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Synopsis
Artistes de cirque, Patty et son mari Walter vivent dans un camping à la périphérie de Rome. Un soir d'hiver, Patty trouve dans un parc voisin une fillette de 2 ans abandonnée par sa mère. Contre l'avis de Walter, elle décide de garder l'enfant chez elle. La petite Asia découvre une nouvelle vie au milieu des saltimbanques, des roulottes et des animaux. Chaque jour qui passe renforce un peu plus la relation entre Patty et la fillette. Mais un matin, Patty reçoit une lettre de la mère d'Asia...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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61 abonnés
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4,0
Publiée le 17 novembre 2011
La Pivellina est un film remplis de fraîcheur, par son approche documentaire, par ses acteurs non professionnels qui jouent leur propre rôle et par la petite Aïa qui est tout simplement fantastique, comment une petite fille peut-elle aussi bien jouer?! Un film sur la famille du spectacle à voir et à partager!
tuco-ramirez
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75 abonnés
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2,5
Publiée le 17 octobre 2013
Dans une banlieue populaire de Rome, des artistes de cirque vivent dans leur campement de caravane en attendant des jours meilleurs. Patty, un jour dans un jardin public, tombe sur une fillette de 2 ans abandonnée par sa mère : Asia. Plutôt que de signaler l’abandon à la police, elle décide de la prendre sous son aile soutenue par toute la communauté dans l’attente du retour de la maman.
Ce film traite avec beaucoup de justesse de la ...
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jo4
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27 abonnés
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4,0
Publiée le 25 octobre 2010
Tendre, sincère et réaliste. La Pivellina n’est pas un film comme les autres, c’est une œuvre expérimentale qui a la force d’ôter à la fiction ce coté plastique. Le réalisateur ne dresse pas un scénario en faisant jouer ses acteurs de façon précise pour que le rendu soit conforme à des règles, mais il laisse errer la spontanéité. Ici, la caméra suit des personnages dans leur milieu naturel et l’intrigue se manifeste ...
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tixou0
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499 abonnés
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2,0
Publiée le 23 juillet 2010
Filmé comme un documentaire par des documentaristes, c'est le quotidien de pauvres et attachants artistes de cirque joué par de vrais pauvres et attachants artistes de cirque, à une variable fictionnellle près : l'arrivée impromptue d'une adorable "pivellina" de 2 ans trouvée par Patti aux cheveux rouges dans un jardin public. L'adorable Asia entre avec grâce dans la vie de ces marginaux au grand coeur et à la vie rude. Pas d'action, ...
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Même si La Pivellina reste une fiction, les acteurs du film ont un vécu très proche du scénario. Patrizia Gerardi et Walter Saabel (Patty et Walter dans le film) sont en réalité des gens du spectacle vivant dans ue caravane. Tizza Covi et Rainer Frimmel les connaissaient depuis longtemps. Ce choix contribue à rendre le film d'autant plus proche de la réalité. Les réalisateurs ont, par ailleurs, un faible particulier pour Patty pour ses ressembla
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Le réel, du casting aux dialogues
Pendant le tournage, les acteurs ne recevaient que quelques indications sur le contenu des conversations qu'il devaient jouer. Libre à eux, ensuite, de créer les dialogues. Prévenus seulement une heure avant chaque tournage, ils étaient donc plus proches de l'improvisation que de la récitation. Les seules contraintes étaient le début et la fin du film ; pour le reste, tout dépendait des choix des acteurs et de l'humeur de la petite Asia Crippa âg
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Techniques de tournage
Pas facile de tourner dans une caravane, d'où le choix d'un tournage en super-16mm avec caméra sur l'épaule. Encore un moyen pour Tizza Covi et Rainer Frimmel de renforcer l'effet documentaire. Ce n'est pas un hasard non plus si aucune lumière artificielle n'a été utilisée durant le tournage.
