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Synopsis
23 janvier 1965. Le lendemain de l’assassinat du Premier Ministre iranien, l’agent Babak Hafizi est envoyé par la police secrète sur l’île de Qeshm, à l’est du Golfe Persique, pour enquêter sur le suicide suspect d’un dissident en exil. Parcourant la mystérieuse vallée des étoiles accompagné d’un géologue et d’un ingénieur du son, Babak va découvrir que ce lieu renferme bien des secrets : d’un cimetière hanté à une disparition mystérieuse, le trio devra essayer de démêler mythes et réalité.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le cinéma policier iranien est suffisamment peu diffusé en France pour s’y intéresser quand un représentant de ce genre est diffusé sur nos écrans. Cependant, Valley of stars de Mani Haghighi n’est pas qu’un simple polar car il possède une construction plus complexe que cela. En effet, le cinéaste élabore son récit sous forme de flashbacks mais y intègre également une espèce de making-of (où le cinéaste commente la ...
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traversay1
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3,5
Publiée le 6 février 2017
Pour l'amateur de cinéma iranien, celui notamment incarné par Kiarostami, Panahi ou Farhadi, soit synonyme de contemplatif ou social ou intimiste, voire les trois à la fois, Valley of Stars a l'apparence d'un OVNI qui correspond à la personnalité de son metteur en scène, franc-tireur notoire. Film d'espionnage, à son démarrage, Vallay of Stars est polymorphe se muant en documentaire, film historique et politique, thriller, western et ...
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Roger Cola
26 abonnés
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3,5
Publiée le 27 janvier 2017
Je n'ai quasiment jamais vu de film iranien de ma vie, et voir Valley Of Stars montre bien que ce cinéma est bien différent du notre. C'est surtout la musique, très "nationale" (c'est de la musique arabe, quoi), utilisée de façon étonnante de sorte à appuyer l'ambiance mystérieuse et fantastique du film. Par contre, la musique dépote, les percussions tribales donnent vraiment de taper du pied. La forme est assez déroutante, mélange de ...
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ffred
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2,0
Publiée le 29 octobre 2017
Premier film que je vois de ce réalisateur iranien. Et j’en reste très perplexe. Il y a de belles choses : un certain sens de la mise en scène, des images superbes, une interprétation convaincante (notamment du très beau Amir Jadidi dont c’est le premier film), des passages très intrigants, une bonne dose de surnaturel, une belle poésie. Mais à côté de cela c’est tellement confus, ça part dans tous les sens (on saute d’époque ...
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Mani Haghighi a décidé de faire ce film après avoir entendu parler d'une histoire incroyable : celle d’un assistant ingénieur du son qui travaillait sur un documentaire au sujet de grottes très anciennes situées au sud de l’Iran. Cet homme s'est perdu pendant deux jours dans ces grottes et lorsqu'il est parvenu à en sortir, il a raconté qu’il avait rencontré une étrange créature dans une crevasse qui lui avait appris l’allemand... "Bien sûr, pers
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Un classique
Les images d’archives en noir et blanc que l'on voit dans le film sont tirées de Brique et miroir sorti en 1965 et qui a été réalisé par le grand père de Mani Haghighi, Ebrahim Golestan. "De nombreux critiques de films et historiens du cinéma considèrent que Brique et miroir est un film précurseur de la Nouvelle Vague iranienne. Mon film, étonnamment, se déroule à la période de la sortie du film, entre 1964 et 1968, et j’avais besoin de quelque c
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La Chevrolet Impala
Mani Haghighi a toujours rêvé de faire un travelling sur les phares d'une Chevrolet Impala et c'est chose faite avec Valley of Stars. Pour lui, cette voiture très large et très basse est l’incarnation mécanique du format CinémaScope. Il poursuit : "Quiconque a lu Les Détectives Sauvages (1998), le chef d’oeuvre de Roberto Bolaño, sait que tout détective qui se mérite (et plus particulièrement si ce détective est aussi un poète) se doit de conduir
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