la façon de le transcrire sont inhabituels, et on a un film rigolo, autant là c’est lourd, lent, plombant. Vous me direz que cela correspond bien à la chaleur due à l’été qui conditionne le récit, mais est-ce drôle ? Pas à mon sens en tout cas, et beaucoup doivent partager ce point de vue, surtout que ça casse le rythme continuellement. Voyez l’histoire déjà : l’uniformisation des femmes qui partent à la campagne pour les vacances, les mecs restant à bosser et trompent celles-ci, fendard. Le héros, plus malin que les autres s’y refuse, déboule Marylin et on brode un semblant de vaudeville autour de ça. La mouche qui pète assure plus. Faut avouer que les états d’âmes incessants de Tom Everell, ainsi que ses plans sur la comète, avec l’histoire qui se fige et sa voix en off c’est juste ringard et chiant.
    Après cette intrigue, pas mal naze, on n’est pas sauvé car : le montage ressemble trop à un assemblage de sketchs qui n’en sont pas, on sent les scènes tournées dans tous les sens et collées au feeling ; la trame est celle d’un vaudeville classique, sans surprises ; la musique est très moyenne ; le décor se résume à la maison du héros (d’ailleurs il y a beaucoup de faux raccords dans celle-ci tel le tapis mouillé) ; l’humour ressemble plus à celui d’une sitcom banale, ne manquent plus que les rires enregistrés, en plus c’est prévisible et inefficace ; les dialogues sont d’une niaiserie affligeante (même en VO) ; les acteurs sont médiocres, ils ne semblent pas forcément à l’aise avec le style (à se demander comment Tom Everell a pu recevoir un golden globe pour ça tant il est poussif, détaché et ridicule), quant à Marylin ben elle joue la potiche superficielle. Certes c’est ce qu’elle sait faire le mieux me direz-vous, mais ce n’est pas pour autant bien joué, ni agréable à voir.
    Qu’y a-t-il de bien dans ce film alors ? Evidemment la fameuse scène de la robe au dessus de la bouche de métro, il passe deux fois mais, contrairement aux affiches bien connus, on ne voit jamais Marylin en entier donc ça gâche un peu. Le jeu de séduction involontaire de celle-ci reste sympa, contrairement aux tergiversations du héros ou les apparitions du concierge. Le style reste du Billy Wilder, donc appréciable même s’il se loupe, et la dénonciation d’un travers de la société est bien là. L’ensemble n’est pas une torture non plus et on peut se détendre vu la complexité de l’intrigue, voir s’endormir on ne loupera pas grand-chose. Cela reste maigre pour le qualifier de chef d’œuvre mais c’est un instantané de ce qui se faisait à l’époque, tant sur la pellicule qu’au théâtre.
    bobmorane63
    bobmorane63

    147 abonnés 1 891 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2018
    Une comédie réalisé par Billy Wilder dont le sujet se moque des hommes qui ont l'infidélité de tromper leurs femmes devant une belle demoiselle, c'était le cas dans les années 50 (même depuis le temps des Indiens comme nous le montre le début du film), c'est toujours le cas aujourd'hui !! Le personnage principal est marié, sa femme et son fils partent un moment en vacances en leur jurant ni cigarettes, ni alcool en leurs absences. Un soir d'été, seul chez lui tranquille, la sonnette de son appartement fait du bruit, c'est la voisine du dessus, une femme charmante a tomber auquel il ne reste insensible, lui invitant a boire chez lui. Panique d'infidélité, il fume, boit, veut résister au charme de la demoiselle mais ils font connaissance, se repousse, part dans un délire psychanalytique auquel on rigole beaucoup. Je n'ai pas vu beaucoup de films de Billy Wilder mais "Sept ans de réflexion" a beaucoup de qualités et donne envie de visionner le reste de la filmographie du cinéaste. Au delà de la comédie, c'est un long métrage qui possède des images superbes comme les plans ou le personnage principal parle de ses ex tentatrices qui ont failli lui faire une adultère dans son couple qui traversent l'écran fr façon magnifique ou le plan ou sa sublime voisine apparait à l'écran d'invisible devenant visible, c'est magique. Marylin Monroe est lumineuse de beauté légendaire mais la palme revient à son partenaire Tom Ewel qui nous livre un numéro d'acteur très drole. J'ai adoré.
    Yetcha
    Yetcha

    731 abonnés 4 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 août 2010
    Un des meilleurs films qu'il m'ait été donné de voir, revoir et revoir encore. Le véritable ballet entre les acteurs est magnifique, les scènes de pensées de Tom Ewell sont tout simplement géniales et Marilyn Monroe en ingénue naïve et délicieuse est parfaite. Un must? Non.......LE MUST!!!
    NeoLain
    NeoLain