Regardez bien cette dame aux cheveux rouges cherchant son Hercule... La caméra frôle aussi une autre femme, plus jeune et sa petite fille, ensuite seule sur sa balançoire. Pour moi, ce film, d'un naturalisme proche des Dardenne flirtant avec le néoréalisme italien, anticipe sur les liens familiaux hors du sang, le rêve d'une société mieux partagée en somme, qui ferait moins d'enfants et en adopterait spontanément, au gré des circonstances. Car qui n'a eu envie, par moments, d'embarquer des êtres comme cette petite au regard de détresse ? Les soucis matériels ou la loi arrêtent... Il fallait une enfant craquante comme Asia Crippa et une matrone de cirque comme Patrizia Gerardi pour incarner cette "démangeaison"venant du ventre humain. La manière dont c'est filmé, caméra portée au plus près de l'action ou de l'inaction, attache à ces saltimbanques plus curieux, plus créatifs, plus cultivés que la moyenne. Avec cet atout, rendre la fillette heureuse, visiblement plus sécurisée qu'avant, éduquée, on lui parle, elle n'avait pas l'habitude. L'issue, toujours ouverte, laisse le spectateur libre d'anticiper. Chapeau !
jo4
Tendre, sincère et réaliste. La Pivellina n’est pas un film comme les autres, c’est une œuvre expérimentale qui a la force d’ôter à la fiction ce coté plastique. Le réalisateur ne dresse pas un scénario en faisant jouer ses acteurs de façon précise pour que le rendu soit conforme à des règles, mais il laisse errer la spontanéité. Ici, la caméra suit des personnages dans leur milieu naturel et l’intrigue se manifeste simplement pour ajouter un élément nouveau à cette routine : une fillette de 2 ans, Asia. Ensuite les évènements s’enchainent avec la plus grande facilité et le plus grand réalisme. Le film laisse donc place à l’émotion sans la polluer par la moindre circonstance négative. Mention spéciale à la petite Asia Crippa qui joue son propre rôle à merveille, sans savoir que s’en est un. La direction artistique, par son absence devient présente et offre un jeu d’acteur cohérent et radieux. La Pivellina est donc la première vraie touche d’émotion de ce début d’année.Notations:
jo4
Critique : Tendre, sincère et réaliste. La Pivellina n’est pas un film comme les autres, c’est une œuvre expérimentale qui a la force d’ôter à la fiction ce coté plastique. Le réalisateur ne dresse pas un scénario en faisant jouer ses acteurs de façon précise pour que le rendu soit conforme à des règles, mais il laisse errer la spontanéité. Ici, la caméra suit des personnages dans leur milieu naturel et l’intrigue se manifeste simplement pour ajouter un élément nouveau à cette routine : une fillette de 2 ans, Asia. Ensuite les évènements s’enchainent avec la plus grande facilité et le plus grand réalisme. Le film laisse donc place à l’émotion sans l’a pollué pas la moindre circonstance négative. Mention spéciale à la petite Asia Crippa qui joue son propre rôle à merveille, sans savoir que s’en est un. La direction artistique, par son absence devient présence et offre un jeu d’acteur cohérent et radieux. La Pivellina est donc la première vraie touche d’émotion de ce début d’année.Notations:
gatzella
Quand même bien chiant....!
spider1990
Le film est plus réussi que Calimucho.
Aria2
Je l'ai vu à Cannes en mai dernier et très sincèrement, c'était l'un des films les plus ennuyeux auquel j'ai assisté, j'ai lutté contre le sommeil pendant les trois quart du film ce qui ne m'arrive habituellement jamais :s
Trelkovsky
Un film qui vaut avant par la prestation des excellents acteurs, amateurs en plus ...
jeromasco
très déçu par ce film plein de bonnes choses mais qui sous prétexte d'épouser cet aspect brut quasi-documentaire délaisse complètement la forme au profit d'un fond qui peine à prendre à mesure que la bande se déroule. finalement on s'ennuie au bout d'une heure et c'est bien dommage.
Marie B.
J'ai vu ce film en avant première française En VOSTFR grâce au ciné-club de Wissembourg, il est vraiment magnifique, je vous le conseil vraiment. La fin est plutôt surprenante, mais c'est un film super !