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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Haïti, 1962. Un homme est ramené d'entre les morts pour être envoyé de force dans l'enfer des plantations de canne à sucre. 55 ans plus tard, au prestigieux pensionnat de la Légion d'honneur à Paris, une adolescente haïtienne confie à ses nouvelles amies le secret qui hante sa famille. Elle est loin de se douter que ces mystères vont persuader l'une d'entre elles, en proie à un chagrin d'amour, à commettre l'irréparable.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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687 abonnés
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2,5
Publiée le 13 juin 2019
Attention, ce film n'est pas du tout un film de zombies, type gros blockbuster américain.
Cela n'a strictement rien à voir.
C'est un film français, qui raconte un drame, et en l'occurrence un fait véridique.
La mise en scène, la réalisation sont parfaites et les acteurs aussi.
Le souci c'est que cette histoire est déroutante et d'un grand ennui.
Même si ce film a de l'intérêt, il faut reconnaître que tout le long, on s'ennuie ...
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velocio
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688 abonnés
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0,5
Publiée le 4 juin 2019
Avec "Zombi child", présenté à la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2019, le réalisateur de "L’Apollonide", de "Saint-Laurent" et de "Nocturama" se lance dans le cinéma de genre tout en s’efforçant de le détourner pour parler de Haïti, un pays qu’il portait en lui depuis près de 20 ans, et des méfaits de la colonisation.
L’intérêt qu’on trouver à un film peut se présenter sous des formes très variées. Concernant ...
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RENEE D.
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4 abonnés
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1,5
Publiée le 12 juin 2019
Un film ennuyeux dont on ne comprend pas l'objectif dès le début. Entre l'internat et Haiti, on cherche vaguement le rapport et à la fin, quand il est énoncé, on trouve ça tiré par les cheveux. Donc jamais convainquant. Sur Haiti, on a quelques aperçus de la culture et des croyances mais malheureusement, cela ne nous sert à rien. On aimerait que la film reste là bas, mais on est ramené chaque fois à un internat de jeunes filles. Autre ...
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Sylwish
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3 abonnés
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3,0
Publiée le 28 juin 2021
La bande-annonce avait des faux airs de L'Heure de la sortie (Sébastien Marnier) et de Grave (Julia Ducournau) - une atmoshpère malsaine, des étudiants plus étranges tu meurs, des images très marquantes -, deux films que j'avais grandement appréciés. Mais Bertrand Bonello est un réalisateur difficile à cerner, capable du meilleur (L'Apollonide) comme du pire (Nocturama). Avec Zombi Child, on penche malheureusement du mauvais côté de la ...
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Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes 2019
Zombi Child est présenté dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes 2019. Il s'agit de la 2ème sélection de Bertrand Bonello à la Quinzaine, 11 ans après De la guerre (2008).
Des zombies et des notes
Dans un carnet de notes, Bertrand Bonello avait inscrit il y a un certain nombre d’années déjà ces deux mots : "Zombi, Haïti". L'idée de départ vient de là.
Haïti, terre des zombies
Bertrand Bonello s'est intéressé à Haïti au début des années 2000, au moment où un ami proche, Charles Najman, réalisait Royal Bonbon, dont Josée Deshaies était la chef opératrice. "Charles adorait Haïti, il y passait trois mois par an et il m’avait communiqué son enthousiasme, en évoquant une vie intellectuelle très riche, beaucoup plus qu’en France, en me racontant milles histoires… J’ai commencé à lire des choses, avec passion. Mais
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Une fin complètement foireuse qui dégoûte du cinéma français moderne avec d'un côté ses réalisateurs médiocres qui essaient d'imiter la comédie des années 80 et de l'autre les prétentieux qui essaient d'avoir la profondeur des années 90. Ce film ressemble un brouillon d'exposé où les choses ont mises en désordre, malgré des bonnes intentions, mais d'où il ne ressort rien à la fin _ qui est complètement foirée. Son seul mérite est d'intéresser le spectateur au sujet du film, mais sans l'y faire vraiment accrocher. Pour ça il aurait fallu dire quelque chose, mis voilà _ ce film ne dit rien.
