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Synopsis
Sur les contreforts de l’Himalaya, une congrégation de nonnes s’établit dans un ancien harem avec l’intention de transformer le lieu en dispensaire. Dean, un agent anglais, est chargé de les aider à construire l’école qui servira à éduquer les enfants de la région, mais il se heurte rapidement à la sœur Clodagh qui trouve ses manières incorrectes. Au sein de la communauté, la solitude pèse de plus en plus sur les cœurs, et les tensions s’exacerbent…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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112 abonnés
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2,5
Publiée le 29 octobre 2010
Mouais, pas complètement convaincu.
Les étoiles que je mets vont que à l'originalité du récit, et à l'image très soignée (1947 ? Impressionnant, on m'aurait dit qu'il avait 20 ans de plus ça ne m'aurait pas choqué, et puis même sans parler de qualité, la photographie est soignée).
Par contre, le plaisir du spectateur n'est pas là. Sur un film qui veut évoquer le désir, les pulsions, un film qui doit donc vraiment reposer sur une ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 26 décembre 2012
Deuxième film que je vois de Powell et de Pressburger après "Les Chaussons rouges", "Le Narcisse noir" fait un bien fou. Non pas que l'histoire soit celle d'un "feel good movie", mais simplement que ça fait du bien de revoir ces grands films hollywoodien d'antan ou l'aventure, l'amour etc, étaient les sujets les plus prisés. Par rapport aux "Chaussons rouges", "Le Narcisse Noir" est de même qualité, quoi que différent. Adieu le ballet ...
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Plume231
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2 290 abonnés
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5,0
Publiée le 11 avril 2009
Quoi de mieux pour le très brillant duo Michael Powell-Emeric Pressburger que de réaliser entre deux chefs d'oeuvre ("Une Question de vie et de mort" et "Les Chaussons rouges" !) un autre chef d'oeuvre. Dans un Inde de studio, Michael Powell a réussi à instaurer une histoire à l'atmosphère envoutante filmée par une superbe photographie en couleurs justement récompensée par un Oscar. Deborah Kerr, dans le rôle d'une nonne rigide, qui se ...
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stebbins
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400 abonnés
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3,0
Publiée le 4 mars 2013
Un authentique leurre cinématographique que ce Narcisse Noir ! Si la photographie est d'une beauté resplendissante incontestable on peut dire en outre que le récit est d'un ennui croissant au fil des minutes. Champions du Technicolor Powell et Pressburger n'ont visiblement pas grand-chose d'autre à nous mettre sous la dent que leurs jolies couleurs techniquement irréprochables mais surtout là pour combler une écriture dépourvue ...
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J'ai aimé; Belle réussite d'image pour un film de 1947. Dean est costumé pour vraiment tenter le diable auprès de ces bonnes soeurs déjà bien isolées. Le doublage en français est bien fait. J'aime ces voix enregistrées dans les années 50. Ca fait partie du charme. Joan Collins est très belle, trop fugace peut -être...On est loin de "angel face"...Deborah Kerr est vraiment toujours émouvante en bonne soeur tourmentée...On pense à "dieu seul le sait".
superboubouge
ma critique: http://blogaudessusducinema.ov...
quetedugraal
Du mal à accrocher à ce film.
Nelly M.
De savoir que des nonnes vont vivre dans un ancien harem, d'entendre la voix doucereuse de l'agent anglais dénommé Dean, de découvrir la beauté virginale de la Soeur Clodagh, on est vite au parfum de ce "Narcisse Noir" réédité et qui n'a pas pris une ride. Entièrement tourné en studio, on se croit parachuté sur les hauteurs himalayennes. L'illusion est totale, les couleurs tout droit sorties d'une palette de peintre, le contraste entre l'austère bâtisse très haut perchée, et son à pic au ras duquel on va sonner la cloche bien vertigineux, plus vrai que nature... Surtout que tout en bas, dans la vallée comme un vestige des frasques d'antan, attend Dean, l'anglais en short. Comme manière d'installer lentement toutes les pièces du puzzle, vient à l'esprit "Le Fleuve" de Jean Renoir (même auteure-scénariste), alors que, sur le fond, on dirait un érotique de l'amour courtois... Ces femmes envoyées loin de leurs racines doivent se démener tout en subissant les intempéries, mais sont réduites à appeler au secours le seul Tarzan de service... Semble veiller sur elles comme sur tout le reste, cet immobile, un Buddha qui aurait minci. Chacune sa spécialité, autour de la chef de mission, Clodagh qu'on sent solide parce qu'échaudée, beaucoup moins que Ruth prévue par la mère supérieure comme l'obstacle principal. On ne s'ennuie pas dans un tourbillon qui n'a de pieux que l'intention de début et de fin. Avec une économie de mots, défilent les différentes facettes féminines lors d'une fréquentation rendue obligatoire avec le sexe opposé. A déplorer la stridence de la bande-son fort heureusement rachetée par l'extrême élégance des toutes dernières images.