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Synopsis
Interdit aux moins de 12 ans
Amsterdam, 1984. Frank a 18 ans et décide de quitter le domicile familial pour s’émanciper et vivre sa vie comme il l'entend. Pour survivre, il devient alors danseur dans le club "House Of Boys". Très vite, il noue une relation avec un autre danseur, Jake, un garçon mystérieux. Dans ce nouvel univers haut en couleur, fait de passion, de sexe et de musique, Frank tente d'aimer et d'exister.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une grande histoire d’amour, ou l’histoire d’un grand amour ? Au choix. Le film se présente comme un drame en trois actes, avec un prologue et un épilogue, tourne autour du thème des débuts du sida, et il est largement autobiographique, ce qui, pour une fois, ne gêne pas.
À dix-huit ans, Frank, ouvertement gay, ne supporte plus les remarques de son père et les provocations des crétins de son lycée. Il quitte la maison et se ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 novembre 2013
Ce film est pour moi A NE PAS MANQUER, surtout pour les jeunes n'ayant pas connu les années 80 et le début du sida (comme moi ayant 19 ans). Il dégage tellement d'émotions, c'est fou ! Bien qu'il y ait certains passages un peu clichés, je trouve qu'il a un coté carrément réel. L'histoire de fond sur la boîte gay et son ambiance est carrément prenante, l'acte III sur le sida est vraiment arrachant, profondément triste et touchant (j'ai ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 14 novembre 2012
On redécouvre le tout début de l'épidémie du SIDA au travers d'une histoire d'amour. Beaucoup d'émotions même si parfois le film à quelques passages à vide.
Florian G
24 abonnés
2 critiques
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5,0
Publiée le 26 décembre 2014
Tres beau film très touchant ... Relatant une histoire pas assez raconté au cinéma
Avec House of Boys, Jean-Claude Schlim signe son premier long métrage. Travaillant depuis plusieurs années dans le cinéma, il a décidé de s'inspirer d'une histoire personnelle pour passer derrière la caméra, et ainsi réaliser son premier film.
Dédicace
Jean-Claude Schlim a dédié son film à toutes les personnes séropositives et à tous ceux qui luttent tous les jours contre la sérophobie dans la société.
Hommage
Le réalisateur a réuni dans la bande originale de House of Boys des morceaux classiques et de la musique électronique moderne, avec notamment des chansons qui ont été choisies pour rendre hommage aux musiciens qui sont morts du sida, tels que Klaus Nomi.
Cette romance malheureuse est surtout une plongée émouvante dans les années opaques du cancer gay.le début raconte ,l’histoire adolescente de Frank, jeune homosexuel néerlandais, en 1984, à un public niche plutôt de son âge, en quête de sa propre place dans l’univers des nuits gay. Le héros blondinet a l’insolence de l’âge, celle qui lui permet de s’affranchir des moqueries, la bonne copine avec qui il partage tout, le goût pour les clubs et les drogues de synthèse, et surtout l’envie d’une émancipation parentale qu’il va prendre à bras le corps en devenant danseur sensuel dans un cabaret pour les hommes qui aiment les hommes, sobrement baptisé House of boys. C’est dans cet établissement de joyeuse cohabitation (avec de l'humour et même des numéros de cabarets entiers), tenue par l’improbable Madame (Udo Kier) que Frank va connaître l’amour dans les bras d’un danseur énigmatique et hétéro. Brièvement. On est au milieu des années 80 et un fléau frappe la communauté, un virus venu d’Afrique, qui foudroie les homos d’Amérique et poursuit ses ravages en Europe..le réalisateur s’intéresse ici à l’apparition du virus en Europe au travers d’une histoire d’amour, celle de Frank et de son amant, qu’il va explorer dans toute sa détresse, avec une humanité réellement émouvante. Au plus près des sentiments des deux protagonistes, de leur impuissance et de leur souffrance, physique pour l’un, psychologique pour les deux, Jean-Claude Schlim parvient à élever des stéréotypes en les transformant en symboles valeureux d’une époque meurtrière, il les rend attachants, voire à un certain moment bouleversants. Ce n’était pas gagné d’avance. Certes, House of boys n’arrive pas au niveau d’Un compagnon de longue date ou de Torch song trilogy, ni même à celui des Témoins de Téchiné, mais le film entretient en lui une sincérité et une fraîcheur qui le rendent éminemment fréquentable ...
jmtour
non merci.
sophielesage
En espérant que ce film soit distribué en France, quoi que avec l'homophobie répandue ici, ça va être dur dur.