Henri M
Ce film prétentieux et mal maîtrisé ennuie sans émouvoir ni distraire. Il faudrait savoir si le réalisateur souhaite nous parler de ce temple de l'élitisme qu'est le lycée de jeunes filles de la Légion d'Honneur ou du sort des zombis en Haïti, ces icônes des damnés de la terre s'il en est. Les deux sujets sont dignes du plus grand intérêt à condition de ne pas les mélanger de manière confuse et incohérente en espérant que le spectateur sera tellement impressionné qu'il n'osera pas poser de questions. Pensez donc, Patrick Boucheron en personne est engagé pour faire cours aux jeunes filles de la Légion d'Honneur. On se dit qu'il doit y avoir des clés du côté de l'histoire globale, de la critique de l'européocentrisme, ou peut-être même un pas de côté vers l'approche décoloniale. Eh bien non, pas du tout. En fait, tout cela n'a ni queue ni tête. Si la vie quotidienne des descendantes des glorieux médaillés, cette noblesse créée par l'empereur, est montrée avec un luxe de détails dont on se passerait, les scènes haïtiennes sont plus rares et moins parlantes, tout juste folkloriques. Peut-être Bonello a-t-il voulu dire quelque chose... Mais quoi ? Une courte réplique semble tardivement ouvrir une fenêtre de compréhension à travers la connexion des deux mondes, quand la jeune fille qui se croit ensorcelée dit à la tante vaudouisante ce n'est pas parce que je suis blanche et en bonne santé que je ne peux pas être malheureuse... . Et puis, c'est fini. En tous cas, il n'est pas évident de comprendre où on souhaite nous mener quand bien même ce bric à brac fournit assez de matériaux disparates et variés pour construire quelque théorie fumeuse. Un des derniers cartons qui clôturent le film annonce, sans sourciller, qu'il y aurait (ou aurait eu) dix mille zombis en Haïti. Je rêve ? En tout cas, je n'ai pas été envoûté.
Christoblog
Des vrais zombies !
Christoblog
Faiblard, malgré une belle mise en scène : http://www.christoblog.net/...
impartial
Il manquait un film sur les emboucannements, les envoûtements, la sorcellerie et autres sortilèges, certes exotiques, mais certainement pas anachroniques. Seul l’exorcisme a jusqu’à présent été largement couvert !Il manquait un film sur la maison d’éducation pour jeunes filles de la Légion d’honneur. Résultat : une collision entre deux thèmes, alors que chacun est brillamment traité. Il eût mieux valu traiter un thème mineur (Un lycée quelconque) pour dégager un thème majeur.Évidemment, la réalisation est très belle.
Arnooz
Et ben la bande annonce me donne pas envie, le peu que j'ai vu, l'actrice principale a l'air très mauvaise...vou..vouus faites du vaudou, vvou..vvous pouvez m'aider à vivre loool quel talent !!! Je crois qu'on tiens là une grande star du cinéma !
dockino
la je viens de découvrir qu'il y avait des écoles spécialisés pour les enfants dont les parents avaient obtenus la légion d'honneur ou autres médailles du gouvernement... incroyable...si ce sont pour les orphelins et orphelines avec prises en charge ok .. par contre si c'est pour tout ceux qui ont obtenue une médaille dont les parents sont de la hautes intéressant .. .. ça m intéresse de savoir
riqueuniee
Enfin un film qui parle des vrais zombies, et pas des morts vivants façon Walking Deads, qui n'ont pas grand chose à voir .Rien qu'à cause de ça, j'ai envie d'aller le voir.
Boscougo5471
j'ai déjà vu un vrai zombie ;ça n'a rien a voir avec ceux des films;tout ça c'est bidon
nicolas t.
Comme souvent avec Bonello, film très ambitieux mais au final ennuyeux et assez prétentieux.
Bad Super Girl
Bienvenue dans l'adaptation cinématographique du DLC de The Last Of Us.