    4 136 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2008
    Résistera ? Résistera pas ? Petit chef d'oeuvre d'humour noir ce film est une superbe peinture de la société américaine des fifties. Billy Wilder a su profiter de sa première collaboration avec Marilyn Monroe pour traiter le thème du désir sous toutes ses formes les plus osées. En adaptant l'histoire de George Axelrod il met en scène une situation cliché, à savoir la folie qui s'empare des maris new-yorkais qui envoient leur petite famille en vacances et se retrouvent alors constamment en mesure d'assouvir leurs vices réprimés. Richard est un type bien, qui essaye du mieux qu'il peut de tenir ses promesses conjugales. Chose qui n'est pas des plus aisées puisqu'il atteint le stade critique, la période des sept ans. L'arrivée de cette séduisante voisine précipite les signes annonciateurs de la maladie. Après tout ma femme n'est plus très fraîche et puis il n'y a pas de mal à prendre un verre avec une voisine. Ce qu'il va réaliser petit à petit, c'est qu'une belle fille, même avec une moitié de poids chiche dans la tête, a besoin d'attention et pas forcément d'une grosse drague bien grasse. Tom Ewell est épatant dans son rôle de mari trop gentil et trop amoureux pour être véritablement volage. Aveuglé par son désir physique il tarde à se rendre compte qu'il cherche seulement à se sentir désiré et aimé. Mais quand il plonge dans ses fantasmes ou mieux, quand il laisse libre court à sa parano, c'est un régal pour les yeux et les oreilles tant les dialogues sont de qualité. Marilyn, plus séduisante que jamais, rayonne à chaque séquence et ferait fondre aisément un glaçon dans un freezer. Comment ne pas citer la mémorable scène de la bouche de métro, déjà immortalisée par son ami et photographe Sam Shaw. Marilyn c'est la fille par excellence, un véritable extra-terrestre pour l'époque, ce qui lui conférait une bonne partie de son charme. Billy Wilder était vraiment un grand, peut-être le plus grand d'Hollywood, durant ces grandes fifties.
    landofshit0
    landofshit0

    242 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2013
    Pour une fois Wilder fait plus court qu'a son habitude,mais pourtant la comédie semble durée plus de deux heures. Il n'y a pas le rythme enlevé des meilleures comédies de Wilder, toutefois la matière est bien présente,mais il lui manque un ton plus caustique et profond.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juillet 2008
    Sept ans de reflexion, un film comique hilarant, quel bonheur de voir Marilyn dans un tel film, une immense reussite.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 juin 2012
    Tom Ewell est navrant. Le film n'a aucun objectif à part montrer un homme attiré par une magnifique blonde et qui ne veut pas tromper sa femme. Les gags sont dépassé, on s'ennui ferme, tout ce qu'on attend c'est la scène de Marylin Monroe où la robe se relève. Parlons d'elle, toujours magnifique, bonne actrice avec cette voix si douce. On a du mal à dire d'un film si populaire qu'il est mauvais et dépassé, mais je le dis quand même.
    kinophil
    kinophil

    19 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2011
    Comme beaucoup d’hommes mariés, un employé d’une maison d’édition reste à New York pendant l’été caniculaire pour travailler alors que son épouse et son fils partent en vacances. Seul dans son grand appartement, il tente difficilement d’obéir aux interdictions de sa femme (boire, fumer, draguer), mais la rencontre de la pulpeuse voisine du dessus (Marylin) va bouleverser cette vie de célibataire. Ce film se veut une satire de certains comportements sociaux derrière le vernis d’une civilisation puritaine mais les situations, les dialogues et le jeu des acteurs font vraiment très datés. Est-ce un respect trop marqué à l’origine théâtrale du film ou les contraintes de la censure (scène de la jupe sur la bouche d’air chaud, n’a rien à voir avec la photo que l’on a en mémoire) ? En tout cas cela a mal vieilli et en fait un médiocre et décevant Billy Wilder. Film agité mais qui manque de rythme, longuet, répétitif, convenu, stéréotypé (dés l’introduction avec cette caricature d’indiens autochtones de Manhattan qui soit disant s’adonnaient déjà à cette coutume des maris solitaire en été)
    Gonnard
    Gonnard

    209 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2009
    Un humour bien lourd qui me rappelle un peu l'ambiance de certains bars PMU. Tom Ewell part dans un numéro de soliloque qui finit par devenir ridicule. Et puis, il porte un costume vert hideux (on s'en fout ? non, moi ça me perturbe) Même le quiproquo final ne m'a pas déridé. Et Marilyn ? Oui c'est une bombe sexuelle, d'accord. Et oui, son personnage à la fois niais mais conscient de son impact sur la gent masculine est intéressant. Mais cela ne suffit pas à oublier les pitoyables tentatives d'humour qui font "pschit", pour reprendre l'expression de notre Chirac national.
    Eselce
    Eselce

    1 178 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Ce que j'ai le plus apprécié du film, c'est son excellent personnage, Richard Sherman (Tom Ewell) ses tentations, ses questionnements et les films qu'il se fait à propos de tout depuis qu'il est seul à la maison pendant que sa femme est en vacances. Ces dernières réflexions sont contagieuses. Les deux personnages principaux pensent tout haut, espérant ne faire rien de mal pendant que Mme Sherman est en vacances. Une très bonne comédie, tournée avec l'élégance des années 50, ce qui est d'autant plus appréciable.
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