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Synopsis
Dans le cabinet de Georges Federmann, psychiatre atypique, consultent des patients français et étrangers. Originaires du quartier, du village voisin ou d’un autre continent, Diane, Gilbert, Karim ou encore Claudine viennent confier ici leur histoire. Pour certains il s’agit de trouver un refuge, une oreille attentive, pour d’autres c’est l’envie de vivre qu’il faut préserver.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Il y a bien sûr la collection de tee-shirts tellement improbable du docteur Federmann. Parfois, il consulte également en short. Et puis, il y a aussi le désordre de son bureau, l'empilement de documents, qui s'amoncellent sur le bureau entre lui et ses patients. Mais finalement, le désordre de son cabinet aux murs tapissés d'articles de journaux et d'une photo magnifique en noir et blanc (de Michaël Lonsdale, je crois, mais qui me faisait ...
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momo M.
29 abonnés
271 critiques
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3,0
Publiée le 18 mars 2016
Un psy un peu bizarre qui porte des t-shirts bariolés, qui fait ses consultations en short, et tout un tas de patients paumés et dépressifs que l'on suit pendant une heure et demi. On doit se faire nous même notre opinion sur les méthodes de ce sympathique thérapeute. Un de ces patients qu'il suit depuis 20 ans lui dit très justement "arrêtez de philosopher et guérissez moi" tout est dit..
Un visiteur
4,0
Publiée le 15 mars 2016
J'ai adoré ce "cinéma direct" pas de sous-titres pas de voix Off pas d'interview - juste des patients avec leur psychiatre - mais quel psychiatre !
Un visiteur
1,0
Publiée le 29 mars 2016
La caméra (comment ne pas penser que sa présence fausse tout ?)est immobile dans le cabinet fouilli d'un psy catastrophique. Son bureau est un capharnaüm et peut-être aussi son esprit. On plaint les "patients" très patients, puisque l'un deux vient le voir depuis vingt ans sans amélioration. Un patient rêve toutes les nuits de ses parents qui sont morts. Le psy lui fait une ordonnance pour des cachets. Au revoir monsieur. Le tout pour la ...
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C'est en 2001, dans le cadre d’un travail universitaire, que Swen de Paw a rencontré une vingtaine de psychologues et Georges Federmann était l'un d'entre eux (et même le dernier !). Le réalisateur se rappelle : "Nous avons beaucoup de choses en commun qui font que nos trajectoires se sont croisées. C’était comme une évidence à ce moment-là : il fallait filmer. J’ai commencé à travailler dessus deux ans après, je pense."
Question d'éthique
La question très complexe de savoir si les patients acceptent ou non d'être filmés a été posée depuis le début du projet. "Le fait qu’on soit trois à l’intérieur de la pièce et plus seulement deux. C’était très compliqué. Ça a pris au moins deux ou trois ans pour expliquer le projet à tous les patients. Ceux qui voulaient participer au projet venaient les jours où nous étions là, c’est à dire deux jours par semaine. Le deal était qu’à partir du m
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Indifférents ou presque
Georges Federmann explique que les patients ont été indifférents au procédé du film puisqu'ils regardaient très peu la caméra au moment des séances. La plupart du temps, ils étaient immergés dans leur souffrance et en oubliaient ainsi le dispositif mis en place. Le psychiatre développe : "Quand ils viennent dans le cabinet, il y a une totale confiance dans le médecin, d’où la responsabilité immense qui est la nôtre et que moi je décline politique
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