Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
405 abonnés
Lire ses 1 501 critiques
2,5
Publiée le 5 avril 2016
"Naked City" est un polar pas désagréable, largement réhaussé par son dernier quart d'heure haletant qui fait preuve d'un sens aigu de l'espace. Avant cela, le film aura traîné un faux rythme causé par une difficulté à donner du relief à une enquête de meurtre et de bijoux volés, une intrigue que la mise en scène tente de complexifier par le montage parallèle, une tentative qui échoue partiellement, à cause d'une écriture trop ...
Lire plus
Black-Night
Suivre son activité
137 abonnés
Lire ses 421 critiques
4,0
Publiée le 3 avril 2016
La Cité Sans Voiles est un très bon film. Un superbe polar et film noir au style vif et documentaire, dont la ville de New-York en constitue le personnage principal. L’histoire se passe donc à New-York en 1948, où une jeune femme mannequin a été assassinée. L'inspecteur Muldoon, un vieux routier des affaires criminelles, est chargé de l'enquête. Le film remportera 2 Oscars en 1949 avec l’Oscar de la meilleure photographie et du ...
Lire plus
pierrre s.
Suivre son activité
194 abonnés
Lire ses 2 953 critiques
4,0
Publiée le 25 juin 2016
Trois quarts fiction et un quart documentaire, voilà comment se présente cet excellent film noir. Partant d'un fait "classique ", un meurtre, l'intrigue se met tranquillement en place et captive son spectateur. Un très bon moment de cinéma, daté de 1948, un millésime en somme.
willyzacc
Suivre son activité
62 abonnés
Lire ses 1 544 critiques
4,0
Publiée le 6 avril 2011
Excellent film qui mêle le film noir, le documentaire (sur la ville de New-York) et la comédie. Incroyable mélange qui mérite d'être vu. Très bon.
La Cité sans voiles s'inscrit dans la série de films noirs à succès que le cinéaste Jules Dassin (le père de Joe Dassin) a réalisé aux Etats-Unis. Le long-métrage peut être considéré comme le second volet d'une trilogie entamée avec Les Démons de la liberté (1947) et conclut avec Les Forbans de la nuit (1950).
Un producteur narrateur
Le narrateur de La Cité sans voiles n'est autre que le producteur du long-métrage, Mark Hellinger. Ce dernier, qui souhaitait imprimer au film un caractère de reportage, est décédé au début du tournage.
Stanley Kubrick sur le tournage
Un certain Stanley Kubrick rôdait souvent sur le tournage de La Cité sans voiles. Agé de vingt ans, officiant comme photographe, il y prenait quelques clichés pour le compte de la publication Look Magazine.
Un régal. Les plans de la ville sont fabuleux et l’enquête a travers cet inspecteur plus tout a fait anonyme ,se suit comme on suit une pépite hollywoodienne. Le scénario est très bien agencé et les prises s’écoulent comme si on nous invitait a les suivre. La voix du narrateur ,un peut vieillotte, ajoute a se charme dont seul l’Amérique avait le secret. Non seulement je ne voit aucune faiblesse a ce film mais en outre il est magnétique par la limpidité de ces plans. Une énorme réussite.